:
Monsieur le Président, on répondra aujourd'hui aux questions n
os 1189, 1191, 1193, 1197 et 1208.
[Texte]
Question no 1189 -- M. Peter Kent:
En ce qui concerne les contributions consenties par le gouvernement à l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de la Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), depuis le 1er janvier 2016: a) quels sont les détails de chaque contribution au programme, y compris (i) la date, (ii) le montant; b) quelles mesures de protection particulières sont en place pour s’assurer que les contributions ne soient pas utilisées pour la radicalisation ou par le Hamas?
L’hon. Marie-Claude Bibeau (ministre du Développement international et de la Francophonie, Lib.):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a) de la question, depuis le 1er janvier 2016, le gouvernement du Canada a effectué quatre paiements à l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, ou UNRWA, ainsi qu’il suit: pour ce qui est de fournir des services d’éducation et des soins de santé ainsi que des services sociaux de base aux réfugiés palestiniens pour l’année 2016, l’instrument de financement, d’un montant de 20 millions de dollars canadiens, a été signé le 1er novembre 2016; pour ce qui est de la crise en Syrie et de l’aide d’urgence aux réfugiés palestiniens en Syrie et au Liban pour l’année 2016, l’instrument de financement, d’un montant de 5 millions de dollars canadiens, a été signé le 10 novembre 2016; pour ce qui est de fournir des services d’éducation et des soins de santé ainsi que des services sociaux de base aux réfugiés palestiniens pour l’année 2017, l’instrument de financement, d’un montant de 20 millions de dollars canadiens, a été signé le 23 août 2017; pour ce qui est de la crise en Syrie et de l’aide d’urgence aux réfugiés palestiniens en Syrie et au Liban pour l’année 2017, l’instrument de financement, d’un montant de 5 millions de dollars canadiens, a été signé le 18 septembre 2017.
En ce qui concerne la partie b) de la question, le gouvernement du Canada ne tolère aucune mauvaise utilisation ni aucun détournement des fonds de l’aide canadienne pour appuyer le terrorisme. La reddition de comptes et les garanties sont essentielles à la gestion de l’aide au développement et de l’aide humanitaire du Canada en Cisjordanie et à Gaza
Le Canada met en place des mesures de diligence raisonnable renforcée pour tous les fonds d’aide internationale destinés aux Palestiniens, y compris à l’UNRWA, ce qui comprend des dispositions solides contre le terrorisme dans les ententes de financement, une surveillance permanente, des visites régulières sur le terrain et un processus de vérification systématique. Tous les moyens de mise à exécution des programmes et de financement font l’objet d’un examen approfondi de manière à ce qu’on en confirme la compatibilité avec les valeurs canadiennes et qu’on satisfasse aux plus hautes normes de transparence et de responsabilité.
En outre, les représentants d’Affaires mondiales Canada présents dans la région jouent un rôle clé dans la surveillance permanente du programme. Presque chaque jour, des représentants du Canada communiquent avec l’UNRWA en Jordanie, au Liban, en Syrie, en Cisjordanie et à Gaza pour veiller à ce que l’Office s’attaque aux enjeux qui préoccupent les Canadiens. Les visites régulières dans les écoles, les centres de santé et d’autres établissements de l’Office permettent de veiller à ce que ceux-ci ne soient utilisés que pour les fins prévues.
En plus des processus de diligence raisonnable renforcée, le Canada et l’UNRWA se sont entendus sur un cadre de coopération qui précise les engagements communs et les attentes du Canada concernant la mise en œuvre des initiatives de réforme de l’Office, des mécanismes réguliers de suivi et de présentation de rapports, et le respect des exigences canadiennes en matière de lutte contre le terrorisme.
Le Canada appuie également l’Office dans ses efforts continus destinés à accroître la neutralité au sein de l’organisme et dans le cadre de ses opérations. Le financement du Canada permettra à l’UNRWA d’embaucher un coordonnateur de la neutralité qui supervisera les activités relatives à la neutralité, dirigera l’élaboration d’initiatives sur le sujet, répondra aux allégations de violation de la neutralité et maintiendra la neutralité de l’Office. Cette aide s’appuie sur les fonds canadiens attribués en 2016 et en 2017 qui ont permis d’offrir une formation sur la neutralité dans les médias sociaux à plus de 3 000 employés de l’UNRWA ayant des responsabilités de gestion et de supervision.
À titre de membre actif de la Commission consultative de l’UNRWA, le Canada collabore avec l’UNRWA et les autres donateurs pour faire progresser les réformes en cours sur la gouvernance, l’efficacité, le suivi et l’administration financière. La participation active à la Commission consultative de l’UNRWA donne au Canada l’occasion d’exercer une surveillance et une influence et de dialoguer sur les principaux enjeux.
L’UNRWA reçoit une aide globale de la communauté internationale et des amis et alliés du Canada qui partagent des vues similaires, notamment un important financement des États-Unis et de tous les autres pays du G7. Le Canada travaille avec l’UNRWA et les autres donateurs afin de veiller à ce que l’aide soit utilisée aux fins prévues.
Question no 1191 -- M. John Barlow:
En ce qui concerne la promesse faite par le ministre des Finances le 18 septembre 2017 de rappeler tous les Canadiens qui souhaitent discuter du document de consultation du gouvernement intitulé « Planification fiscale au moyen de sociétés privées »: a) combien de personnes ont demandé à être rappelées; b) combien de personnes le Ministre a-t-il rappelées; c) combien de personnes le Ministre prévoit-il rappeler d’ici la fin des consultations le 2 octobre 2017; d) combien de personnes le Ministre prévoit-il rappeler d’ici le 31 décembre 2017; e) pour les personnes visées en a), comment le Ministre a-t-il été informé de leur souhait d’être rappelées; f) pour chacune des personnes visées en a), quel est leur (i) titre, (ii) domaine de travail, (iii) province de résidence; g) pour chacune des personnes visées en b), quel est leur (i) titre, (ii) domaine de travail, (iii) province de résidence; h) combien de fonctionnaires du ministère des Finances ont été affectés à la tâche de prendre les appels destinés au Ministre, et quel poste chacun occupe-t-il; i) combien de membres du personnel ministériel exonéré ou du personnel politique ont été affectés à la tâche de prendre les appels destinés au Ministre, et quel poste chacun occupe-t-il; j) le ministère des Finances a-t-il réclamé des ressources additionnelles pour prendre et retourner les appels et, le cas échéant, à combien leur coût s’élève-t-il; k) quelle est la ventilation du coût indiqué en j), le cas échéant?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Monsieur le Président, en juillet 2017, le gouvernement a publié un document de consultation contenant des propositions visant à s’attaquer aux stratégies de planification fiscale au moyen de sociétés privées. Dans le cadre de cette consultation, bon nombre de Canadiens ont manifesté leur appui de ces propositions, mais ils ont également relevé d’importantes préoccupations et des domaines où des améliorations étaient nécessaires. Le ministère des Finances du Canada a reçu plus de 21 000 propositions écrites.
Les Canadiens se sont impliqués lors de séances de discussion ouverte et de tables rondes organisées d'un océan à l’autre. Les ministres et les députés ont recueilli et étudié soigneusement les opinions et les points de vue de propriétaires de petites entreprises, d'agriculteurs, de pêcheurs, de professionnels et d'experts. Le gouvernement s’est engagé à corriger les conséquences non voulues. Il met l’accent sur le renforcement des petites entreprises de la classe moyenne, tout en ciblant des avantages injustes qui profitent largement aux Canadiens les plus fortunés.
Les représentants du ministère, notamment ceux de la Direction de la politique de l'impôt, ont collaboré avec les intervenants pour élaborer les propositions. Le ministère ne fait pas le suivi des appels téléphoniques au ministre. Aucune demande de ressources supplémentaires n’a été faite.
Question no 1193 -- M. Mel Arnold:
En ce qui concerne le Fonds des pêches de l’Atlantique, depuis le 4 novembre 2015: a) quels sont les détails des subventions et des contributions versées à partir du fonds, y compris (i) le bénéficiaire, (ii) le montant, (iii) la description du projet, (iv) le type de contribution (subvention remboursable, prêt, etc.), (v) le lieu où se trouve le bénéficiaire, y compris la municipalité et la province; b) quel est le montant total versé à même le fonds, ventilé par province; c) pour toutes les subventions et les contributions au titre du Fonds des pêches de l’Atlantique à des bénéficiaires situés à l’extérieur du Canada atlantique, quelle justification a été utilisée pour que le récipiendaire se qualifie?
M. Terry Beech (secrétaire parlementaire du ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, Lib.):
Monsieur le Président, aucune subvention ou contribution n'a été faite en provenance du Fonds des pêches de l'Atlantique entre le 4 novembre 2015 et le 26 septembre 2017.
Question no 1197 -- M. Erin Weir:
En ce qui concerne les ordonnances prévues aux articles 810.1 et 810.2 du Code criminel du Canada: a) combien d’ordonnances en vertu de l’article 810.1 ont été demandées chaque année pour 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; b) combien d’ordonnances en vertu de l’article 810.2 ont été demandées chaque année pour 2014, 2015 et 2016 en (i Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; c) combien d’ordonnances en vertu de l’article 810.1 ont été accordées chaque année pour 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; d) combien d’ordonnances en vertu de l’article 810.2 ont été accordées chaque année pour 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; e) combien de personnes reconnues coupables d’agression sexuelle et devant être libérées de leur peine pour agression sexuelle ont fait l’objet d’une ordonnance en vertu des articles 810.1 et 810.2, et quel pourcentage représentent elles, en 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; f) combien de personnes visées par une ordonnance en vertu des articles 810.1 et 810.2 ont été accusées de violation de cette ordonnance, et quel pourcentage représentent elles, en 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; g) combien de personnes visées par une ordonnance en vertu des articles 810.1 et 810.2 ont été reconnues coupables de violation de cette ordonnance, et quel pourcentage représentent elles, en 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; h) pour les personnes reconnues coupables de violation d’une ordonnance en vertu des articles 810.1 et 810.2, quelle a été la prolongation moyenne, maximale et minimale de la peine au-delà de la peine initiale, et ce pour toutes les violations d’ordonnances en vertu des articles 810.1 et 810.2 en 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; i) combien de personnes visées par une ordonnance en vertu des articles 810.1 et 810.2 ont récidivé substantiellement (soit une infraction de la catégorie visée par l’ordonnance, p. ex. une infraction d’ordre sexuel ou une infraction grave contre la personne) pendant la durée de l’ordonnance en 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; j) combien de personnes visées par une ordonnance en vertu des articles 810.1 et 810.2 ont par la suite été visées par une ordonnance de délinquant dangereux ou de surveillance de longue durée en 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario; k) combien de personnes ayant déjà fait l’objet d’une ordonnance en vertu des articles 810.1 et 810.2 ont par la suite été visées par une autre ordonnance en vertu de ces mêmes articles en 2014, 2015 et 2016 en (i) Colombie-Britannique, (ii) Alberta, (iii) Saskatchewan, (iv) Manitoba, (v) Ontario?
L’hon. Jody Wilson-Raybould (ministre de la Justice et procureure générale du Canada, Lib.):
Monsieur le Président, les ministères, y compris le ministère de la Justice, et les organismes fédéraux n’effectuent pas le suivi des demandes d’ordonnances en vertu des articles 810.1 et 810.2.
Question no 1208 -- Mme Tracey Ramsey:
Quelles garanties le gouvernement a-t-il mises en place pour empêcher le dumping d’acier étranger au Canada?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Monsieur le Président, les producteurs canadiens injustement lésés par les importations de commerce déloyal -- c’est-à-dire sous-évaluées ou subventionnées -- pourraient chercher à obtenir des droits antidumping ou compensateurs imposés afin de compenser les dommages causés par ces importations. Conformément à la Loi sur les mesures spéciales d’importation, ou LMSI, les droits peuvent seulement être imposés à la suite d’enquêtes indépendantes, impartiales et transparentes menées par l’Agence des services frontaliers du Canada, ou ASFC, et le Tribunal canadien du commerce extérieur, qui déterminent si les importations étaient sous-évaluées ou subventionnées, et si ces importations ont causé un dommage aux producteurs canadiens.
L’industrie de l’acier utilise régulièrement le système de recours commercial du Canada pour répondre aux importations sous-évaluées ou subventionnées. En date d’octobre 2017, le Canada a 69 mesures de recours commercial en vigueur qui s’appliquent à 15 produits en acier qui proviennent de 23 pays. La plus forte proportion de ces mesures concerne les importations en provenance de Chine. Dans toutes les mesures relatives à l'acier primaire en provenance de Chine, les marges antidumping ont été calculées sur une base autre que l'économie de marché pour tenir compte des distorsions de prix dans ce secteur.
Le gouvernement s’engage à faire en sorte que les producteurs canadiens lésés par le commerce déloyal ont des recours adéquats en vertu du droit interne, tout en s’assurant de respecter les obligations du Canada en matière de commerce international en vertu de l’Organisation mondiale du commerce. Depuis le budget de 2016, le gouvernement a pris des mesures afin de moderniser et de renforcer le système de recours commercial du Canada pour offrir aux producteurs canadiens une réponse plus rigoureuse au commerce déloyal et mieux harmoniser le système de recours commercial canadien avec ceux de nos principaux partenaires commerciaux.
Dans le budget de 2016, le gouvernement a modifié la LMSI afin de prolonger la durée des droits antidumping et compensateurs jusqu’à huit mois avant d’être évalué et de permettre aux enquêtes de recours commercial de se poursuivre à l’étape finale même si les marges de dumping découvertes durant le stade précoce sont négligeables. Le gouvernement s’est aussi engagé à entreprendre des consultations publiques sur d’autres mesures pour améliorer et renforcer le système de recours commercial canadien.
Par suite de ces consultations, le gouvernement a annoncé dans le budget de 2017 des mesures supplémentaires qui amélioreraient la transparence du système de recours commercial canadien et renforceraient les efforts des mesures de recours commercial.
Ces mesures comprennent de créer de nouvelles procédures anti-contournement qui permettraient à l’ASFC d’enquêter sur les allégations que les droits antidumping et compensateurs sont contournés et, lorsque nécessaire, d’étendre les droits afin d’aborder le contournement.
Ces mesures comprennent aussi de créer une nouvelle procédure de portée qui établirait un processus transparent afin de permettre aux parties intéressées, y compris les producteurs nationaux, de demander une décision exécutoire et susceptible d’appel quant à savoir si un produit particulier est sujet aux droits antidumping et compensateurs.
Ces mesures prévoient en outre de fournir de nouveaux outils à l’ASFC afin d’utiliser des méthodes de rechange pour calculer les marges de dumping là où la distorsion de prix dans le pays exportateur rend ces prix peu fiables.
Ces mesures comprennent également d’offrir aux syndicats le droit de participer aux enquêtes de recours commercial.
Les modifications législatives à la LMSI nécessaires pour mettre en œuvre ces mesures ont obtenu la sanction royale le 22 juin 2017 dans le cadre du projet de loi 44, Loi nº 1 d’exécution du budget de 2017. Le gouvernement travaille rapidement sur les modifications réglementaires qui sont nécessaires pour rendre opérationnels ces nouveaux outils. À l’avenir, le gouvernement continuera de travailler en étroite collaboration avec l’industrie canadienne en répondant aux défis liés au commerce déloyal.
Les défis du dumping d’acier et la question sous-jacente de la capacité excédentaire d’acier mondiale sont abordés dans le rapport du Comité permanent du commerce international de la Chambre des communes intitulée « La capacité de l’industrie canadienne de l’acier à soutenir la concurrence internationale », qui a été déposé le 15 juin 2017. Le rapport du Comité contient de nombreuses recommandations pour améliorer le système de recours commercial canadien et aborder le problème sous jacent de la capacité excédentaire de l’acier mondial. Le gouvernement a déposé une réponse détaillée au rapport du Comité le 17 octobre 2017.
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Monsieur le Président, si la réponse du gouvernement aux questions n
os 1188, 1190, 1194 et 1199, ainsi qu'à la question n
o 1224 marquée d'un astérisque, pouvait être transformée en ordres de dépôt de documents, les documents seraient déposés immédiatement.
[Texte]
Question no 1188 -- Mme Ruth Ellen Brosseau:
En ce qui concerne les demandes de financement de producteurs laitier reçues durant la première fenêtre de réception de demandes du Programme d'investissement pour fermes laitières (PIFL) qui s'est terminée le 29 août 2017: a) combien de demandes de producteurs ont été reçues au total, ventilées par (i) province et territoire, (ii) demandes acceptées par province et territoire, (iii)demandes refusées par province et territoire, (iv) demandes placées sur une liste d'attente par province et territoire; b) combien de demandes pour des projets d'investissements majeurs ont été reçues, ventilées par (i) province et territoire, (ii) demandes acceptées par province et territoire, (iii) demandes refusées par province et territoire, (iv) demandes placées sur une liste d'attente par province et territoire; c) combien de demandes pour des projets d'investissement mineurs ont été reçues, ventilées par (i) province et territoire, (ii) demandes acceptées par province et territoire, (iii) demandes refusées par province et territoire, (iv) demandes placées sur une liste d'attente par province et territoire; d) quelle est la part du 250 millions de dollars total du PIFL qui a déjà été attribuée, ventilée par (i) projet d'investissements majeurs, (ii) projet d'investissements mineurs, (iii) province et territoire; e) quelle est la valeur totale des demandes de financement refusées, ventilée par (i) projet d'investissements majeurs, (ii) projet d'investissements mineurs, (iii) province et territoire; f) quelle est la part du montant total déjà attribué aux producteurs québécois, ventilé par (i) projet d'investissements majeurs, (ii) projet d'investissements mineurs?
(Le document est déposé)
Question no 1190 -- M. Peter Kent:
En ce qui concerne la protection des journalistes canadiens à l’étranger: a) le gouvernement canadien a-t-il abordé la question de la liberté de presse en Chine auprès du gouvernement chinois à la suite de la détention du journaliste du Globe and Mail Nathan Vanderkilippe; b) dans l’affirmative à a), quels sont les détails, notamment (i) la date, (ii) l’interlocuteur, (iii) la personne à qui on s’est adressé au sein du gouvernement chinois; c) quelle réponse, s’il y a lieu, le gouvernement canadien a-t-il reçue?
(Le document est déposé)
Question no 1194 -- M. Bob Zimmer:
En ce qui concerne la correspondance reçue par le ministre des Finances de la part de députés libéraux relativement aux modifications fiscales proposées annoncées le 18 juillet 2017: quels sont les détails de toute correspondance à ce sujet, y compris, pour chaque document, (i) la date, (ii) la circonscription du député, (iii) le titre, (iv) la date à laquelle une réponse a été envoyée par le ministre des Finances, le cas échéant, (v) les numéros de dossier?
(Le document est déposé)
Question no 1199 -- M. Ben Lobb:
En ce qui concerne le règlement juridique payé à Omar Khadr: a) à quelle date le règlement entre les parties a-t-il été signé; b) quelle était la date du paiement du règlement; c) quel est le temps de traitement moyen entre le règlement et le paiement en ce qui a trait aux règlements extrajudiciaires payés par le gouvernement; d) des ordres ont-ils été donnés pour accélérer le paiement à Omar Khadr; e) si la réponse en d) est affirmative, qui a donné ces ordres?
(Le document est déposé)
*Question no 1224 -- M. Ed Fast:
En ce qui concerne l’appel d’offres et la construction d’une nouvelle caserne de pompiers dans le parc national des Prairies: a) quels sont les détails de l’appel d’offres, y compris (i) les critères, (ii) le montant de la soumission retenue, (iii) la firme retenue, (iv) le nombre de soumissionnaires; b) quels sont les détails de la construction de la nouvelle caserne de pompiers, y compris (i) le budget total, (ii) la date du début de la construction, (iii) la date d’achèvement prévue; (iv) le budget général de construction; c) quels sont les détails de toute dépense du gouvernement relativement à la nouvelle caserne de pompiers, à l’exception du montant de la soumission retenue donné en a), y compris (i) la date, (ii) le fournisseur ou le destinataire, (iii) la description des biens et services fournis?
(Le document est déposé)
[Traduction]
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Monsieur le Président, je demande que les autres questions restent au
Feuilleton.
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Je signale à la Chambre que, en raison des déclarations ministérielles, l'étude des initiatives ministérielles sera prolongée de 32 minutes.