M-117 Agriculture biologique
44e législature, 1re session
Texte de la motion
Que :
a) la Chambre reconnaisse que,
(i) les agriculteurs sont en première ligne, face à l’augmentation des effets des changements climatiques, et doivent donc avoir accès à tous les outils disponibles pour s’adapter tout en réduisant l’impact environnemental,
(ii) l’agriculture biologique est une approche mondialement reconnue, pour une production alimentaire durable, qui est appuyée par une réglementation fédérale et un système d’assurance par des tiers et qui répond à la demande croissante des consommateurs au Canada et ailleurs dans le monde,
(iii) l’agriculture biologique présente des avantages avérés pour ce qui est de l’augmentation des revenus agricoles, de l’amélioration de la biodiversité et de la santé des sols, de la réduction des émissions de gaz à effet de serre par hectare et du renforcement de la résilience face aux effets des conditions météorologiques extrêmes,
(iv) le développement et l’amélioration de l’agriculture biologique peuvent contribuer de manière significative à l’atteinte des objectifs environnementaux, climatiques et économiques du Canada,
(v) l’absence de cadre stratégique pour le développement de l’alimentation et de l’agriculture biologiques au Canada, contrairement à bon nombre de nos principaux concurrents commerciaux, qui ont mis en place des politiques de développement de l’agriculture biologique et réalisent des investissements sans précédent dans leurs secteurs, place les agriculteurs biologiques canadiens dans une situation de désavantage concurrentiel;
b) de l’avis de la Chambre, le gouvernement devrait pleinement reconnaître et intégrer l’agriculture biologique dans la Stratégie pour une agriculture durable au Canada comme outil intersectoriel permettant d’atteindre des objectifs multiples.
a) la Chambre reconnaisse que,
(i) les agriculteurs sont en première ligne, face à l’augmentation des effets des changements climatiques, et doivent donc avoir accès à tous les outils disponibles pour s’adapter tout en réduisant l’impact environnemental,
(ii) l’agriculture biologique est une approche mondialement reconnue, pour une production alimentaire durable, qui est appuyée par une réglementation fédérale et un système d’assurance par des tiers et qui répond à la demande croissante des consommateurs au Canada et ailleurs dans le monde,
(iii) l’agriculture biologique présente des avantages avérés pour ce qui est de l’augmentation des revenus agricoles, de l’amélioration de la biodiversité et de la santé des sols, de la réduction des émissions de gaz à effet de serre par hectare et du renforcement de la résilience face aux effets des conditions météorologiques extrêmes,
(iv) le développement et l’amélioration de l’agriculture biologique peuvent contribuer de manière significative à l’atteinte des objectifs environnementaux, climatiques et économiques du Canada,
(v) l’absence de cadre stratégique pour le développement de l’alimentation et de l’agriculture biologiques au Canada, contrairement à bon nombre de nos principaux concurrents commerciaux, qui ont mis en place des politiques de développement de l’agriculture biologique et réalisent des investissements sans précédent dans leurs secteurs, place les agriculteurs biologiques canadiens dans une situation de désavantage concurrentiel;
b) de l’avis de la Chambre, le gouvernement devrait pleinement reconnaître et intégrer l’agriculture biologique dans la Stratégie pour une agriculture durable au Canada comme outil intersectoriel permettant d’atteindre des objectifs multiples.
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