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FAAE Rapport du Comité

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COMMENTAIRES SUPPLÉMENTAIRES DE l’OPPOSITION OFFICIELLE

Les députés de l’Opposition officielle siégeant au Comité permanent des affaires étrangères et du développement international sont en grande partie d’accord avec le rapport du Comité; nous souhaitons toutefois soulever les questions suivantes.

Les députés de l’Opposition officielle siégeant au Comité sont d’avis que, pendant les deux années que durera la présidence du Canada, le Conseil de l'Arctique devrait continuer à faire des questions liées à l’atténuation et aux répercussions des changements climatiques sur l’environnement de l’Arctique sa principale préoccupation. On s’attaquera plus efficacement à ces problèmes, dont la portée est internationale et mondiale, par des initiatives et un développement social d’envergure multinationale. Le développement des affaires, dont l’importance augmente, ne progressera que si l’on arrive à une entente et une compréhension internationales sur ces questions.

Les deux premières recommandations du rapport encouragent le Conseil de l’Arctique à délaisser son mandat principal, qui consiste à s’occuper de l’environnement de l’Arctique, y compris les défis que posent les changements climatiques ainsi que les questions de développement social, pour mettre l’accent sur le développement des affaires. Les députés de l’Opposition officielle siégeant au Comité sont d’avis que le développement des affaires dans l’Arctique sera mieux servi si le Conseil accorde la priorité aux questions urgentes liées aux changements climatiques et au développement social.

En ce qui concerne la recommandation 3, les membres de l’Opposition officielle siégeant au Comité préféreraient que les participants permanents autochtones soient financés par le Conseil de l’Arctique, plutôt que d’avoir à compter sur leurs pays respectifs pour obtenir leur financement.

En ce qui concerne la recommandation 14, les membres de l’Opposition officielle siégeant au Comité croient aussi que le Conseil de l’Arctique devrait promouvoir un programme international de recherche scientifique sur l’Arctique, plutôt que de laisser les pays travailler séparément.

Enfin, les membres de l’Opposition officielle siégeant au Comité regrettent que la ministre responsable de l’Arctique n’ait pu comparaître devant le Comité au cours de la préparation du rapport. Compte tenu de l’importance du rôle que jouera la ministre à titre de prochaine présidente du Conseil et de l’intérêt que portent tous les députés au succès de la présidence canadienne, nous demandons que la ministre présente au Parlement un rapport annuel pour chacune des deux années de la présidence canadienne.