FEWO Rapport du Comité
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Madame
Hélène Leblanc Madame, Je suis heureuse de répondre, au nom du gouvernement du Canada, au quatrième rapport du Comité permanent de la condition féminine intitulé Les troubles de l’alimentation chez les filles et les femmes au Canada, déposé à la Chambre des communes le 17 novembre 2014. Au nom du gouvernement du Canada, je souhaite remercier les membres du Comité de cette étude approfondie et utile. Le gouvernement du Canada reconnaît les conséquences dévastatrices des troubles de l’alimentation, en particulier pour les femmes et les filles. La prévention des troubles de l’alimentation commence par l’amélioration de la santé mentale. Reconnaissant la responsabilité primaire des provinces et des territoires en matière de prestation des soins de santé, notre gouvernement a annoncé la conclusion d’une entente à long terme dans le cadre de laquelle les transferts atteindront des sommets historiques de plus de 40 milliards de dollars d’ici la fin de la décennie. En aidant les administrations à déterminer la meilleure façon de lutter contre les maladies mentales graves, comme les troubles de l’alimentation, le gouvernement du Canada collabore avec les provinces et les territoires et des intervenants pour régler cet enjeu suscitant de grandes préoccupations d’une façon correspondant à son rôle. Pour articuler les activités du gouvernement liées aux défis établis par le Comité, la présente réponse est organisée en fonction de quatre thèmes : l’élaboration d’un cadre fédéral; le traitement et l’accès aux soins; la recherche et la surveillance; la sensibilisation et l’éducation. Le gouvernement a créé la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC) pour donner du leadership et de la coordination dans le cadre de l’amélioration de la santé mentale des Canadiens et de la réaction du Canada à l’égard des maladies mentales. La CSMC offre un fondement à la collaboration donnant un soutien général à la santé mentale et, ce faisant, appuie nos objectifs en matière de prévention des troubles de l’alimentation. De plus, le gouvernement a pris des mesures récemment pour améliorer les étiquettes nutritionnelles sur les aliments emballés. Suite à un engagement dans le Discours du Trône 2013, le gouvernement a consulté les consommateurs sur les mesures visant améliorer la présentation des informations nutritifs sur les aliments préemballés. Le Tableau de la valeur nutritive permet aux consommateurs de choisir et de comparer des produits et de faire un choix informé et sain. Santé Canada examine et incorpore tous les réactions reçus lorsque le gouvernement du Canada avance de mettre-à-jour les exigences d’étiquetage nutritionnel. Cadre fédéral La recommandation du Rapport à cet égard a trait à la perspective d’établir un cadre fédéral pour recueillir auprès des provinces et des territoires de l’information, des statistiques et des pratiques exemplaires et les fournir à ces provinces et à ces territoires, et accroître la sensibilisation à l’égard de la prévalence des troubles de l’alimentation au Canada. Comme l’a signalé le Comité, il y a un certain nombre d’obstacles qui rendent difficiles pour les personnes souffrant de troubles de l’alimentation, leurs familles, les professionnels des soins de santé et d’autres personnes, de reconnaître, de recevoir ou de donner un diagnostic, de se faire soigner et d’accéder à d’autres formes de soutien selon ces maladies. Comme les troubles de l’alimentation sont une forme de maladie mentale, ils sont inclus dans l’approche exhaustive du présent gouvernement pour favoriser la santé mentale et traiter la maladie mentale. Le gouvernement du Canada travaille avec des partenaires, notamment les provinces et les territoires, à exploiter les leçons tirées, les données probantes et les données pour améliorer le bien être mental des Canadiens en faisant la promotion d’activités protégeant la santé mentale (p. ex. renforcer la résilience, les aptitudes à l’adaptation et les liens sociaux) et en réduisant les facteurs mettant la santé mentale à risque (p. ex. abus de drogues et exposition à la violence familiale et à la violence faite aux enfants). En conséquence, il est possible que les Canadiens soient davantage en mesure de gérer les pressions pouvant contribuer à une maladie mentale comme un trouble de l’alimentation. En 2007, le gouvernement du Canada a annoncé 130 millions de dollars répartis sur 10 ans pour créer la CCSM afin de combler les lacunes et de s’attaquer aux défis, et de contribuer à l’accroissement de la sensibilisation et à l’établissement des partenariats nécessaires à l’amélioration de la santé mentale de tous les Canadiens. Cet investissement, ainsi que notre soutien de la recherche sur les troubles de l’alimentation et la santé mentale, constitue le rôle adéquat que doit jouer le gouvernement fédéral. Le gouvernement demeure déterminé à travailler avec ses partenaires pour relever les défis posés par la santé mentale et les maladies mentales, notamment les troubles de l’alimentation, dans un esprit de coordination et de collaboration. Traitement et accès aux soins Le Rapport du Comité met en évidence un certain nombre de défis et d’obstacles pour les personnes souffrant de troubles de l’alimentation à accéder au traitement et aux soins, en particulier les personnes provenant de milieux éloignés, ruraux ou marginalisés. Même si la prestation des services de soins de santé relève des provinces et territoires, notre gouvernement continuera de collaborer avec les provinces, les territoires et les intervenants pour augmenter l’accès aux services dans les régions desservis et d’aligner l’éducation médicale sur les besoins des Canadiens. Par exemple, l’Initiative de postes de résidence en médecine familiale, qui représente un investissement fédéral de 39,5 millions de dollars sur six ans, finance des postes de résidence en médecine familiale et de formation avancée dans les communautés rurales et éloignées à travers le pays. En plus, un autre 9 millions de dollars d’allègement de Prêts d'études du gouvernement du Canada est disponible aux nouveaux médecins de famille, résidents en médecine familiale, infirmiers praticiens et personnel infirmier qui choisissent de pratiquer dans des communautés rurales ou desservies à travers le Canada. Ces investissements aident d’attirer plus de professionnels de santé aux petites communautés du Canada et d’améliorer l’accès aux soins de santé pour les gens qui habitent au-delà des grandes régions urbaines. Le gouvernement du Canada investit dans les activités liées à la santé mentale correspondant à son rôle. La promotion de la santé mentale et du bien-être vise à accroître la capacité des communautés et des personnes à prendre le contrôle de leur vie et à améliorer leur santé mentale. Il s’agit d’accroître leur résilience lorsqu’elles seront confrontées à l’adversité. Les programmes fédéraux sont axés sur les populations dont le risque est élevé. Par exemple, l’Agence de la santé publique investit plus de 112 millions de dollars annuellement dans des activités communautaires de promotion de la santé destinées aux enfants à risque et à leurs familles, dont des activités de promotion de la santé mentale, de la nutrition et d’une saine alimentation, pour favoriser un début de vie en santé. Le gouvernement du Canada finance aussi les communautés inuites et des Premières nations afin qu’elles soutiennent des programmes et des services de santé adaptés à la culture, notamment des initiatives axées sur la vie saine et une meilleure santé mentale. Ce travail visant à améliorer les résultats pour la santé des peuples autochtones est une entreprise que se partagent les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux, ainsi que les partenaires autochtones. Le rôle de Santé Canada consiste à soutenir les services de santé provinciaux et territoriaux dans le but d’offrir des services et des programmes de santé adaptés à la culture qui contribuent à améliorer les résultats en santé pour les Premières nations et les Inuits. Cela comprend la promotion de la santé mentale et le soutien des services de traitement des maladies mentales et de lutte contre la toxicomanie, des comportements sains et d’une saine alimentation. Le gouvernement du Canada soutient aussi les provinces et les territoires dans le cadre de leur prestation des soins de santé grâce aux Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC). L’IRSC dirige la Stratégie de recherche axée sur le patient du Canada (SRAP), une coalition de partenaires fédéraux, provinciaux et territoriaux. ACCESS Canada, le premier réseau créé dans le cadre SRAP, touche au domaine de la santé mentale des jeunes et des adolescents. Il vise à améliorer les résultats en santé pour les adolescents et les jeunes en transformant la façon dont les soins liés à la santé mentale sont prodigués au Canada. Ce réseau représente un investissement de 25 millions de dollars répartis sur cinq ans, que se partagent à part égale les IRSC et la Fondation Graham Boeckh. Ces approches correspondent aussi aux recommandations de Changer les orientations, changer des vies, la stratégie en matière de santé mentale pour le Canada diffusée par la CSMC en mai 2012. La CSMC continue de travailler avec ses partenaires pour encourager l’adhésion à la stratégie, promouvoir les pratiques exemplaires, explorer les possibilités d’améliorer la santé mentale et le bien être, et s’attaquer aux maladies mentales, notamment les troubles de l’alimentation. Recherche et surveillance Le rapport du Comité souligne l’importance de la recherche approfondie et d’une surveillance rigoureuse en matière de prévention et pour aider les personnes souffrant de troubles de l’alimentation. Le gouvernement du Canada reconnaît l’importance de ces activités et entreprend d’importants travaux dans ce domaine. Par exemple, plusieurs instituts des IRSC appuient la recherche liée aux troubles de l’alimentation. La majorité du financement des IRSC est allouée dans le cadre d’un financement demandé par les chercheurs, c. à-d. que les chercheurs choisissent des sujets de recherche clés et soumettent des propositions de financement. . Les IRSC se réjouiraient de disposer d’applications supplémentaires provenant de chercheurs étudiant les troubles de l’alimentation. De 2006-2007 à 2013-2014, les IRSC ont investi quelque 480 millions de dollars dans la recherche sur la santé mentale, notamment quelque 6 millions pour la recherche sur les troubles de l’alimentation. Cet investissement comprend la recherche sur les tendances à long terme liées aux rechutes et au rétablissement chez les femmes souffrant d’anorexie, le recherche sur le traitement des troubles de l’alimentation, les méthodes de dépistage des troubles de l’alimentation chez les enfants et les jeunes, les liens entre la toxicomanie et les troubles de l’alimentation, les déterminants génétiques d’un faible poids lié à l’anorexie mentale, la manière avec laquelle les liens avec les pères affectent le développement des troubles de l’alimentation des jeunes, le nombre croissant de garçons et d’hommes souffrant de ces troubles et l’efficacité des interventions du traitement pour les femmes souffrant de frénésie alimentaire. Par exemple, un projet de recherche a exécuté et a évalué une formation fondée sur des données probantes et matière des troubles de l’alimentation personnalisée aux professionnels de santé en soins primaires visant d’assurer que ces professionnels ont les compétences pour évaluer et traiter les troubles de l’alimentation de façon appropriée. Un autre projet de recherche a évalué l’utilité d’un nouveau traitement à dépister les troubles de l’alimentation chez les jeunes pour donner meilleur accès aux traitements à ceux qui n’auront pas cherché du soin. Les IRSC ont aussi financé de la recherche sur l’effet de la stimulation cérébrale profonde et de la stimulation magnétique transcrânienne sur les problèmes de santé mentale, comme la dépression et la schizophrénie. Le gouvernement du Canada appuie aussi la surveillance des troubles de l’alimentation et d’autres maladies découlant de la santé mentale. Comme l’a souligné le Comité, l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) recueille de l’information sur la santé et les soins de santé provenant des provinces et des territoires, y compris de l’information sur les troubles de l’alimentation. Le gouvernement accueille le travail d’ICIS en concert avec les provinces et territoires afin d’accroître la participation des services d’urgence aux bases de données de l’ICIS dans l’ensemble du Canada et son travail avec des partenaires d’élaborer des systèmes d’information visant les soins primaires et les services communautaires. Statistique Canada recueille des données sur la mortalité en fonction de la cause, y compris les troubles de l’alimentation. Ces données sont aussi accessibles au public. De plus, l’Agence de la santé publique du Canada finance l’Enquête sur les comportements de santé des jeunes d’âge scolaire, laquelle signale la perception de l’image corporelle chez les enfants. L’Agence collaborera avec l’Hôpital pour enfants malades et l’Hôpital pour enfants de l’est de l’Ontario au cours de la prochaine année pour analyser les données existantes afin de comprendre la situation relative aux problèmes de l’alimentation au Canada et rendre compte de la prévalence, des troubles comorbides et des facteurs de risque des troubles de l’alimentation. Le gouvernement du Canada finance divers programmes de recherche, notamment le programme des Réseaux de centres d’excellence (RCE), lequel est dirigé conjointement par les trois organismes subventionnaires fédéraux : l’IRSC, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et le Conseil de recherches en sciences humaines. Le programme RCE finance des partenariats nationaux, multidisciplinaires et multisectoriels pour rapprocher de la recherche excellente avec la connaissance industrielle et d’investissement stratégique. La procédure de sélection rigoureuse et très compétitive consiste d’une évaluation par les pairs, d’un examen stratégique et d’une recommandation par un comité de sélection. Des opportunités de candidatures sont affichées sur le site Web du RCE : nce-rce.gc.ca. De plus, le gouvernement investit approximativement 265 millions de dollars par année dans le programme de Chaires de recherche du Canada pour attirer et retenir quelques des cerveaux les plus accomplis et prometteurs au monde. Environ 2000 Chaires de recherche du Canada sont attribuées par une évaluation rigoureuse par les pairs incluant des évaluations par des experts externes et le comité de révision, une évaluation stratégique par le comité de sélection et l’approbation finale par le comité directeur. Ceci inclut la Chaire de recherche du Canada en personnalité et en santé, le Dr Gordon Flett, qui examine la relation entre le perfectionnisme et les troubles psychologiques, incluant les troubles de l’alimentation et la dépression post-partum. Sensibilisation et éducation Le rapport du Comité souligne l’importance de la sensibilisation et de l’éducation pour combattre les troubles de l’alimentation au Canada. Comme l’a signalé le Comité, la publicité destinée aux enfants ainsi que la promotion de l’éducation et de la sensibilisation en ce qui a trait aux troubles de l’alimentation et aux défis auxquels sont confrontées les personnes souffrant de ces troubles sont essentielles. Dans toutes les provinces, à l’exception du Québec, l’autoréglementation de l’industrie oriente l’utilisation de diverses méthodes de mise en marché. Au Québec, la publicité commerciale destinée aux enfants de moins de 13 ans est interdite, soumis à certaines exceptions dans la règlementation. Le gouvernement du Canada prend au sérieux ces questions liés à l’éducation et la sensibilisation au sujet de la santé mentale, incluant les troubles de l’alimentation, et travaille pour que ses activités renforcent les messages de santé positifs et minimise les possibles conséquences négatives. Grâce au soutien qu’il donne à la CSMC, le gouvernement sensibilise les Canadiens à la santé mentale et aux maladies mentales, notamment les troubles de l’alimentation. La CSMC est un catalyseur pour améliorer le système de santé mentale et changer les comportements des Canadiens à l’égard des enjeux liés à la santé mentale. La CSMC se concentre sur un large éventail d’initiatives, y compris l’élaboration et la promotion d’une stratégie nationale à l’égard de la santé mentale, le partage des connaissances et la réduction de la stigmatisation associée à la maladie mentale, dont les troubles de l’alimentation. Par exemple, grâce au programme de formation Premiers soins en santé mentale de la CSMC, les personnes sont formées pour donner un soutien initial aux personnes susceptibles de souffrir d’un problème de santé mentale ou victimes d’une crise liée à la santé mentale, y compris un trouble de l’alimentation. Les initiatives du secteur privé, tel que la campagne Cause pour la cause de Bell Canada, complètent ces efforts de réduire la stigmatisation liée à la maladie mentale pour les Canadiens puissent chercher l’aide dont ils ont besoin. Le gouvernement a aussi porté éducation publique à la connaissance internationale grâce à notre rôle à l’Assemblée mondiale de la santé. Les initiatives liées à la saine alimentation de Santé Canada sont planifiées et offertes de façon à minimiser les risques à la santé, comme les troubles de l’alimentation. Tous les efforts sont faits pour donner aux consommateurs des messages nutritionnels constructifs axés sur la santé et le bien être, et non le poids puisque la préoccupation du poids est un gage des troubles de l’alimentation. Bien manger avec le Guide alimentaire canadien est probablement la ressource en nutrition la mieux connue à l’échelle nationale conçue par Santé Canada. Le Guide alimentaire fait la promotion d’un modèle d’alimentation permettant de combler les besoins nutritifs, de promouvoir la santé et de minimiser le risque de souffrir de maladies chroniques liées à la nutrition. Au cours des étapes de la conception du Guide alimentaire canadien, le bilan énergétique a été une considération clé pour les modèles d’apport alimentaire. En définissant les poids normaux, le gouvernement du Canada respecte les meilleures données probantes et les meilleures normes reconnues à l’échelle internationale. Le document Lignes directrices pour la classification du poids chez les adultes (2003) utilise l’indice de masse corporelle et le tour de taille pour évaluer le poids des adultes de plus de 18 ans. Ce système de classification est conforme aux recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) largement adoptées à l’échelle internationale. Pour les individus, cette classification n’est qu’une composante d’une évaluation de santé plus exhaustive permettant de clarifier le risque pour la santé. Pour surveiller et évaluer le poids des nourrissons et des enfants, le gouvernement du Canada recommande d’utiliser les courbes de croissance mises au point par l’OMS. Les diététistes du Canada, la Société canadienne de pédiatrie, le Collège des médecins de famille du Canada et l’Association canadienne des infirmières et infirmiers en santé communautaire encouragent leur utilisation au Canada. Le gouvernement du Canada est déterminé à travailler avec ses partenaires provinciaux et territoriaux pour promouvoir le poids santé chez les enfants au moyen de Freiner l’obésité juvénile : Cadre d’action fédéral, provincial et territorial pour la promotion du poids santé. Les priorités cernées dans ce cadre comprennent l’accroissement de la disponibilité et de l’accessibilité des aliments nutritifs. Le gouvernement donne accès aux données et ressources probantes et courantes par le Portail canadien des pratiques exemplaires pour aider renseigner des efforts à promouvoir la santé et à prévenir les maladies chroniques. Ce Portail offre un guichet unique qui regroupe plusieurs sources de renseignements fiables ainsi que des liens vers des ressources et des solutions permettant de planifier des programmes de promotion de la santé et de prévention des maladies destinés à la population et aux collectivités. Le gouvernement partage de l'information fiable et facile à comprendre sur la santé, incluant la promotion de la santé mentale, au public par le site Web Canadiens en santé. Afin d’aider la sensibilisation aux troubles de l’alimentation et de contribuer aux efforts de prévention, le gouvernement inclura les troubles de l’alimentation expressément dans ces ressources pour les Canadiens. Conclusion En terminant, j’aimerais encore remercier le Comité de son important travail. Ce rapport est à la fois opportun et grandement pertinent. Il a contribué à faire la lumière sur les défis auxquels nous sommes confrontés en matière de prévention des troubles alimentaires et de lutte contre ces troubles chez les femmes et les filles. J’espère que cette réponse exprime l’engagement du gouvernement à continuer de soutenir d’importantes initiatives pour contribuer à gérer ces maladies dévastatrices. Veuillez agréer, Madame, l’expression de mes sentiments les meilleurs. L’hon. Rona Ambrose, C.P., députée |