:
Monsieur le Président, on répondra aujourd'hui aux questions n
os 466, 473, 474, 477, 484, 489, 493, 494, 498, 501 et 509.
[Texte]
Question no 466 -- M. Scott Andrews:
En ce qui concerne le plan du gouvernement visant à annuler une partie de la composante fédérale des prêts aux étudiants que doivent rembourser les médecins de famille, le personnel infirmier praticien et le personne infirmier qui viennent d’obtenir leurs diplômes et qui travaillent dans des collectivités canadiennes mal desservies en milieu rural ou éloigné: a) quand ces personnes pourront-elles commencer à profiter de l’annulation de prêts; b) selon les estimations, combien de personnes seront admissibles à l’annulation pour l’exercice 2012-2013; c) quelle est la valeur estimée des prêts qui seront annulés; d) quel processus devront suivre ces personnes pour demander l’annulation de leurs prêts?
L'hon. Diane Finley (ministre des Ressources humaines et du Développement des compétences, PCC):
Monsieur le Président, vous trouverez ci-dessous les réponses qu’a fournies le ministère à la question mentionnée ci-dessus.
Pour ce qui est des parties a), b), c) et d),
l’initiative prévoyant l’annulation d’une partie des prêts d’études canadiens, PEC, que doivent rembourser les médecins de famille, le personnel infirmier praticien et le personnel infirmier est en voie d’être mise en œuvre pour 2012 2013, sous réserve de l’approbation réglementaire. Cette mesure entrera en vigueur en 2013.
Question no 473 -- L'hon. Denis Coderre:
Pour ce qui est du voyage que le ministre de la Citoyenneté, de l’Immigration et du Multiculturalisme a fait en Nouvelle-Zélande et en Thaïlande en juillet et août 2011, qui étaient les employés et les invités qui ont accompagné le ministre?
M. Rick Dykstra (secrétaire parlementaire du ministre de la Citoyenneté et de l'Immigration, PCC):
Monsieur le Président, voici la réponse qu’a fournie CIC à la question mentionnée ci-dessus:
Chris Mahon, adjoint exécutif du ministre, a accompagné le ministre tout au long du voyage.
Kate O’Brien, gestionnaire de programme d’immigration, GPI, Canberra, a participé à certains des événements tenus à Wellington, et s’est ensuite rendue par voie aérienne avec le ministre et Chris Mahon, de Wellington à Auckland.
Micheline Aucoin, directrice de zone Asie du sud-est Est / GPI -- Manille, a participé au segment du voyage s’étant déroulé en Thaïlande.
Question no 474 -- L'hon. Mark Eyking:
En ce qui concerne le projet de modernisation de la gestion des pêches du ministère des Pêches et des Océans (MPO): a) combien d’emplois seront supprimés ou déplacés en raison de l’établissement d’un système de renouvellement et de paiement des permis en ligne; b) quels bureaux seront touchés et où se trouvent-ils; c) le gouvernement dispose-t-il d’un plan pour veiller à ce que chaque pêcheur, dans chaque communauté de pêcheurs, y compris ceux qui vivent essentiellement dans des régions rurales, où tous n’ont pas accès à Internet haute vitesse, profite des mêmes normes de service; d) quel est le plan du gouvernement pour offrir un service équivalent aux pêcheurs qui n’ont pas et qui n’auront pas accès à Internet; e) quel sera l’effet sur les services pour ceux qui n’ont pas et qui n’auront pas accès à Internet; f) quel est le plan du gouvernement pour permettre aux pêcheurs qui n’ont pas et qui n’auront pas accès à Internet d’apporter des changements de dernière minute à leurs dossiers, comme ils pouvaient auparavant le faire par téléphone?
L'hon. Keith Ashfield (ministre des Pêches et des Océans et ministre de la porte d'entrée de l'Atlantique, PCC):
Monsieur le Président, vous trouverez ci-dessous les réponses qu’a fournies le ministère à la question mentionnée ci-dessus.
On Pour ce qui est de la partie a), on estime que la réduction de postes s'établira à 42 emplois par suite de l’instauration d’un système
d’émission de permis en ligne.
Pour ce qui est de la partie b), les réductions de postes auront lieu à Vancouver, Nanaimo et Prince Rupert, en Colombie-Britannique; à Whitehorse, au Yukon;
à Québec, Sept-Îles et en Gaspésie, au Québec; à Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard; à St. George, Richibucto et Tracadie-Sheila, au Nouveau-Brunswick;
à Yarmouth, Dartmouth, Sydney et Antigonish, en Nouvelle-Écosse; et à St. John’s, Mount Pearl, Grand Bank, Corner
Brook, Happy Valley-Goose Bay et Grand Falls-Windsor, à Terre-Neuve-et-Labrador.
Pour ce qui est de la partie c), Pêches et Océans Canada développe un système en ligne qui aura des normes de services équivalents
et offrira aux pêcheurs du pays des services constants, plus efficients et plus efficaces, disponibles tous
les jours, 24 heures sur 24.
Pour ce qui est des parties d) et e), nous développons des procédures de rechange de prestation des services pour ceux qui n’ont pas et
qui n’auront pas accès à l’Internet. Par exemple, le système en ligne permettra aux pêcheurs de
déléguer leurs responsabilités en matière de permis à d'autres personnes qui ont accès à l'Internet.
Pour toutes régions où l’accès à l’iInternet n’est pas disponible sur place, des procédures de rechange
en vue d'assurer la prestation de ces services seront mise en place.
Pour ce qui est de la partie f), en cas de besoin, du personnel sera disponible dans les bureaux des pêches locaux pour venir en aide
aux détenteurs de permis qui font face à des circonstances exceptionnelles.
Question no 477 -- Mme Judy Foote:
En ce qui concerne les coûts prévus non récurrents de fermeture du Centre secondaire de sauvetage maritime de St. John’s (MRSC de St. John’s) et la fusion du MRSC de St. John’s avec le Centre conjoint de coordination des opérations de sauvetage à Halifax (JRCC Halifax) et le Centre conjoint de coordination des opérations de sauvetage à Trenton (JRCC Trenton), quel est le coût total: a) de la fusion du MRSC de St. John’s avec le JRCC Halifax et le JRCC Trenton; b) de la nouvelle formation qui sera donnée au JRCC Halifax et au JRCC Trenton, y compris la formation linguistique et les heures supplémentaires nécessaires pour remplacer le personnel en formation; c) du déménagement au JRCC Halifax et au JRCC Trenton; d) des mises à niveau nécessaires au JRCC Halifax et au JRCC Trenton; e) des prestations versées aux employés qui choisissent de quitter la fonction publique en raison de la fusion; f) du recrutement de candidats pour remplacer les services fournis par le MRSC de St. John’s; g) des déplacements du personnel et des gestionnaires de projets entre le JRCC Halifax, le JRCC Trenton, le MRSC de St. John’s et Ottawa en raison de la fusion; h) de la gestion de projets, dont le remplacement du surintendant régional, Recherche et sauvetage, afin de voir aux aspects logistiques de la fusion; i) d’autres obligations de réaménagement des effectifs, comme les offres d’emploi raisonnables aux employés touchés?
L'hon. Keith Ashfield (ministre des Pêches et des Océans et ministre de la porte d'entrée de l'Atlantique, PCC):
Monsieur le Président, vous trouverez ci-dessous les réponses qu’a fournies le ministère à la question mentionnée ci-dessus.
Pour ce qui est des parties a) et b), la réduction du nombre de postes permettra de réaliser une économie nette et permanente d'un million de dollars en salaires. Les coûts indirects totaux annuels des télécommunications, des services informatiques, de la formation, des voyages et des exercices ne changeront pas et seront transférés des Centres secondaire de sauvetage maritime, MRSC, aux Centres conjoints de coordination des opérations de sauvetage, JRCC. Les coûts permanents totaux des JRCC regroupés n'ont pas encore été finalisés. Les coûts ponctuels de la mise en œuvre du regroupement dépendent de divers facteurs, dont la formation particulière, les besoins de réinstallation de chaque nouvel employé et la portée des améliorations requises aux JRCC d'Halifax et de Trenton.
Pour ce qui est de la partie c), en date du 12 mars 2012, aucun employé des MRSC de St. John's et de Québec n'a accepté de déménager aux JRCC d'Halifax ou de Trenton.
Pour ce qui est de la partie d), les coûts du renouvellement ou de la mise à niveau des JRCC sont en cours de révision puisque plusieurs projets de renouvellement et de mise à niveau étaient déjà en cours aux deux JRCC avant l'annonce de ce regroupement par le gouvernement , par exemple, les mises à niveau du système téléphonique, des logiciels, du matériel et des rénovations.
Pour ce qui est de la partie e), les coûts de tous les avantages potentiels versés aux employés qui choisissent de quitter la fonction publique sont déterminés au cas par cas, conformément aux conventions collectives. Si des employés acceptent un autre emploi dans la fonction publique, ces coûts seront évités.
Pour ce qui est de la partie f), un processus de recrutement est en cours dans tous les JRCC. Nous n'aurons donc pas d'estimation finale des coûts tant que le processus ne sera pas terminé.
Pour ce qui est de la partie g), les coûts finaux des déplacements ne seront disponibles que lorsque le regroupement sera entièrement mis en œuvre.
Pour ce qui est de la partie h), les fonctions de gestion de projet ont été accomplies par les employés actuels de la Garde côtière sans dépasser l'enveloppe salariale.
Pour ce qui est de la partie i), le réaménagement des effectifs est toujours en cours et tous les employés concernés y seront soumis conformément à leurs conventions collectives négociées et aux politiques du gouvernement du Canada. Les coûts finaux pour chaque employé touché ne seront connus qu'une fois le processus terminé.
Question no 484 -- L'hon. John McKay:
En ce qui concerne les trois profils affichés sur le site Web de l’Agence canadienne de développement international (ACDI) pour le projet Promouvoir la mise en place efficace de la responsabilité sociale des entreprises, doté d’un budget total de 20 millions de dollars, pour chacun des trois pays suivants: Colombie, Pérou et Bolivie: a) quels sont l’agence d’exécution et le partenaire de chacun des projets; b) quelle somme a été consentie à chaque projet, (i) quelle part de cette somme a été dépensée, (ii) quand les fonds ont-ils commencé à être dépensés, (iii) quelles activités et dépenses précises les fonds ont-ils servi à financer, (iv) dans quelle région de chacun des pays les fonds ont-ils été dépensés; c) y a-t-il des projets miniers canadiens ou autres en cours dans ces régions; d) ces trois projets correspondent-ils à l’Initiative régionale andine de l’ACDI?
L'hon. Bev Oda (ministre de la Coopération internationale, PCC):
Monsieur le Président, la réponse à cette question s’appuie sur les profils contenus dans la Banque de projets de l’ACDI pour les sous-composantes suivantes du projet « Promouvoir la mise en place efficace de la responsabilité sociale des entreprises », A034537:
A034537-001 = Promouvoir la mise en place efficace de la responsabilité sociale des entreprises -- Bolivie
A034537-002 = Promouvoir la mise en place efficace de la responsabilité sociale des entreprises -- Colombie
A034537-003 = Promouvoir la mise en place efficace de la responsabilité sociale des entreprises -- Pérou.
Pour ce qui est de la partie a), actuellement, aucune agence d’exécution ou partenaire de mise en œuvre n’a été retenu pour réaliser des activités en lien avec ce projet. Une agence d’exécution sera choisie à l’issue d’une demande de propositions qui sera affichée dans le système MERX du gouvernement du Canada pour deux composantes du projet. Cette demande de propositions est en cours de préparation. De plus, des partenaires de mise en œuvre locaux seront retenus à l’issue d’appels locaux de propositions en Bolivie, en Colombie et au Pérou.
Pour ce qui est de la partie b)i)ii)iii):
A034537-001 = Bolivie = 6 591 667 $; A034537-002 = Colombie = 6 591 667 $; A034537-003 = Pérou = 6 591 667 $.
Le financement de ce projet est actuellement alloué à parts égales à chacun des pays, ainsi qu’il est indiqué plus haut et dans la Banque de projets de l’ACDI. Cependant, environ 5 millions de dollars du montant total du financement affecté aux projets sont actuellement budgétés pour deux composantes régionales qui permettront: 1) de renforcer la capacité des gouvernements locaux de mettre en œuvre des projets de développement durable et 2) de promouvoir le partage des connaissances en matière de responsabilité sociale des entreprises, RSE. Le reste sera affecté à parts égales à trois fonds locaux qui faciliteront l’établissement de partenariats avec le secteur privé aux fins de la mise sur pied de projets de développement durable en Bolivie, en Colombie et au Pérou.
(i)
A034537-001 = Bolivie = 18 391 $;
A034537-002 = Colombie = 0 $;
A034537-003 = Pérou = 27 125 $.
(ii)
A034537-001 = Bolivie = 2011;
A034537-002 = Colombie = S.O.; A034537-003 = Pérou = 2011.
(iii) et (iv)
A034537-001 = Bolivie = coordonnateur local de la RSE, à La Paz; A034537-002 = Colombie = S.O.; A034537-003 = Pérou = coordonnateur local de la RSE, à Lima.
À ce jour, les déboursés ont permis de couvrir les frais d’administration locaux liés à la mise sur pied du projet. L’ACDI prévoit que des projets financés par l’entremise d’appels de propositions locaux seront mis en œuvre à partir de l’exercice 2012-2013. Cela est notamment le cas au Pérou, où un appel local a été lancé à l’été 2011. Cet appel en est actuellement aux étapes finales d’approbation et d’ententes contractuelles. Les propositions reçues portent entre autres sur des projets de formation technique et professionnelle et sur le développement communautaire socioéconomique.
Pour ce qui est de la partie c), à ce jour, les dépenses ont été engagées uniquement pour des fins administratives, en lien avec les dépenses des coordonnateurs de la RSE à La Paz, en Bolivie, et à Lima, au Pérou. L’ACDI prévoit que des projets soutenus par des fonds locaux affectés à ce projet seront mis en œuvre dans les régions où sont réalisées des activités du secteur extractif. Aucune des propositions actuellement à l’étude ne vise la zone directe d’activités d’un projet minier, qu’il soit canadien ou d’un autre pays.
Pour ce qui est de la partie d), oui. Les trois profils contenus dans la Banque de projets de l’ACDI se situent en droite ligne avec l’Initiative régionale andine pour promouvoir la mise en place efficace de la RSE, laquelle a été annoncée par la ministre de la Coopération internationale le 29 septembre 2011, et en constituent les principaux éléments.
Question no 489 -- M. Guy Caron:
En ce qui concerne le plan de modernisation de l’assurance-emploi du Canada et la décision de 2011 de consolider les centres de traitement: a) quels ont été les critères de sélection pour le choix de l’emplacement des six centres de traitement au Québec dans le cadre de cet appel d’offres; b) quels critères ont été déterminants dans le choix de Thetford Mines, plutôt que Rimouski, pour installer un centre de traitement; c) selon les critères, quels ont été les résultats pour chacun des endroits ayant soumis leur candidature; d) quelle est la ventilation des coûts prévus ou estimés du transfert du centre de traitement de Rimouski vers Thetford Mines; e) quelles sont les économies prévues ou estimées, ventilées par année, du transfert du centre de traitement de Rimouski vers Thetford Mines; f) à quelle date la décision finale concernant la localisation du centre de traitement à Thetford Mines a-t-elle été prise?
L'hon. Diane Finley (ministre des Ressources humaines et du Développement des compétences, PCC):
Monsieur le Président, vous trouverez ci-dessous les réponses qu’a fournies le ministère à la question ci-dessus.
Pour ce qui est de la partie a), le gouvernement du Canada s’engage à offrir des programmes et des services qui sont efficients et efficaces, financièrement viables à long terme et en harmonie avec les priorités des Canadiens.
Le Canada connaît actuellement une période économique difficile, et le gouvernement du Canada met tout en œuvre -- dans l’intérêt de tous les Canadiennes et les Canadiens -- afin d’éliminer le déficit, rétablir l’équilibre budgétaire et améliorer les services que nous offrons.
En vue de réaliser ces économies, Ressources humaines et Développement des compétences Canada, RHDCC doit changer la façon dont il exerce actuellement ses activités. L’exercice inclut le regroupement des bureaux de traitement des demandes de l’assurance-emploi en 22 centres régionaux de plus grande taille et plus efficaces.
La sélection finale des centres de plus grande taille a été complétée en tenant compte de la perspective nationale et régionale. Il s'agit d'un programme national et de nombreux facteurs ont été pris en compte, tel que la main-d'œuvre existante, la disponibilité des compétences, le bilinguisme, ainsi que l'immobilier.
Il est important de souligner que si les 22 centres ont été choisis, les édifices et les modalités de location, eux, n’ont pas été finalisés dans tous les cas.
Comme par le passé, Service Canada travaillera avec Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, TPSGC, afin de s’assurer que le ministère observe les règlements et les lignes directrices en matière d’immobilier tout au long du regroupement. Cette étape inclut un processus d’appels d’offre par le moyen de l’outil MERX si de nouveaux baux s’avérèrent nécessaires.
Pour ce qui est de la partie b), à propos de l’endroit du centre de traitement, le choix n’a pas été fait l’un par rapport à l’autre. Ainsi qu’indiqué dans la réponse a) ci-dessus, la perspective nationale et régionale a été tenue en compte.
Pour ce qui est de la partie c), aucun endroit n’a soumis sa candidature. Plusieurs critères ont déterminé le choix idéal et final des centres de l’assurance-emploi à accroître, tels que les facteurs de risques évalués selon l’impact négatif associé à la réduction de la présence fédérale dans les communautés.
Pour ce qui est de la partie d), aucune date formelle n’a encore été déterminée pour la fermeture des centres de traitement de l’assurance-emploi présentement en fonction. L’ensemble de la transition, y compris l’attribution des ressources, sera axée sur les activités et alignée sur le programme d’automatisation de Service Canada.
Pour ce qui est de la partie e), veuillez vous référer à la réponse c) ci-dessus.
Pour ce qui est de la partie f), le 19 août 2011, la ministre de Ressources humaines et Développement des compétences Canada, RHDCC, annonçait l’initiative de modernisation de l’assurance-emploi. Cette annonce incluait la décision quant aux 22 centres de traitement de l’assurance-emploi de plus grande taille.
Ainsi qu’indiqué ci-dessus, l’annonce n’était pas à propos du déplacement des centres d’un endroit à un autre, mais plutôt d’annoncer les endroits qui verront un accroissement de leur centre d’assurance-emploi.
La modernisation de nos services apportera des changements dans la façon dont nous travaillons présentement, mais, ultimement, elle offrira aux Canadiennes et aux Canadiens un plus grand accès, davantage d’information et un plus grand nombre de services -- partout où ils vivent.
Question no 493 -- M. Scott Andrews:
En ce qui concerne le protocole d’entente entre le ministère des Ressources naturelles et le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador au sujet du projet de développement de Muskrat Falls, étant donné que le gouvernement a déjà déclaré qu’une fois qu’il aura reçu l’accès à la chambre des données confidentielles des projets et les analyses détaillées des agences d’évaluation du crédit pour l’ensemble du projet tel qu’il est défini par la centrale de Muskrat Falls, les lignes de transport, le lien Labrador-Isle et le lien maritime, et une feuille de modalités de prêt pour engagement auprès des marchés des capitaux seraient terminés dans les huit semaines, et étant donné que le gouvernement a déjà annoncé qu’il travaille avec ses partenaires et que le protocole d’entente demeure en vigueur: a) le gouvernement a-t-il, à ce jour, reçu l’accès à la chambre des données confidentielles des projets et les analyses détaillées des agences d’évaluation du crédit; b) la feuille de modalités de prêt pour engagement auprès des marchés des capitaux a-t-elle, à ce jour, été remplie et, si oui, les marchés des capitaux sont-ils engagés dans le processus?
M. David Anderson (secrétaire parlementaire du ministre des Ressources naturelles PCC):
Monsieur le Président,
le gouvernement du Canada est tout à fait déterminé à appuyer les projets de production d’énergie hydroélectrique dans le cours inférieur du fleuve Churchill, qui sont nommés dans le protocole d’accord signé en août 2011.
Les projets de production d’énergie hydroélectrique dans le cours inférieur du fleuve Churchill sont la centrale hydroélectrique de Muskrat Falls, les installations de transport du Labrador, le lien Labrador l’île de Terre Neuve et le lien maritime.
Pour ce qui est de la partie a) de la question ci-dessus, le gouvernement du Canada a reçu l’autorisation d’accéder aux chambres des données confidentielles sur la centrale hydroélectrique de Muskrat Falls, les installations de transport du Labrador, le lien Labrador-l’île de Terre Neuve et le lien maritime. Le gouvernement du Canada a également reçu des analyses et des représentations d’agences d’évaluation du crédit en ce qui concerne la centrale hydroélectrique de Muskrat Falls, les installations de transport du Labrador et le lien Labrador-l’île de Terre Neuve. Les analyses détaillées et les représentations des agences pour le lien maritime sont attendues.
Pour ce qui est de la partie b), la feuille des modalités n’est pas encore achevée.
Le gouvernement du Canada continue de collaborer avec son conseiller financier, la province de Terre-Neuve-et-Labrador, la province de la Nouvelle-Écosse, Nalcor Energy et Emera pour respecter ses obligations fédérales telles qu’énoncées dans le protocole d’accord.
Question no 494 -- Mme Jean Crowder:
En ce qui concerne le programme de recherche et de sauvetage (RS) de la Garde côtière canadienne et plus particulièrement la formation de la Garde côtière auxiliaire dans la région du Pacifique: a) combien de bénévoles à temps plein et à temps partiel ont travaillé dans la région de 2008 à 2010, et quelles sont les fluctuations du nombre de bénévoles à temps plein et à temps partiel en fonction des saisons; b) combien d’incidents de recherche et de sauvetage en mer, classés de M1 à M4, se sont produits à Nanaimo—Cowichan de 2008 à 2010; c) quelle somme le ministère des Pêches et des Océans consacre-t-il pour travailler avec la Garde côtière auxiliaire dans la région du Pacifique; d) a-t-on fait une analyse de l’impact des coupes faites aux activités de RS dans la région du Pacifique, et, dans l’affirmative, quelle est la conclusion de cette analyse; e) quel était le budget des activités de RS en 2008-2010, et quel est le budget prévu de la Garde côtière pour la région du Pacifique pour les trois prochaines années?
L'hon. Keith Ashfield (ministre des Pêches et des Océans et ministre de la porte d'entrée de l'Atlantique, PCC):
Monsieur le Président, vous trouverez ci-dessous les réponses qu’a fournies le ministère à la question mentionnée ci-dessus.
Pour ce qui est de la partie a), environ 1 070 membres bénévoles de la Garde côtière auxiliaire canadienne de la région du Pacifique fournissent des services de SAR tout au long de l'année. Ce nombre de bénévoles ne fluctue pas selon les saisons.
Pour ce qui est de la partie b), la Garde côtière ne garde aucune statistique précise pour la région de Nanaimo--Cowichan. Les statistiques en matière de SAR en mer pour les secteurs plus vastes qui comprennent la région géographique de Nanaimo--Cowichan, Victoria et une partie du détroit de Juan de Fuca indiquent qu'il y a en moyenne annuellement 11 cas en mer M1, 29 cas en mer M2, 115 cas en mer M3 et 63 cas en mer M4.
Pour ce qui est de la partie c), Pêches et Océans Canada a versé 1 003 000 $ en financement à la Garde côtière auxiliaire canadienne de la région du Pacifique au cours de l'exercice financier 2011-2012. Ces fonds ont été octroyés grâce à un accord de contribution pour le remboursement des coûts des opérations de SAR, de la formation, des adhésions, de l'administration et du recrutement.
Pour ce qui est de la partie d), il n’y a eu aucune compression budgétaire pour le programme SAR de la région du Pacifique.
Pour ce qui est de la partie e), le budget du programme SAR de la région du Pacifique était de 6,29 millions de dollars en 2008-2009, de 6,21 millions de dollars en 2009-2010 et de 6,44 millions de dollars en 2010-2011. Le budget prévu est de 6,69 millions de dollars en 2012-2013, de 6,69 millions de dollars en 2013-2014, et de 6,69 millions de dollars en 2014-2015.
Question no 498 -- L'hon. Gerry Byrne:
En ce qui concerne les directives régissant les communications des sénateurs, des députés et de leurs collaborateurs avec les représentants du gouvernement (exception faite des communications impliquant les ministres ou le personnel ministériel): a) quelles instructions, quels protocoles ou quelles autres directives sont en vigueur relativement à de telles communications pour chaque ministère, organisme, société d’État, conseil ou tout autre organe gouvernemental; b) quelle est l’autorité compétente pour chacune de ces directives; c) à quelle date la directive en vigueur a été émise; d) les directives relatives aux communications auxquelles il est fait allusion à l’alinéa a) sont-elles applicables à tous les sénateurs, à tous les députés et tous leurs collaborateurs, quelle que soit leur affiliation politique; e) y a-t-il des directives sur les communications qui s’appliquent en particulier aux députés ministériels et qui diffèrent de celles s’appliquant aux sénateurs et aux députés de l’opposition et à leurs collaborateurs et, dans l’affirmative, quelles sont ces directives et en quoi diffèrent-elles; f) une directive s’appliquant à l’ensemble du gouvernement pour ces communications a-t-elle été délivrée pour les ministères, les organismes, les sociétés d’État, les conseils et autres organes du gouvernement et, dans l’affirmative, (i) que dit cette directive, (ii) qui a délivré cette directive, (iii) quand a-t-elle été délivrée, (iv) à quels organismes s’applique-t-elle?
M. Tom Lukiwski (secrétaire parlementaire du leader du gouvernement à la Chambre des communes, PCC):
Monsieur le Président, voici la réponse du Bureau du Conseil privé à la question mentionnée ci-dessus.
Les fonctionnaires communiquent des renseignements aux parlementaires au nom des ministres, à l’appui de la responsabilité ministérielle à l’égard du Parlement et de manière conforme aux valeurs et à l’éthique de la fonction publique.
Les fonctionnaires reconnaissent que les représentants élus doivent rendre des comptes au Parlement et qu’un secteur public impartial est un élément essentiel de la démocratie au Canada. C’est pourquoi les fonctionnaires sont censés s’acquitter de leurs fonctions de manière impartiale et appuyer les ministres dans le cadre de l’obligation qu’ont ces derniers de rendre des comptes au Parlement et aux Canadiens.
Ces principes se retrouvent dans les orientations pangouvernementales sur la communication de renseignements aux parlementaires qui sont fournies aux fonctionnaires dans les documents suivants: Un gouvernement responsable: Guide du ministre et du ministre d’État, 2011, Administrateurs des comptes: lignes directrices concernant leurs rôles et leurs responsabilités, et leur comparution devant les comités parlementaires, 2007, Guide du sous ministre, 2003, et Note sur les responsabilités des fonctionnaires à l’égard des comités parlementaires, 1990. On trouve dans le premier de ces documents les attentes du Premier ministre et des conseils à l’intention des membres du conseil des ministres, et par extension, aux fonctionnaires qui les appuient. Les autres documents sont préparés par le Bureau du Conseil privé en tant que guides à l’intention des fonctionnaires.
Les comparutions devant des comités parlementaires ouverts, composés de membres de tous les partis, sont le principal moyen utilisé par les fonctionnaires pour communiquer des renseignements aux parlementaires. Comme les documents d’orientation l’expliquent, les fonctionnaires qui comparaissent devant des comités représentent leurs ministres et doivent veiller au maintien d’une fonction publique impartiale. En particulier, selon les orientations, les renseignements fournis par les fonctionnaires devraient être constitués d’explications impartiales et factuelles des politiques et programmes gouvernementaux, aucun renseignement confidentiel ne devrait être divulgué, les questions de nature politique ou qui suscitent un débat politique ou entraînent un désaccord devraient être soumises au ministre concerné, et les comparutions devraient être coordonnées avec le cabinet du ministre.
Comme l’indiquent le document Un gouvernement responsable et le Guide du sous ministre, en plus de comparaître devant un comité, les sous ministres et les autres fonctionnaires des ministères peuvent être appelés à fournir, à la demande de leur ministre, des séances d’information factuelles aux caucus parlementaires, par exemple sur les détails techniques d’une mesure législative que le gouvernement compte présenter. Les séances d’information peuvent être engagées à l’initiative du ministre ou donner suite à la demande d’un caucus parlementaire. Dans tous les cas, les orientations précisent clairement que les séances d’information organisées pour un caucus doivent être offertes aux autres caucus et que les chefs des partis ou les leaders à la Chambre devraient être tenus au courant. La tenue des séances d’information doit respecter les mêmes orientations générales que celles présentées ci dessus au sujet des comparutions devant les comités parlementaires.
Par ailleurs, les fonctionnaires des ministères peuvent parfois recevoir des demandes de renseignements de tout parlementaire, de toutes affiliations politiques. Comme l’indique le Guide du sous ministre, les réponses à de telles demandes devraient être coordonnées avec les cabinets des ministres et respecter les principes de la responsabilité ministérielle et de l’impartialité de la fonction publique.
Les orientations présentées ci dessus cadrent avec la Politique de communication du gouvernement du Canada, qui est publiée par le Conseil du Trésor et qui s’applique à tous les ministères et organismes fédéraux. La politique encourage les fonctionnaires des ministères à communiquer ouvertement avec le public au sujet des politiques, programmes, services et initiatives dont ils sont responsables, d’une manière impartiale et conforme aux principes de la démocratie parlementaire et de la responsabilité ministérielle. Comme il est indiqué dans la politique, les ministres sont responsables au bout du compte de la présentation et de l’explication des politiques, priorités et décisions du gouvernement au public, et constituent les principaux porte parole du gouvernement du Canada et de ses institutions.
Les ministères, les organismes ou les sociétés d’État qui adoptent des pratiques particulières pour coordonner la communication de renseignements aux parlementaires doivent faire en sorte que ces dernières soient conformes aux orientations présentées ci dessus.
Question no 501 -- Mme Laurin Liu:
En ce qui concerne les 291,5 millions de dollars accordés par le gouvernement à la Société financière internationale (SFI) dans le cadre de son engagement pour 2010-2011 en vertu de l’Accord de Copenhague: a) pour chaque versement de ces fonds à des organismes privés, (i) quand l’argent a-t-il été déboursé, (ii) combien d’argent a été donné, (iii) à qui ont été versés les fonds et pour quels motifs; b) quelles conditions le gouvernement a-t-il imposées à la SFI à l’égard du financement pour 2010-2011; c) la SFI a-t-elle respecté chacune des conditions imposées par le gouvernement; d) à combien s’élève le montant total du financement accordé, d’une part, pour répondre aux besoins d’adaptation, et, d’autre part, pour répondre aux besoins d’atténuation; e) quelle est la valeur totale du financement accordé sous forme de subventions; f) quelle est la valeur totale du financement accordée sous forme de prêts?
Mme Shelly Glover (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, PCC):
Monsieur le Président, le Canada a accordé à la Société financière internationale, SFI, un membre du Groupe de la Banque mondiale, une somme de 285,7 millions de dollars qui doit servir de financement concessionnel pour un vaste portefeuille de projets d’énergie propre dans des pays en développement, dans le cadre de l’engagement canadien de soutien aux efforts d’atténuation.
En outre, un financement par subvention de 5,8 millions de dollars a été octroyé, afin de soutenir les services consultatifs de la SFI, qui contribuent à l’abolition des entraves à l’investissement du secteur privé dans l’énergie propre et au renforcement du savoir faire technique. Par exemple, ce financement par subvention permettra de fournir des conseils aux institutions financières sur le renforcement de leurs capacités de déterminer, d’évaluer et de structurer des emprunts pour des projets axés sur l’efficacité énergétique et l’énergie renouvelable.
Les investissements du Canada appuieront les initiatives de réduction des gaz à effet de serre, tout en stimulant le financement du secteur privé vers les projets d’énergie propre. Le Canada travaillera avec la SFI, afin d’établir le montant de l’investissement privé directement mobilisé par la contribution des finances publiques du Canada à la SFI, ainsi que la mesure dans laquelle les émissions sont réduites. Ce type d’approche innovatrice jouera un rôle déterminant dans la poursuite à long terme d’objectifs en matière de finance et d’atténuation.
Les contributions du Canada seront gérées par le Financial Mechanisms for Sustainability Group de la SFI, lequel octroie des financements concessionnels consentis par des pays bailleurs de fonds en parallèle avec des investissements de la SFI, et lequel procure également du financement sous forme de subventions pour l’aide technique et le développement des capacités.
Pour être admissible à recevoir un financement concessionnel ou par subventions à partir des contributions du Canada à la SFI, un projet doit satisfaire aux critères normaux et à la vérification préalable de la SFI. Veuillez consulter la page Produits et services sur le site www.ifc.org/french, et plus précisément les rubriques « Investissement » et « Services conseils ».
Question no 509 -- M. Gordon Brown:
En ce qui concerne le mémorial du Bomber Command en cours de construction à Londres (Royaume-Uni): a) le gouvernement contribuera-t-il financièrement au mémorial; b) envisage-t-on d’aider les vétérans canadiens du Bomber Command à assister à l’inauguration du mémorial; c) envisage-t-on d’envoyer une délégation canadienne à cette inauguration?
L'hon. Steven Blaney (ministre des Anciens Combattants, PCC):
Monsieur le Président, vous trouverez ci-dessous les réponses qu’a fournies Anciens Combattants Canada à la question mentionnée ci-dessus.
Pour ce qui est de la partie a), Anciens Combattants Canada versera 100 000 $ CAN à la Bomber Command Association pour appuyer la construction du monument commémoratif.
Pour ce qui est de la partie b), Anciens Combattants Canada travaille en étroite collaboration avec le ministère de la Défense nationale, le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international, et l’Association de la Force aérienne du Canada pour aider les anciens combattants qui souhaitent assister au dévoilement du monument commémoratif en l’honneur du Bomber Command, le 28 juin 2012, à Londres, en Angleterre.
Pour ce qui est de la partie c), le ministre des Anciens Combattants dirigera une délégation officielle d’anciens combattants qui ont servi dans le Bomber Command et qui assisteront au dévoilement du monument commémoratif en l’honneur du Bomber Command, le 28 juin 2012, à Londres, en Angleterre.
:
Monsieur le Président, si les questions n
os 467, 470, 471, 472, 476, 478, 479, 480, 481, 482, 483, 486, 487, 488, 490, 492, 496, 497, 499, 500, 502, 503, 504, 505, 506, 507, 508 et 516 pouvaient être transformées en ordres de dépôt de documents, les documents seraient déposés immédiatement.
Le Président: D'accord?
Des voix: D'accord.
[Texte]
Question no 467 -- M. Scott Andrews:
En ce qui concerne les communautés autochtones: a) combien de vérifications ou d’évaluations ont été entreprises ou complétées entre le 1er janvier 1990 et le 21 décembre 2010 inclusivement, contributions ou autres transferts d’un ministère ou d’un organisme gouvernemental, ou concernant la gestion financière ou l’administration (i) de la Nation Innu du Labrador, (ii) de la Première nation des Innus de Sheshatshiu, y compris l’ancien conseil de bande des Innus de Sheshatshiu, (iii) de la Première nation des Innus de Mushuau ou de la Première nation de Natuashish, y compris l’ancien conseil de bande de Davis Inlet et le conseil de bande d’Utshimassits, (iv) de la Innu Healing Foundation, (v) de Mamu Tshishkutamashutau - Innu Education Inc., (vi) du Centre de développement commercial innu, (vii) du Innu Development Limited Partnership, (viii) de Innu Recreation Complexes Inc.; b) quel ministère ou organisme a mené chaque vérification ou évaluation mentionnée en a); c) à quelle date fut effectuée chaque vérification ou évaluation; d) quels sont les numéros de dossier ou de référence internes associés à chaque vérification ou évaluation?
(Le document est déposé)
Question no 470 -- L'hon. Lawrence MacAulay:
En ce qui concerne le bureau de l’Ambassadeur pour la conservation des pêches, entre le 1er janvier 2007 et le 31 mars 2011, inclusivement: a) pour chaque voyage de l’ambassadeur effectué dans le cadre de ses fonctions, quelles ont été (i) les dates, (ii) les destinations, (iii) les dépenses totales; b) pour toutes les réunions organisées par l’ambassadeur ou auxquelles il a assisté dans le cadre de ses fonctions, quels ont été (i) les dates, (ii) les endroits, (iii) les participants?
(Le document est déposé)
Question no 471 -- L'hon. Lawrence MacAulay:
En ce qui concerne les biens immobiliers du gouvernement: a) quel est le total des dépenses, pour chaque exercice depuis que le gouvernement a acquis le bien, pour l’entretien, la rénovation ou les autres travaux effectués à l’ancienne ambassade des États-Unis située sur la rue Wellington, à Ottawa (Ontario); b) quels sont les détails de tels travaux?
(Le document est déposé)
Question no 472 -- L'hon. Carolyn Bennett:
En ce qui concerne la Première nation d’Attawapiskat: a) combien de visites les employés du gouvernement ont-ils faites à la Première nation d’Attawapiskat depuis janvier 2010; b) quels sont les noms et les postes des employés qui ont fait ces visites; c) quel était le but de ces visites; d) ces employés ont-ils soumis des rapports ou des communiqués officiels sur la Première nation d’Attawapiskat et, le cas échéant, quel était le contenu de ces rapports ou de ces communiqués?
(Le document est déposé)
Question no 476 -- L'hon. Mark Eyking:
En ce qui concerne les réductions du ministère des Pêches et des Océans (MPO) à l’égard du Programme coopératif de recherche-développement en aquaculture (PCRDA): a) combien d’emplois seront perdus en raison de ces réductions et dans quelles régions ces pertes d’emploi auront-elles lieu; b) le cas échéant, quelles ressources semblables sont à la disposition des petites et moyennes entreprises de l’industrie de l’aquaculture aux fins de la recherche et du développement; c) quel a été le budget total attribué au PCRDA au cours des dix dernières années; d) quelle est la répartition de toutes les sommes affectées au PCRDA par le MPO au cours des dix dernières années; e) avec quelles entreprises le PCRDA a-t-il collaboré et où sont-elles situées; f) quels avantages concrets a produit la recherche effectuée par le PCRDA?
(Le document est déposé)
Question no 478 -- Mme Irene Mathyssen:
En ce qui concerne toutes les nominations par le gouverneur en conseil: a) quels critères servent à déterminer la qualité des personnes nommées; b) des organisations comptant des administrateurs nommés ont-elles adopté une politique de parité hommes-femmes pour leur conseil d’administration; c) existe-t-il une politique gouvernementale sur la représentation des hommes et des femmes aux conseils nommés par décret; d) le Bureau du Conseil privé a-t-il désigné l’entité responsable de surveiller la représentation entre les femmes et les hommes aux conseils établis par décret; e) quel pourcentage de l’ensemble des administrateurs nommés depuis le 6 février 2006 sont des femmes, par organisation et par année?
(Le document est déposé)
Question no 479 -- M. Rodger Cuzner:
En ce qui concerne la base de données interrogeable de l'Agence du revenu du Canada (ARC) sur les organismes de bienfaisance, et en fournissant une justification détaillée pour tout renseignement non communiqué: a) quand la base de données a-t-elle été créée; b) combien a coûté initialement la création de la base de données; c) combien d'employés ont été affectés initialement à l'administration de la base de données; d) la base de données a-t-elle fait l'objet de mises à niveau importantes depuis sa création et, si c'est le cas, (i) quand, (ii) pourquoi, (iii) quel en a été le coût total; e) combien coûte chaque année le fonctionnement et l'administration de la base de données, y compris, (i) le coût du personnel, (ii) le coût de la technologie, (iii) le coût de l'administration générale, (iv) tout autre coût important pour les exercices 2008-2009, 2009-2010 et 2010-2011; f) l'administration de la base de données lors des exercices 2008-2009, 2009-2010 et 2010-2011 a exigé combien (i) de postes, (ii) d'employés au total; g) combien de déclarations de dons ont été produites à l'ARC lors des exercices 2008-2009, 2009-2010 et 2010-2011; h) quel est le montant global de toutes les transactions et de tous les versements, ou de la valeur comptable dans le cas des investissements et des actifs, de plus de 5 000 $ que l'ARC a faits pour assurer le fonctionnement et l'administration de la base de données, montant réparti individuellement selon (i) le nom et l'adresse du payeur et du bénéficiaire, (ii) l'objet et la description de la transaction, (iii) le montant précis versé ou reçu ou à verser ou recevoir; i) pour toutes les transactions visées dans la sous-question h), comment se répartissent-elles selon (i) le montant consacré aux activités d'éducation et de formation, (ii) le montant consacré aux frais généraux, (iii) le montant consacré à l'administration, (iv) le montant consacré aux employés et aux fournisseurs, y compris le salaire brut, les allocations, les paiements périodiques, les avantages sociaux (y compris les engagements de retraite), les véhicules, les primes, les cadeaux, les crédits de service, les paiements forfaitaires et d'autres formes de rémunération; j) quels sont la description, le coût, la valeur comptable et le prix payé de tous les investissements et les immobilisations corporelles associés au fonctionnement et à l'administration de la base de données?
(Le document est déposé)
Question no 480 -- Mme Irene Mathyssen:
En ce qui concerne les dépenses d’infrastructure depuis 2008-2009: a) quelle part du financement des projets a été versée à des entreprises non canadiennes par (i) année, (ii) pays, (iii) programme gouvernemental; b) quelle part du financement des projets a été versée à des partenariats public-privé par (i) année, (ii) pays, (iii) programme gouvernemental?
(Le document est déposé)
Question no 481 -- M. Pat Martin:
En ce qui concerne tous les paiements effectués par le gouvernement à RackNine inc. et à Matt Meier au cours des cinq dernières années, le gouvernement, y compris le cabinet du premier ministre, tous les ministères et organismes gouvernementaux, les cabinets des ministres et les sociétés d’État, a-t-il effectué ces paiements et, si oui: a) quel était le montant total versé, pour chacune des cinq dernières années; b) quel était le montant payé par chaque ministère, organisme et société d’État pour chacune des cinq dernières années; c) pour chaque paiement, (i) qui a effectué le paiement (c’est-à-dire le cabinet du premier ministre, un ministère ou un organisme, le cabinet d’un ministre, une société d’État, etc.), (ii) à quelle date le paiement a-t-il été effectué, (iii) quels services ce paiement servait-il à procurer?
(Le document est déposé)
Question no 482 -- M. Pat Martin:
En ce qui concerne tous les paiements effectués par le gouvernement à Responsive Marketing Group inc. au cours des cinq dernières années, le gouvernement, y compris le cabinet du premier ministre, tous les ministères et organismes gouvernementaux, les cabinets des ministres et les sociétés d’État, a-t-il effectué ces paiements et, si oui: a) quel était le montant total versé, pour chacune des cinq dernières années; b) quel était le montant payé par chaque ministère, organisme et société d’État pour chacune des cinq dernières années; c) pour chaque paiement, (i) qui a effectué le paiement (c'est-à-dire le cabinet du premier ministre, un ministère ou un organisme, le cabinet d’un ministre, une société d’État, etc.), (ii) à quelle date le paiement a-t-il été effectué, (iii) quels services ce paiement servait-il à procurer?
(Le document est déposé)
Question no 483 -- M. Pat Martin:
En ce qui concerne tous les paiements effectués par le gouvernement à Campaign Research au cours des cinq dernières années, le gouvernement, y compris le cabinet du premier ministre, tous les ministères et organismes gouvernementaux, les cabinets des ministres et les sociétés d’État, a-t-il effectué ces paiements et, si oui: a) quel était le montant total versé, pour chacune des cinq dernières années; b) quel était le montant payé par chaque ministère, organisme et société d’État pour chacune des cinq dernières années; c) pour chaque paiement, (i) qui a effectué le paiement (c’est-à-dire le cabinet du premier ministre, un ministère ou un organisme, le cabinet d’un ministre, une société d’État, etc.), (ii) à quelle date le paiement a-t-il été effectué, (iii) quels services ce paiement servait-il à procurer?
(Le document est déposé)
Question no 486 -- Mme Hélène Laverdière:
En ce qui concerne l’aide financière accordée par Exportation et développement Canada (EDC): a) pour les exercices financiers 2009-2010 et 2010-2011, quelle est la valeur totale des prêts accordés pour les activités générales d’une entreprise; b) quelle est la procédure applicable à la diligence raisonnable concernant les prêts pour activités générales d’une entreprise; c) quelles sont les normes utilisées pour évaluer les répercussions négatives potentielles sur le plan environnemental, social et des droits de la personne des activités financées par le biais de prêts pour activités générales d’une entreprise; d) quelles sont les sources d’information utilisées pour évaluer les normes d’observation mentionnées à la sous-question c); e) que fait EDC pour surveiller l’observation par ses clients des normes mentionnées à la sous-question c), quelles sont les mesures prises en cas de non-observation; f) pour toutes les initiatives d’allégement de la dette destinées à réduire la dette souveraine pour chacun des exercices de 1999-2000 à 2010-2011, (i) combien de paiements ont été reçus du gouvernement du Canada, (ii) quel a été le montant du paiement, (iii) quels pays ont reçu une aide à l’allégement de la dette; g) quelle est la valeur totale des prêts, lignes de crédit, garanties et assurances accordés par EDC à des entreprises constituées en personnes morales dans des paradis fiscaux selon la définition de l’OCDE en 2009, 2010 et 2011; h) pour tous les prêts, lignes de crédit, garanties et assurances accordés à des entreprises pour l’exploration, l’extraction, le transport et le traitement du pétrole, du gaz et du charbon pour les exercices 2009-2010 et 2010-2011, (i) quel est le nom du client pour chaque transaction, (ii) quelle est la valeur de chaque transaction, (iii) quel est le pays d’exploitation pour chaque transaction; i) pour toutes les facilités de crédit et tous les prêts à Talisman Energy Inc. depuis 2006, (i) quel est le montant de chaque transaction, (ii) en quoi consiste chaque transaction, (iii) quel est le pays d’investissement pour chaque transaction, (iv) y a-t-il des demandes en voie d’évaluation?
(Le document est déposé)
Question no 487 -- M. Charlie Angus:
Quel est le montant total du financement gouvernemental distribué dans la circonscription de Timmins—Baie James depuis l’exercice 2010-2011 jusqu’à l’exercice en cours inclusivement, par ministère ou organisme, initiative et montant?
(Le document est déposé)
Question no 488 -- M. Charlie Angus:
En ce qui concerne la gestion par un tiers administrateur de Premières nations à la demande des Affaires autochtones et Développement du Nord Canada (AADNC) au cours des 12 dernières années: a) combien de réserves autochtones ont été soumises à la cogestion ou la gestion par un tiers administrateur, (i) pendant combien de temps, (ii) quelles réserves ont été ainsi désignées; b) pour chaque réserve gérée en cogestion ou par un tiers administrateur, (i) qui est le cogestionnaire ou le tiers administrateur, (ii) en vertu de quel pouvoir est-elle gérée par un tiers administrateur, (iii) quelle est la date d’entrée en vigueur de chaque entente de cogestion ou de gestion par un tiers administrateur, (iv) à combien s’élevait la dette à ce moment-là, (v) quel plan de remboursement de la dette a été établi pour chacune, (vi) à combien s’élevait l’encours de la dette à la fin de la cogestion ou de la gestion par un tiers administrateur, (vii) quelle est la dette existante de chaque conseil de bande; c) à quelles conditions un conseil de bande peut-il cesser d’être géré par un tiers administrateur, (i) qui établit ces conditions, (ii) combien de bandes ont satisfait à ces conditions et quand; d) combien de vérifications AADNC, ou ses représentants, ont-ils effectuées relativement aux tiers administrateurs et à leur gestion des bandes des Premières nations, (i) quand ces vérifications ont-elles été préparées, (ii) par qui, (iii) pour quelles bandes, (iv) quelles ont été les grandes conclusions de chaque vérification, (v) quelles recommandations ont été mises en œuvre, (vi) est-ce que des vérifications ont entraîné l’annulation ou le non-renouvellement du contrat entre le tiers administrateur et AADNC, si oui, lesquelles et pourquoi, (vii) est-ce que des vérifications ont donné lieu à une enquête policière et, si oui, lesquelles et quels ont été les résultats; e) pour chaque communauté assujettie à la gestion par un tiers administrateur, (i) quels frais de gestion ou autres ont été imputés mensuellement et annuellement, (ii) à quel titre les frais ont-ils été imputés, (iii) est-ce que ces tiers administrateurs ont reçu des commissions, primes ou autres avantages financiers en sus pour leur travail et, si oui, quand l’argent leur a-t-il été versé, pour quel motif, et à quels tiers administrateurs, (iv) quel pourcentage du budget d’exploitation de chaque bande ces coûts représentent-ils mensuellement et annuellement; f) quelles personnes, morales ou autres, ont obtenu des contrats de cogestion ou de gestion par un tiers administrateur, (i) combien de contrats ont été attribués, (ii) quel était le montant de chaque contrat, (iii) quand a-t-il été attribué, (iv) pour quels services; g) quels critères juridiques ou professionnels une entreprise doit-elle respecter pour obtenir un contrat (i) de cogestion, (ii) de gestion par un tiers administrateur; h) quels processus d’appel d’offres applique-t-on pour l’attribution des contrats de cogestion et de gestion par un tiers administrateur; i) le personnel d’AADNC jouit-il de pouvoirs discrétionnaires dans l’attribution d’un contrat de cogestion ou de gestion par un tiers administrateur et, si oui, qui exerce ce pouvoir et dans quelles circonstances; j) quelles évaluations, systématiques ou ponctuelles, les AADNC ont-elles effectuées des tiers administrateurs, notamment les titres et les dates de leur publication?
(Le document est déposé)
Question no 490 -- M. Scott Simms:
En ce qui concerne les marchés publics, pour chacune des entreprises ou chacun des particuliers suivants, à savoir, a) RackNine; b) RackNine inc.; c) RackNine Canada; d) 2call; e) 2call.ca; f) Matt Meier d’Edmonton (Alberta), quels sont les détails de tous les contrats de services, y compris (i) la période couverte par le contrat, (ii) la nature ou l’objet des services fournis, (iii) le montant versé à l’entreprise ou au particulier pour ses services, (iv) si le contrat a été accordé dans le cadre d’un appel d’offres concurrentiel ou s’il s’agissait d’un fournisseur unique, (v) quel ministère ou organisme du gouvernement a accordé un contrat à l’entreprise ou au particulier, (vi) le crédit budgétaire en vertu duquel l’entreprise ou le particulier a été payé pour les services fournis, (vii) les numéros de dossier ou de référence associés à chaque contrat?
(Le document est déposé)
Question no 492 -- Mme Megan Leslie:
En ce qui concerne la retraite organisée par le gouvernement pour la promotion des sables bitumineux en Europe, qui a eu lieu à Londres (Angleterre), en février 2011: a) quel a été le coût total de l’événement; b) quel est le montant total (i) des frais d’hospitalité, (ii) des frais d’hébergement, (iii) des frais de voyage, incluant le transport aérien et le transport terrestre, (iv) des cadeaux, (v) des repas, (vi) du matériel de présentation; c) quels représentants des ministères du gouvernement ont participé à l’événement, et quel a été leur mandat?
(Le document est déposé)
Question no 496 -- Mme Jean Crowder:
En ce qui concerne le rôle du gouvernement dans la lutte contre la pauvreté au moyen de la mise en oeuvre de mesures comme la Prestation fiscale canadienne pour enfants (PFCE): a) le gouvernement a-t-il l’intention d’accroître le montant annuel de la PFCE, ainsi que le Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du développement social et de la condition des personnes handicapées (HUMA) l’a recommandé dans son rapport de 2010; b) le gouvernement compte-t-il modifier la Loi de l’impôt sur le revenu pour transformer le crédit d’impôt pour personnes handicapées en crédit remboursable, comme cela a été recommandé dans le rapport de 2010 du Comité des ressources humaines sur la pauvreté, c) le gouvernement compte-t-il signer la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, comme cela a été recommandé dans le rapport de 2010 du Comité des ressources humaines sur la pauvreté?
(Le document est déposé)
Question no 497 -- M. Mathieu Ravignat:
En ce qui concerne le programme Fonds pour l’accessibilité – volet projets de moyenne envergure: a) quel est le budget global de ce Fonds; b) combien reste-t-il d’argent dans ce Fonds; c) quels sont les projets qui ont été retenus; d) de quelle circonscription électorale fédérale proviennent les projets acceptés; e) est-ce un programme récurrent; f) quelles étaient les personnes responsables de l'évaluation de la demande du Centre Jean-Bosco de Maniwaki (Québec); g) pourquoi la demande du Centre Jean-Bosco n'a pas été retenue?
(Le document est déposé)
Question no 499 -- Mme Mylène Freeman:
En ce qui concerne le pipeline entre Vallée-Jonction (Québec) et Black Lake (Québec): a) quel programme a été utilisé pour le financer; b) d’où provenaient les fonds utilisés dans ce programme; c) à combien s’élève le financement de ce projet par le gouvernement; d) quels sont les critères qui ont été utilisés pour déterminer qu’il serait financé; e) quelles sont les études environnementales qui ont été menées à ce sujet?
(Le document est déposé)
Question no 500 -- Mme Mylène Freeman:
En ce qui concerne le financement de pipelines: a) combien de projets de pipeline ont été financés par le gouvernement depuis 2005; b) par l’entremise de quels fonds ces projets ont-ils été financés; c) quels sont les critères qui ont été utilisés pour déterminer quels projets de pipeline seraient financés?
(Le document est déposé)
Question no 502 -- Mme Laurin Liu:
Au sujet du parc automobile d’Environnement Canada: a) combien d’argent a été dépensé pour l’achat de véhicules pour les exercices 2006-2007 à 2011-2012; b) quelle est la politique d’achat de véhicules neufs; c) quels sont les modèles achetés et le coût par véhicule acheté pour les exercices 2006-2007 à 2011-2012; d) quel est l’état actuel du parc automobile (nombre de véhicules, modèle, année du modèle, prix d’achat); e) quel est le montant dépensé pour le carburant pour le parc automobile pour les exercices 2006-2007 à 2011-2012?
(Le document est déposé)
Question no 503 -- L'hon. Carolyn Bennett:
En ce qui concerne Affaires autochtones et Développement du Nord Canada (AADNC), avec, pour toutes les questions, une réponse pour chacune des Premières nations: a) combien de collectivités des Premières nations ont été gérées par un séquestre-administrateur pendant chacune des années de 2006 à 2012 inclusivement; b) combien de temps chacune de ces Premières nations a-t-elle été gérée par un séquestre-administrateur; c) quel est le montant total de la contribution versée par AADNC aux Premières nations qui a été dépensé à la rubrique des séquestres-administrateurs pendant chacune des années de 2006 à 2012 inclusivement; d) quel est le niveau total d’endettement pour chaque Première nation gérée par un séquestre-administrateur pendant chacune des années de 2006 à 2012 inclusivement; e) quelles mesures précisément le gouvernement a-t-il prises pour soutenir le développement du potentiel et rétablir la prestation des programmes et des services à long terme chez les Premières nations gérées par un séquestre-administrateur?
(Le document est déposé)
Question no 504 -- L'hon. Carolyn Bennett:
En ce qui concerne Affaires autochtones et Développement du Nord Canada et Santé Canada, par collectivité des Premières nations ou inuite: a) à combien de clients des Premières nations ou inuits a-t-on prescrit de l’OxyContin dans le cadre du Programme des services de santé non assurés (SSNA) chaque année, de 2006 à 2012 inclusivement; b) combien de demandes de traitement au Suboxone le PSSNA a-t-il reçues après son inscription sur la liste le 7 décembre 2011 et, sur ce nombre, (i) combien ont été approuvées, (ii) quelle a été la raison donnée en cas de refus, (iii) un autre traitement a-t-il été proposé aux clients dont la demande a été refusée, (iv) quelles mesures a-t-on prises pour évaluer les conséquences pour la santé des clients dont la demande a été refusée; c) y a-t-il un médecin, un infirmier ou une infirmière ou un autre professionnel de la santé spécialisé dans le traitement pour toxicomanie dans la collectivité; d) y a-t-il un centre de guérison dans la collectivité et, dans la négative, où se trouve le centre de guérison le plus proche ou le plus facilement accessible; e) quels sont les services psychosociaux postcure adaptés à la culture offerts dans la collectivité aux clients qui ont suivi un programme de désintoxication; f) le gouvernement a-t-il procédé à des évaluations du niveau de toxicomanie durant la période de 2006 à 2012 et, dans l’affirmative, (i) comment ce niveau a-t-il fluctué, (ii) quel est le degré d’abus des médicaments sur ordonnance obtenus légalement, (iii) quel est le degré d’abus des médicaments sur ordonnance obtenus illégalement; g) combien d’argent a été consacré à la prévention de l’abus de drogues et au traitement de la toxicomanie chaque année, de 2006 à 2012 inclusivement, et quel a été le montant des fonds consacrés précisément à l’abus de médicaments d’ordonnance, obtenus légalement et illégalement; h) quel a été le montant des fonds affectés au Programme national de lutte contre l'abus d'alcool et de drogues chez les Autochtones chaque année, de 2006 à 2012 inclusivement, et quel montant a été consacré (i) aux activités de prévention, (ii) aux activités d’intervention, (iii) aux activités de suivi?
(Le document est déposé)
Question no 505 -- L'hon. Carolyn Bennett:
En ce qui concerne la Politique sur les ajouts aux réserves du ministère des Affaires autochtones et du Développement du Nord du Canada et en ventilant chaque réponse par collectivité des Premières nations, au cours de la période allant de 2006 à 2012, la collectivité avait-elle une proposition d’ajouts aux réserves et, dans l’affirmative, pour chaque proposition (i) quand celle-ci a-t-elle été faite la première fois, (ii) quand a-t-elle été approuvée?
(Le document est déposé)
Question no 506 -- M. Gordon Brown:
En ce qui concerne l’attribution de médailles, décorations et récompenses à des membres actuels ou anciens des Forces canadiennes: a) depuis 2006, des réunions ont-elles été organisées par un comité du gouvernement, d’un ministère ou d’une entité interministérielle pour en discuter et, dans l’affirmative, (i) quand, (ii) qui en faisait partie, (iii) qui a présidé les réunions, (iv) un procès-verbal a-t-il été rédigé, (v) le procès-verbal a-t-il été rendu public et, dans la négative, pourquoi pas, (vi) des représentants de Rideau Hall ont-ils participé à des réunions et, dans l’affirmative, quelle a été la nature de leur participation; b) des ministres de la Couronne ont-ils participé à certaines de ces réunions au sujet des décorations des membres canadiens du Bomber Command et, dans l’affirmative, ont-ils participé (i) directement, (ii) par écrit, (iii) verbalement, (iv) par l’intermédiaire d’un représentant de leur bureau, (v) s’il n’y a pas eu de représentation, pourquoi?
(Le document est déposé)
Question no 507 -- M. Gordon Brown:
En ce qui concerne les théâtres de guerre particuliers où le Canada a joué un rôle, quelles ont été les décisions prises depuis 2000 au sujet des médailles à l’intention des militaires canadiens de ces théâtres, et quels comités, conseils consultatifs, groupes ou entités interministérielles ont eu leur mot à dire dans ces décisions?
(Le document est déposé)
Question no 508 -- M. Gordon Brown:
En ce qui concerne les théâtres d’opérations où le service militaire est reconnu par le Canada, quel est le nombre connu et officiel par théâtre des victimes enregistrées par les forces canadiennes?
(Le document est déposé)
Question no 516 -- Mme Jinny Jogindera Sims:
En ce qui concerne le Programme de coopération pour l'investissement (PCI), géré par le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international, pour les exercices 2010-2011 et 2011-2012: a) à combien le budget total du programme s'élève-t-il; b) quel est le nombre total de projets financés dans le cadre du programme; c) quel est le nombre total de demandes présentées dans le cadre du programme; d) pour chaque projet approuvé, quel est (i) le nom du client, (ii) la description du projet, (iii) la durée du projet, (iv) le pays où se déroule le projet, (v) le coût total du projet, (vi) le montant des aides fournies par le gouvernement au projet; e) pour chaque projet approuvé, (i) y a-t-il eu sélection aux fins de vérification officielle, (ii) y a-t-il eu sélection aux fins d'évaluation officielle, (iii) un rapport de résultats a-t-il été présenté, (iv) une analyse comparative entre les sexes a-t-elle été effectuée; f) quels critères et quelles lignes directrices les entreprises doivent-elles respecter relativement aux droits de la personne, au travail et à l'environnement pour être admissibles au PCI; g) quel processus de diligence requise applique-t-on pour s'assurer que les clients se conforment à l'accord de contribution; h) y a-t-il surveillance de la conformité pendant toute la durée de l'investissement; i) quelles sont les sanctions en cas de non-conformité, une fois que le client a reçu des contributions; j) à quels renseignements sur les projets le public a-t-il accès; k) où peut on trouver les renseignements sur les projets qui sont accessibles au public?
(Le document est déposé)
[Traduction]
:
Monsieur le Président, je demande enfin que les autres questions restent au
Feuilleton.
Le Président: D'accord?
Des voix: D'accord.