e-3527 (Santé)

Pétition au gouvernement du Canada

• L’administration du vaccin de Pfizer-BioNTech contre la COVID-19 a été autorisée chez les Canadiens âgés d’aussi peu que 12 ans, en vertu de l’arrêté d’urgence;
• Les études de biodistribution montrent qu’une fois le vaccin injecté, les nanoparticules qui encapsulent l’ARNm se propagent dans tout le corps et s’accumulent dans les organes reproducteurs, entre autres, et les concentrations maximales de ces nanoparticules et de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 dans les organes n’ont pas encore été déterminées;
• L’Organisation mondiale de la Santé a récemment confirmé que les enfants et les adolescents ont tendance à être moins affectés par la maladie, et il n’y a pas encore suffisamment de données probantes pour recommander la vaccination des enfants;
• Les organes reproducteurs et endocriniens sont vulnérables aux lésions causées par les infections et les inflammations, lesquelles risquent d’entraîner la stérilité ou d’autres problèmes de santé;
• Les nanoparticules du vaccin qui encapsulent l’ARNm peuvent provoquer de l’inflammation;
• La protéine de spicule, qui cause des dommages à divers organes, peut circuler dans le sang jusqu’à 28 jours après la vaccination;
• Le Vaccine Adverse Event Reporting System des États-Unis a reçu des dizaines de milliers de signalements faisant état de troubles sanguins et de problèmes touchant divers organes, dont les ovaires;
• À l’heure actuelle, les essais cliniques visant à assurer l’innocuité du vaccin ne sont pas suffisamment longs et ne comptent pas assez de participants pour exclure la possibilité de nombreux effets indésirables à court terme et, surtout, à long terme, notamment sur le plan de l’auto-immunité et de l’infertilité.