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Monsieur le Président, on répondra aujourd'hui aux questions n
os 1616, 1621, 1623 à 1625 et 1627.
[Texte]
Question no 1616 -- Mme Cathy McLeod:
En ce qui concerne l’expédition Canada C3: a) le navire détenait-il la certification nécessaire, avant l’expédition, pour transporter des passagers, conformément aux règlements pris en vertu de la Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada; b) si la réponse en a) est affirmative, le ministre des Transports a-t-il approuvé la certification par écrit; c) à quelle date le navire a-t-il été certifié?
L’hon. Marc Garneau (ministre des Transports, Lib.):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a) de la question, le navire avait un certificat lui permettant de transporter un maximum de 12 passagers, 28 employés d’expédition et 20 membres d’équipage conformément aux règlements pris en vertu de la Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada.
Relativement à la partie b) de la question, le navire avait reçu un certificat de navire spécial émis par DNV GL, l’autorité délégataire du ministre des Transports.
Pour ce qui est de la partie c) de la question, le navire avait été certifié le 11 mai 2017.
Question no 1621 -- M. Kevin Sorenson:
En ce qui concerne la Politique sur les services juridiques et l’indemnisation, qui s’applique aux incidents ou aux événements survenus après le 1er janvier 2016: a) combien de demandes d’aide juridique ou d’indemnisation ont été approuvées pour des fonctionnaires de l’État, ventilées par année; b) combien de fonctionnaires de l’État visés en a) font ou faisaient partie à l’époque du personnel exonéré d’un ministre ou d'un ministère; c) quels sont les coûts totaux, jusqu’à présent, des demandes d’aide juridique et d’indemnisation approuvées; d) quels sont les coûts, jusqu’à présent, pour toutes les demandes d’aide juridique et d’indemnisation mentionnées en b), (i) au total, (ii) ventilés par demande; e) combien d’approbations ont été accordées au titre de l’article 6.1.8 de la Politique (circonstances exceptionnelles), et, de ce nombre, combien sont mentionnées en b)?
M. Kevin Lamoureux (secrétaire parlementaire du leader du gouvernement à la Chambre des communes, Lib.):
Monsieur le Président, en ce qui concerne la Politique sur les services juridiques et l’indemnisation, qui s’applique aux incidents ou aux événements survenus après le 1er janvier 2016, le Bureau de Conseil privé n’est pas en mesure de produire et de valider une réponse globale pour le gouvernement à cette question, dans les délais prescrits.
Également, lorsqu’il traite les documents parlementaires, le gouvernement applique la Loi sur la protection des renseignements personnels et les principes de la Loi sur l’accès à l’information. En ce qui concerne certains éléments de la question, une réponse pourrait divulguer de l'information personnelle ainsi que de l’information contenant des renseignements protégés par le secret professionnel des avocats.
Question no 1623 -- Mme Cheryl Gallant:
En ce qui concerne les passeports diplomatiques émis par le gouvernement, depuis le 4 novembre 2015: a) quel est le nombre total de passeports diplomatiques émis à des personnes qui ne sont ni des représentants élus ni des employés du gouvernement; b) quelle est la liste des personnes visées en a) qui ont reçu un passeport diplomatique?
L'hon. Ahmed Hussen (ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, Lib.):
Monsieur le Président,, en réponse à la partie a) de la question, durant la période du 4 novembre 2015 au 5 avril 2018, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, ou IRCC, a délivré au total 33 044 passeports officiels diplomatiques et spéciaux. Sur ce nombre, 6 749 étaient des passeports diplomatiques rouges et le reste était des passeports spéciaux verts délivrés pour des voyages officiels réguliers.
Le Programme de passeport traite les documents de voyage, y compris les passeports diplomatiques, sont délivrés par le Système intégré de récupération d’information, ou IRIS. IRCC n’est pas en mesure de déterminer le nombre de passeports diplomatiques, sur les 6749 délivrés durant cette période, qui ont été délivrés à des personnes n’étant ni des représentants élus ni des employés du gouvernement puisque IRIS n’enregistrer pas les données par catégorie, par exemple, fonctionnaire, élu, membre de la famille, citoyen privé, ou autres.
La loi prévoit quelles personnes sont admissibles à un passeport diplomatique. Aux termes du Décret concernant la délivrance des passeports diplomatiques et des passeports spéciaux, il est prévu ce qui suit: Article 2m) -- Les membres de la famille immédiate du titulaire d’un passeport diplomatique peuvent être admissibles à un passeport diplomatique s’ils voyagent avec celui-ci ou le rejoignent à l’étranger. Par exemple, un passeport diplomatique serait délivré au conjoint et aux enfants d’un ambassadeur affecté dans une mission canadienne.Article 2l) -- Les simples citoyens peuvent obtenir un passeport diplomatique s’ils sont nommés à titre de délégués officiels du gouvernement du Canada auprès de conférences internationales à caractère diplomatique. Des experts en la matière (p. ex. scientifiques, universitaires) sont parfois appelés à faire partie d’une délégation canadienne à une conférence internationale afin de conseiller les fonctionnaires et de faciliter les discussions avec d’autres États. Ce sont les deux seuls cas où une personne qui n’est ni un représentant élu ni un employé du gouvernement peut recevoir un passeport diplomatique.
IRCC ne peut pas délivrer un passeport diplomatique à une personne qui ne remplit pas les critères spécifiés dans le Décret concernant la délivrance des passeports diplomatiques et des passeports spéciaux.
En réponse à la partie b) de la question, conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels, IRCC n'est pas en mesure de divulguer le nom de personnes qui ne sont pas des fonctionnaires ou des représentants élus.
Question no 1624 -- M. Chris Warkentin:
En ce qui concerne la dette contractée sur les marchés par le gouvernement, qui dépasse la barre des 1 000 000 000 000,00 $: en quelle année la dette contractée sur les marchés redeviendra-t-elle inférieure à 1 000 000 000 000,00 $?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Monsieur le Président, conformément à la nouvelle Loi autorisant certains emprunts, adoptée en novembre 2017 afin de promouvoir la transparence et la responsabilité devant le Parlement, le budget de 2018 est le premier compte rendu du gouvernement relativement à sa dette contractée sur les marchés combinée.
La dette contractée sur les marchés combinée du gouvernement du Canada comprend la dette contractée sur les marchés du gouvernement, soit l’encours de tous les bons du Trésor, obligations et titres sur le marché du détail émis directement par le gouvernement du Canada, ainsi que les emprunts des sociétés d’État mandataires sur les marchés. Les augmentations ou les réductions de la dette contractée sur les marchés combinée sont déterminées par les besoins financiers du gouvernement et de ses sociétés d’État mandataires. D’une année à l’autre, la dette contractée sur les marchés combinée augmente généralement lorsque le gouvernement et ses sociétés d’État mandataires ont des besoins financiers, et connaît une baisse lorsqu’il y a une source financière positive nette.
Tel que mentionné dans le budget de 2018, la dette contractée sur les marchés combinée du gouvernement est estimée à 1 066 milliards de dollars pour 2018-2019. Cela comprend la dette du gouvernement contractée sur les marchés de 755 milliards de dollars ainsi que les emprunts sur les marchés des sociétés d’État mandataires de 311 milliards de dollars, mais n’inclut pas les actifs -- par exemple, 93 milliards de dollars d’actifs financiers liquides dans le Compte du fonds des changes du Canada au 5 avril 2018 -- qui peuvent être achetés au moyen de bénéfices provenant de la dette contractée sur les marchés.
Le niveau prévu de la dette contractée sur les marchés du gouvernement du Canada et des sociétés d’État ne doit pas dépasser, à la fin de l’exercice 2018-2019, l’encours maximal approuvé par le Parlement de 1 168 milliards de dollars et, selon les projections financières du budget de 2018, il ne devrait pas être inférieur à 1 billion de dollars dans l’horizon de planification quinquennale actuelle.
Question no 1625 -- Mme Cheryl Gallant:
En ce qui concerne les délais de traitement à l’Agence du revenu du Canada de diverses interactions courantes avec les sociétés: a) quel est le délai de traitement médian pour la délivrance des avis de cotisation des déclarations de revenus des sociétés; b) quel est le délai de traitement maximum pour la délivrance des avis de cotisation des déclarations de revenus des sociétés; c) quel pourcentage des avis de cotisation des déclarations de revenus des sociétés ont un délai de délivrance de plus de 30 jours; d) quel pourcentage des avis de cotisation des déclarations de revenus des sociétés ont un délai de délivrance de plus de 60 jours; e) quel pourcentage des avis de cotisation des déclarations de revenus des sociétés ont un délai de délivrance de plus de 90 jours; f) quel pourcentage des avis de cotisation des déclarations de revenus des sociétés ont un délai de délivrance de plus de 120 jours; g) quels sont les délais de traitement et les pourcentages respectifs visés en a) à f) pour les examens des déclarations de revenus des sociétés; h) quels sont les délais de traitement et les pourcentages respectifs visés en a) à f) pour les demandes de redressement, d’opposition et d’appel, respectivement; i) d’une année à l’autre depuis 2010, le pourcentage de cas visés en a) à h) où le délai de délivrance a dépassé 12 semaines, a t-il augmenté ou diminué, et de combien; j) combien d’employés à l’Agence du revenu du Canada sont affectés aux demandes de renseignements téléphoniques des sociétés; k) en moyenne, combien de demandes téléphoniques de sociétés l’Agence du revenu du Canada reçoit-elle chaque jour ouvrable; l) quel est le temps médian que les sociétés doivent passer en attente lorsqu’elles appellent l’Agence du revenu du Canada; m) des nouveaux fonds accordés à l’Agence du revenu du Canada dans les budgets de 2016, de 2017 et de 2018, combien sont affectés aux services à la clientèle, y compris aux demandes de renseignements téléphoniques, aux redressements, aux oppositions et aux appels, respectivement, pour les sociétés?
L’hon. Diane Lebouthillier (ministre du Revenu national, Lib.):
Monsieur le Président, en réponse aux parties a) à i) de la question, bien que l’Agence du revenu du Canada, ou ARC, applique des normes de service concernant l’émission des avis de cotisation, elle ne recueille pas, toutefois, des renseignements à ce sujet de la façon dont la question est formulée. L’objectif de l’ARC est d’émettre un avis de cotisation dans les six semaines suivant la réception d’une déclaration de revenus des sociétés numérique, et dans 16 semaines suivant la réception d’une déclaration de revenus des sociétés en format papier. L’ARC vise à respecter cette norme dans 95 % des cas.
En ce qui concerne la partie j) de la question, bien que l'ARC fournisse une ligne téléphonique pour les demandes de renseignements, les agents d'appels ne sont pas assignés de la manière suggérée dans la question. Pour cette raison, l’ARC n’est pas en mesure de répondre de la manière demandée.
Pour ce qui est des parties k) et l), même si l'ARC possède de l'information sur les volumes d'appels globaux et les temps d'attente en général, l'information n'est pas suivie de la manière décrite dans la question. Pour cette raison, l’ARC n’est pas en mesure de répondre de la manière demandée.
Pour répondre à la partie m) de la question, dans le cadre de l’initiative Résoudre les objections des contribuables, le budget de 2016 a accordé à l'ARC un financement pour les services à la clientèle. Le budget de 2016 prévoyait 4,6 millions de dollars pour les oppositions et les appels de façon continue afin de résoudre les objections d'impôt sur le revenu et de taxe à la consommation pour les particuliers et les entreprises. L’ARC n’est pas en mesure d'isoler la portion spécifiquement liée aux entreprises. De plus, le budget de 2016 allouait 85 000 $ pour l'exercice 2016-2017 et 80 000 $ de façon continue pour ajuster les déclarations de revenus des sociétés. Le financement du service à la clientèle annoncé dans le budget de 2018, qui n'inclut pas de financement pour le programme d’oppositions et d’appels, n'a pas encore été attribué à l'ARC.
Question no 1627 -- M. Mark Warawa:
En ce qui concerne l’affirmation faite à la Chambre des communes le 27 mars 2018 par le secrétaire parlementaire de la ministre de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et du Travail, selon laquelle les groupes religieux ont été contactés et savent qu’ils pouvaient très bien demander une subvention dans le cadre du programme Emplois d’été Canada: a) quelle est la liste complète des groupes religieux qui ont été contactés; b) pour chacun des groupes en a), quels sont les détails de la prise de contact, y compris (i) la date, (ii) la méthode de contact (par courriel, téléphone, lettre); c) parmi les groupes contactés en a), (i) lesquels ont signé l’attestation, (ii) lesquels ont obtenu une subvention dans le cadre du programme Emplois d’été Canada 2018?
M. Rodger Cuzner (secrétaire parlementaire de la ministre de l'Emploi, du Développement de la main d'oeuvre et du Travail, Lib.):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a) de la question, dans le cadre de sa communication et de son engagement réguliers avec les intervenants, Service Canada a contacté un éventail d'employeurs afin de promouvoir le programme Emplois d'été Canada de 2018.
Des exemples de stratégies entreprises par Service Canada pour communiquer avec ces employeurs incluent des séries de courriels, incluant des rappels, aux députés, aux anciens demandeurs et aux nouveaux demandeurs potentiels à travers le Canada; des téléconférences, webinaires ou des séances d'information en personne tenues partout à travers le Canada; et des initiatives de sensibilisation tenues à travers le Canada auprès de diverses associations.
Pour le programme Emplois d’été Canada de 2018, les courriels ont été envoyés à environ 45 000 demandeurs du programme Emplois d’été Canada de 2016 et de 2017; 1 300 organismes supplémentaires ont reçu les courriels, par exemple, des organismes relayeurs d’information; et plus de 800 individus ont participé à des séances d’information. Ces séances incluent des séances virtuelles et en personne.
Les députés ont également mené leurs propres activités de sensibilisation auprès d'organismes; ces dernières n’ont pas été comptabilisées par Service Canada.
Bien que les employeurs contactés dans le cadre de la stratégie de communication et d’engagement incluaient des organismes confessionnels, Service Canada n’a pas systématiquement comptabilisé le type et le nombre d’organismes contactés. Par conséquent, l’information pour dresser une liste complète d’employeurs contactés, incluant les organismes confessionnels, dans le cadre de cette stratégie n’est pas disponible.
En réponse aux parties b)(i) et (ii) de la question, les détails des communications effectuées auprès des groupes religieux, incluant les dates précises et les moyens de communication, ne sont pas disponibles à la lumière de la réponse à la partie a). Service Canada a communiqué avec un éventail d’employeurs pour promouvoir le programme Emplois d’été Canada de 2018 entre le 19 décembre 2017 et le 9 février 2018. Des exemples de stratégies entreprises pour communiquer avec ces employeurs, qui incluent mais ne se limitent pas aux organismes confessionnels, sont énumérés dans la réponse à la partie a).
Relativement à la partie c)(i) de la question, à la lumière de la réponse à la partie a), l’information concernant les organismes confessionnels contactés qui ont signé l’attestation n’est pas disponible. Il est également important de noter que, tel que par les années précédentes, les organismes confessionnels étaient encouragés, bienvenus et admissibles à soumettre une demande au programme Emplois d'été Canada. Toutefois, « confessionnel » n’est pas une catégorie utilisée afin d’identifier des organismes dans le cadre du processus de demande d'Emplois d'été Canada.
Concernant la partie c)(ii) de la question, la liste d’employeurs qui ont été approuvés pour du financement d'Emplois d'été Canada de 2018 est sur le site Web d'Emplois d'été Canada à l’adresse www.canada.ca/fr/emploi-developpement-social/services/financement.html.
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Monsieur le Président, si les questions n
os 1615, 1617 à 1620, 1622, 1626 et 1628 pouvaient être transformées en ordres de dépôt de documents, les documents seraient déposés immédiatement.
[Texte]
Question no 1615 -- Mme Cathy McLeod:
En ce qui concerne l’expédition Canada C3: a) quel est le coût total de l’expédition payé par le gouvernement; b) comment se répartit le coût, ventilé par élément et article courant; c) combien de Canadiens ont fait partie des passagers de l’expédition; d) quels ministres, députés et autres représentants du gouvernement ont participé à l'expédition et combien de jours ont-ils chacun passés sur le navire?
(Le document est déposé.)
Question no 1617 -- M. Arnold Viersen:
En ce qui concerne toutes les dépenses relatives à l’accueil (code d’article 0822 du Conseil du Trésor) effectuées entre le 1er février 2018 et le 1er mars 2018 par le Cabinet du premier ministre et le Bureau du Conseil privé : quels sont les détails de toutes les dépenses, y compris (i) le fournisseur, (ii) le montant, (iii) la date de la dépense, (iv) la description des produits ou des services fournis, (v) le numéro de dossier, (vi) le nombre d’employés du gouvernement visés par la dépense d’accueil, (vii) le nombre d’invités visés par la dépense d’accueil?
(Le document est déposé.)
Question no 1618 -- M. Guy Caron:
En ce qui concerne les méthodes utilisées par Statistique Canada: a) Quelle est la méthode utilisée par Statistique Canada pour calculer les taux de chômage et les taux d’emplois à temps plein et à temps partiel au Canada dans l’année 2017-2018, (i) les méthodes utilisées actuellement diffèrent-elles de celles utilisées en 2015 et de celles utilisées en 2010, (ii) si la réponse en a)(i) est affirmative, soit que les méthodes utilisées actuellement diffèrent de celles de 2010 et de 2015, en quoi diffèrent-elles; b) quels sont les techniques de collecte de données de Statistique Canada concernant les taux de chômage et d’emploi à temps plein et temps partiel pour l’année 2017-2018, (i) la collecte de données utilisées actuellement diffère-t-elle de celle utilisée en 2015 et en 2010, (ii) si la réponse en b)(i) est affirmative, soit que les méthodes utilisées actuellement diffèrent de celles de 2010 et de 2015, en quoi diffèrent-elles; c) quelles sont les méthodes de calcul et les techniques de collecte de données concernant les taux de chômage et d’emploi à temps plein et temps partiel respectivement, dans les régions économiques de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine (10), Bas-Saint-Laurent—Côte-nord (19) et Restigouche-Albert (09) en 2010, 2015 et 2017-2018, (i) les méthodes de calcul et les techniques de collecte de données utilisées actuellement diffèrent-elles de celles utilisées en 2015 et de celles utilisées en 2010, (ii) si la réponse en c)(i) est affirmative, soit que les méthodes de calcul et les techniques de collecte de données utilisées actuellement diffèrent de celles de 2010 et de 2015, en quoi diffèrent-elles; d) quelle est la proportion et le nombre de personnes âgées bénéficiant de pension qui sont pris en compte dans les données collectées concernant les taux de chômage et d’emploi dans les régions économiques de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine (10), Bas-Saint-Laurent—Côte-nord (19) et Restigouche-Albert (09) en 2010, 2015 et 2017-2018?
(Le document est déposé.)
Question no 1619 -- M. Guy Caron:
En ce qui concerne les dépenses du gouvernement respectivement dans les circonscriptions fédérales de Rimouski-Neigette—Témiscouata—Les Basques, Montmagny—L'Islet—Kamouraska—Rivière-du-Loup, Avignon—La Mitis—Matane—Matapédia et Gaspésie–Les Îles-de-la-Madeleine, entre le 19 octobre 2015 et aujourd’hui: a) quelles sont les sommes investies par le gouvernement dans les projets faisant partie du Programme d’infrastructure communautaire du Canada et du Programme d'infrastructure communautaire Canada 150, ventilées par (i) nom du projet, (ii) type de projet, (iii) lieu du projet, (iv) date de soumission du projet, (v) date d’approbation du projet, (vi) coût prévu du projet, (vii) coût total du projet; b) quelle sont les sommes investies par le gouvernement à travers tous les différents programmes gouvernementaux à l’exception du Programme d'infrastructure communautaire Canada 150 (tels que, et pas uniquement, le Nouveau Fonds Chantiers Canada-Québec, Nouveaux Horizons, les différents fonds de Patrimoine Canada, etc.), ventilées par (i) nom du projet, (ii) type de projet, (iii) lieu du projet, (iv) date de soumission du projet, (v) date d’approbation du projet, (vi) coût prévu du projet, (vii) coût total du projet?
(Le document est déposé.)
Question no 1620 -- M. Kevin Sorenson:
En ce qui concerne le Sommet de l’innovation de Canada 2020 qui se tient à Ottawa les 27 et 28 mars 2018, ventilés par ministère, organisme, société d’État ou autre entité gouvernementale: a) quel est le montant total consacré par le gouvernement aux frais d’inscription à l’événement; b) qui se trouve sur la liste des personnes pour lesquelles le gouvernement a assumé les frais d’inscription; c) qui se trouve sur la liste des ministres, du personnel exonéré et des autres employés du gouvernement qui ont accepté une entrée gratuite pour assister à l’événement Canada 2020?
(Le document est déposé.)
Question no 1622 -- M. Kevin Sorenson:
En ce qui concerne les avocats employés ou retenus par le gouvernement, ventilés par ministères et organismes pour l’exercice 2016-2017: a) quels sont les montants totaux, versés aux avocats employés pour (i) les salaires, (ii) les heures supplémentaires, (iii) les congés rémunérés en espèces, (iv) les frais de déplacement, (v) les cotisations de membre, (vi) les dépenses en vêtements; b) quels sont les montants, versés à des avocats de l’extérieur dont les services sont retenus par le gouvernement (i) au total, (ii) en ce qui concerne les cabinets auxquels on verse 100 000 $ ou plus, ventilés par cabinet; c) combien d’avocats sont employés dans chaque groupe et niveau professionnels; d) combien d’avocats ont été nommés dans des postes, ventilés par groupe et niveau professionnels, au cours de l’exercice 2016-2017?
(Le document est déposé.)
Question no 1626 -- M. Pat Kelly:
En ce qui concerne la conclusion de la cour selon laquelle une poursuite malveillante a été engagée à l’égard de Tony et Helen Samaroo, de Nanaimo, en Colombie Britannique: a) le cas échéant, quelle mesure disciplinaire l’Agence du revenu du Canada (ARC) a-t-elle prise à l’endroit des responsables; b) quelles sont les étapes du processus disciplinaire de l’ARC à l’égard de ses employés; c) en ce qui concerne chaque étape en b), quels sont les comportements ou les actes qui entraînent la mesure disciplinaire; d) en ce qui concerne chaque étape en b), combien de fois le comportement en c) doit-il être manifesté par un employé de l’ARC avant que l’on passe à l’étape suivante; e) en ce qui concerne chaque étape en b), combien d’employés de l’ARC ont fait l’objet de mesures disciplinaires au cours de chacune des années de 2016 à 2018, inclusivement; f) en ce qui concerne chaque étape en b), quel recours ou mécanisme d’appel est à la disposition d’un employé de l’ARC accusé d’un comportement pouvant entraîner la mesure disciplinaire; g) à l’ARC, quelle est la mesure disciplinaire la plus courante ou la plus fréquemment utilisée à l’égard des employés déclarés responsables de poursuites malveillantes; h) quelle est la mesure disciplinaire la plus fréquemment utilisée par l’ARC à l’égard des employés qui ont fourni des réponses inexactes à des contribuables ayant communiqué avec un centre d’appels de l’ARC; i) quelle est la mesure disciplinaire la plus fréquemment utilisée par l’ARC à l’égard des employés qui ont établi des avis de cotisation erronés; j) quelle est la mesure disciplinaire la plus fréquemment utilisée par l’ARC à l’égard des employés qui ont réalisé des vérifications erronées, commis des erreurs de calcul ou commis des erreurs de droit?
(Le document est déposé.)
Question no 1628 -- M. Bob Zimmer:
En ce qui concerne les contrats conclus avec Zgemi Inc., depuis le 4 novembre 2015, ventilés par ministère, organisme, société d’État ou autre entité gouvernementale: a) quels sont les détails de chaque dépense, y compris (i) le vendeur, (ii) la date et la durée du contrat, (iii) le montant, (iv) la description des biens et services fournis; b) le président ou un employé de Zgemi Inc. ont-ils parlé affaires avec des ministres, des membres du personnel exonéré ou des fonctionnaires en Inde en février 2018 et, le cas échéant, quels sont les détails de ces discussions, y compris (i) les parties aux discussions, (ii) la nature des affaires traitées, (iii) la date, (iv) le lieu?
(Le document est déposé.)
[Traduction]
:
Monsieur le Président, je demande que les autres questions restent au
Feuilleton.
Le vice-président adjoint (M. Anthony Rota): D'accord?
Des voix: D'accord.