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Publications de la Chambre

Les Débats constituent le rapport intégral — transcrit, révisé et corrigé — de ce qui est dit à la Chambre. Les Journaux sont le compte rendu officiel des décisions et autres travaux de la Chambre. Le Feuilleton et Feuilleton des avis comprend toutes les questions qui peuvent être abordées au cours d’un jour de séance, en plus des avis pour les affaires à venir.

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Notice Paper

No. 381

Tuesday, December 3, 2024

10:00 a.m.

Feuilleton des avis

No 381

Le mardi 3 décembre 2024

10 heures


Introduction of Government Bills

Dépôt de projets de loi émanant du gouvernement

Introduction of Private Members' Bills

Dépôt de projets de loi émanant des députés

Notices of Motions (Routine Proceedings)

Avis de motions (Affaires courantes ordinaires)

Questions

Questions

Q-32382 — December 2, 2024 — Mrs. Kusie (Calgary Midnapore) — With regard to board of directors' meetings at the Canada Infrastructure Bank in which a declaration, conflict, potential perception of conflict, abstention or recusal was noted in the meeting minutes from April 30 to December 1, 2024: what are the details of each instance noted in the meeting minutes, broken down by director, including (i) the decision in question, (ii) the amount of funding tied to the decision, (iii) the name of the entity receiving funding related to the decision, (iv) the name of the board member for whom a declaration, conflict, potential perception of conflict, abstention or recusal was noted, (v) the reason for which the declaration, conflict, potential perception of conflict, abstention or recusal was divulged by the board member, (vi) whether the board member held a private interest in the decision? Q-32382 — 2 décembre 2024 — Mme Kusie (Calgary Midnapore) — En ce qui concerne les réunions du conseil d’administration de la Banque d’infrastructure du Canada au cours desquelles une déclaration, un conflit, une possibilité d’apparence de conflit, une abstention ou une récusation ont été consignés au procès-verbal pendant la période du 30 avril au 1er décembre 2024 : quels sont les détails relatifs à chacun des cas mentionnés dans les procès-verbaux des réunions, ventilés par administrateur, y compris (i) la décision en question, (ii) le montant du financement lié à la décision, (iii) le nom de l’entité recevant le financement lié à la décision, (iv) le nom de l’administrateur pour qui une déclaration, un conflit, une possibilité d’apparence de conflit, une abstention ou une récusation a été noté, (v) la raison pour laquelle la déclaration, le conflit, la possibilité d’apparence de conflit, l’abstention ou la récusation a été divulguée par l’administrateur, (vi) des renseignements à savoir si l'administrateur détenait un intérêt privé dans la décision?
Q-32392 — December 2, 2024 — Ms. Duncan (Etobicoke North) — With regard to government information on proton beam therapy (PBT) for cancer patients: (a) what are the (i) dosimetric, (ii) clinical, advantages of PBT over traditional radiation for cancer patients; (b) what are the advantages of PBT for children, teenagers, and young adults with cancer, including (i) for areas that may compromise pituitary, intellectual, auditory or visual functions, (ii) for areas where normal tissue tolerances may be exceeded with traditional radiation; (c) which specific G7 and G20 countries have a (i) functional PBT facility; (ii) PBT facility under construction; (d) how many PBT facilities are available worldwide, and what are the details, including (i) how many such facilities are currently under construction globally, (ii) how many such facilities are available in the United States; (e) which specific countries and regions have PBT facilities; (f) according to Canadian guidelines, which specific cancers would benefit from PBT; (g) broken down by province and territory, how many Canadian patients are eligible for medically necessary PBT annually abroad because treatment is not available in Canada; (h) which specific provinces and territories have structured out-of-country PBT referral programs because treatment is not available in Canada, and which provinces and territories do not have such programs; (i) broken down by province and territory, what is the eligibility criteria for out-of-country PBT referrals; (j) broken down by province and territory, what is the out-of-country PBT referral process; (k) broken down by province and territory, what (i) populations, (ii) cancers, are eligible for PBT referrals; (l) broken down by province and territory, which referrals for PBT prioritize curative treatment; (m) broken down by province and territory, what subset of patients are prioritized for PBT, broken down by those with (i) pediatric, (ii) adult, cancers; (n) which provinces or territories exclude the use of PBT for (i) metastatic disease, (ii) reradiation, (iii) second line treatments; (o) is it possible that a patient from one province could be approved for PBT, but a similar patient who resides in a different province could be denied the same therapy; (p) broken down by province and territory, how many Canadian patients travel annually for medically necessary PBT because treatment is not available in Canada; (q) broken down by province and territory, what percentage of (i) pediatric patients, (ii) adult patients, eligible for PBT receive treatment outside of Canada; (r) broken down by province and territory, what specific secondary treatment-related costs of PBT are covered; (s) what challenges do Canadian patients who are forced to travel for medically necessary PBT outside of Canada face, including, but not limited to, (i) delays in review and approval by provincial and territorial insurance, (ii) lack of funding for travel, hotels, or meals, (iii) lack of a Canadian passport, (iv) illness after cancer surgery preventing someone from leaving the country, (v) inability to take time away from work due to financial hardship; (t) what are the potential impacts of being forced to travel for PBT on a patient’s (i) mental health, (ii) support system, (iii) family function, (iv) employment, (v) children’s schooling; (u) how would the availability of a large, public, Canadian PBT facility impact (i) services for Canadians, (ii) survival rates for adults and children with cancer, (iii) rates and severity of acute radiation toxicity and long-term radiation side effects after radiation therapy; (v) if a PBT facility were built, what would be the expected percentage of cost reduction (i) for cancer patients within the facility’s province, (ii) for cancer patients in Canada outside of the facility’s province, compared to international travel costs; (w) what, if any, patient data is (i) collected, (ii) reported, on the use of PBT across clinical indications and socioeconomic groups; and (x) how would a large, public, Canadian PBT facility impact (i) research, (ii) scientific collaboration? Q-32392 — 2 décembre 2024 — Mme Duncan (Etobicoke-Nord) — En ce qui concerne l’information gouvernementale sur la protonthérapie pour les patients atteints de cancer : a) quels sont les avantages (i) dosimétriques, (ii) cliniques de la protonthérapie par comparaison à la radiothérapie traditionnelle pour les patients atteints de cancer; b) quels sont les avantages de la protonthérapie pour les enfants, les adolescents et les jeunes adultes atteints de cancer, y compris (i) dans les cas où il existe un risque pour les fonctions hypophysaires, intellectuelles, auditives ou visuelles, (ii) dans les cas où la radiothérapie traditionnelle pourrait surpasser les tolérances des tissus normaux; c) quels pays du G7 et du G20 disposent (i) d’installations fonctionnelles de protonthérapie; (i) d’installations de protonthérapie en cours de construction; d) combien d’installations de protonthérapie sont disponibles dans le monde, et quels sont les détails connexes, y compris (i) le nombre d’installations de ce type en cours de construction dans le monde, (ii) le nombre d’installations de ce type disponibles aux États-Unis; e) quels pays et régions disposent d’installations de protonthérapie; f) selon les lignes directrices canadiennes, pour quels types de cancer la protonthérapie serait-elle bénéfique; g) quel est le nombre, ventilé par province et territoire, de patients canadiens admissibles chaque année à une protonthérapie médicalement nécessaire à l’étranger parce que le traitement n’est pas disponible au Canada; h) quelles provinces et quels territoires ont mis en place des programmes structurés d’aiguillage vers un traitement par protonthérapie à l’étranger parce que ce traitement n’est pas disponible au Canada, et quelles provinces et quels territoires n’ont pas de programme du genre; i) quels sont les critères d’admissibilité à l’aiguillage vers un traitement par protonthérapie à l’étranger, ventilés par province et territoire; j) quel est le processus d’aiguillage vers un traitement par protonthérapie à l’étranger, ventilé par province et territoire; k) quels sont (i) les populations, (ii) les cancers qui sont admissibles à un aiguillage vers un traitement par protonthérapie; l) quels sont les cas où l’aiguillage vers un traitement par protonthérapie donne priorité au traitement curatif, ventilés par province et territoire; m) quel sous-ensemble de patients, ventilé par province et territoire, est prioritaire pour la protonthérapie, ventilé par (i) cancer pédiatrique, (ii) cancer chez l’adulte; n) quelles provinces ou quels territoires excluent le recours à la protonthérapie pour (i) les maladies métastatiques, (ii) la réirradiation, (iii) les traitements de deuxième ligne; o) est-il possible qu’un patient d’une province soit autorisé à recevoir la protonthérapie, mais qu’un patient similaire d’une autre province se fasse refuser la même thérapie; p) quel est le nombre de patients canadiens qui se rendent chaque année à l’étranger pour obtenir un traitement par protonthérapie médicalement nécessaire parce que le traitement n’est pas disponible au Canada, ventilé par province et territoire; q) quel pourcentage (i) de patients pédiatriques, (ii) de patients adultes admissibles à la protonthérapie reçoivent un traitement à l’extérieur du Canada, ventilé par province et territoire; r) quels coûts secondaires liés au traitement par protonthérapie sont couverts, ventilés par province et territoire; s) quelles sont les difficultés rencontrées par les patients canadiens qui sont obligés de se rendre à l’étranger pour recevoir un traitement par protonthérapie médicalement nécessaire, y compris, sans s’y limiter, (i) les retards dans l’examen et l’approbation par les programmes d’assurances provinciaux et territoriaux, (ii) le manque de ressources financières pour payer le voyage, l’hébergement ou les repas, (iii) le fait de ne pas avoir de passeport canadien, (iv) une maladie postérieure à la chirurgie du cancer qui empêche de quitter le pays, (v) l’incapacité de s’absenter du travail en raison de difficultés financières; t) quelles sont, pour le patient, les conséquences possibles de l’obligation de voyager pour subir un traitement par protonthérapie sur (i) sa santé mentale, (ii) son réseau de soutien, (iii) sa vie de famille, (iv) son emploi, (v) la scolarisation de ses enfants; u) quels seraient les effets d’une grande installation publique canadienne de protonthérapie sur (i) les services offerts aux Canadiens, (ii) les taux de survie des adultes et des enfants atteints de cancer, (iii) les taux et la gravité de la toxicité de l’irradiation aiguë et les effets secondaires à long terme des rayonnements après la radiothérapie; v) si une installation de protonthérapie était aménagée, quel serait le pourcentage attendu de réduction des coûts (i) pour les patients atteints de cancer dans la province de l’installation, (ii) pour les patients canadiens atteints de cancer en dehors de la province de l’installation, par comparaison aux coûts des voyages à l’étranger; w) quelles sont, le cas échéant, les données sur les patients (i) recueillies, (ii) communiquées, sur l'utilisation de la protonthérapie en fonction des indications cliniques et des groupes socioéconomiques; x) quel serait l’impact d'une grande installation publique canadienne de protonthérapie sur (i) la recherche, (ii) la collaboration scientifique?
Q-32402 — December 2, 2024 — Ms. Duncan (Etobicoke North) — With regard to performance enhancing drugs (PEDs) in sport, from the 1960s to the 1980s: (a) what, if any, oversight, did Sport Canada (SC) undertake of each national sport organization's (NSO) mandated PED (i) policies, (ii) plans, (iii) testing in 1984; (b) were there minimum standards that each NSO had to meet for (a)(i) through (a)(iii), and, if so, what were they; (c) what, if any, accountability measures were put in place to ensure NSOs were compliant with Canada’s 1983 anti-doping policy; (d) what, if any, oversight did SC undertake (i) to protect an athlete’s right to a fair hearing before any anti-doping authority, (ii) to provide an athlete with proper representation during any anti-doping hearing, (iii) to ensure access to any scientific evidence and analysis used in any allegation against an athlete; (e) does SC acknowledge that, due to the rapidly changing anti-doping regime of the 1980s, (i) record keeping was inconsistent, (ii) athlete samples were not maintained; (f) what, if any, efforts did SC undertake to protect athletes’ identities during the Dubin Inquiry; (g) what, if any, efforts did SC undertake to protect the physical and mental health of athletes, of all abilities, during the Dubin Inquiry; (h) what, if any, efforts did SC undertake to protect athletes from racism during the Dubin Inquiry; (i) what, if any, efforts did SC undertake to protect athletes’ (i) athletic status, (ii) employment, during the Dubin Inquiry; (j) what, if any, efforts did SC undertake to protect athletes from being ostracized in (i) sport, (ii) Canada, (iii) the world, as a result of testifying at the Dubin Inquiry; (k) does SC acknowledge that it and the Canadian sport system shifted blame for their collective failure to protect athletes onto the athletes themselves through their search for “dirty athletes”; (l) does SC acknowledge that the failure to address PEDs in the 1960s and 1970s allowed PEDs to spread throughout Canadian (i) high-performance, (ii) university and college, (iii) high school, sports; (m) does SC acknowledge that the failure to address PEDs in the 1960s and 1970s allowed unethical sport leaders, coaches, doctors and pharmacists to experiment on athletes in the 1970s and 1980s with (i) veterinary products, (ii) injectable and oral steroids, (iii) human growth hormone, with unknown short-term and long-term health impacts; (n) does SC acknowledge that there are power imbalances in sport, and if so, that victims of doping were often (i) young, (ii) racialized, (iii) groomed, (iv) experimented on; (o) does SC acknowledge their failure to (i) act for 14 years, after the Food and Drugs Act was amended in 1969 to include steroids as a controlled substance, (ii) act in the 1960s when the problems caused by PEDs were widely known across multiple sports, (iii) provide oversight to NSOs that were black boxes, (iv) ask questions of sports coaches, trainers, doctors, (v) listen to anecdotal evidence, especially in light of dramatic improvements of athlete’s musculature and performance, (vi) collect evidence until 1984, (vii) deliver a consistent message about PEDs to the sport community and their harms to athletes, (viii) protect athletes from experimentation and unethical practices, (ix) question the fact that officials, coaches and athletes knew the problem but no official from SC publicly took a stand against the cover-up; (p) does SC acknowledge that mixed-messaging about winning at any cost in-part led to the PEDs problem (e.g. messaging that recommended following Charlie Francis’s innovative methods, despite the rumours of steroid use); (q) does SC acknowledge that mixed-messaging reflected a deeper ethos that winning mattered above everything else, and as a result, sport leaders, coaches, doctors and officials were willing to look the other way when it came to athlete harm; (r) if SC recognizes that the Dubin Inquiry was “an important first step” to addressing the health impacts and maltreatment of athletes, what, if any, efforts did SC take to (i) identify, (ii) monitor the health of, (iii) provide treatment to, all victims of doping in the 1970s and 1980s; (s) does SC know the extent of how many athletes were experimented on with PEDs in the 1970s and 1980s, and what, if any, efforts have the department taken to identify victims; and (t) if SC now accepts that athletes were maltreated, why has it failed to undertake an anonymous investigation into the morbidity and mortality of those who were carded athletes and took PEDs in the 1970s and 1980s? Q-32402 — 2 décembre 2024 — Mme Duncan (Etobicoke-Nord) — En ce qui concerne les drogues visant à augmenter la performance (DAP) dans le sport, des années 1960 aux années 1980 : a) quelle surveillance, s'il y a lieu, Sport Canada (SC) a-t-il exercée sur les (i) politiques, (ii) plans, (iii) tests, concernant les DAP de chaque organisme national de sport (ONS) en 1984; b) y avait-il des normes minimales que chaque ONS devait respecter pour les points a)(i) à a)(iii), et, le cas échéant, quelles étaient-elles; c) quelles mesures de reddition de comptes ont été mises en place, s'il y a lieu, pour s’assurer que les ONS respectent la politique antidopage du Canada de 1983; d) quelle surveillance, s'il y a lieu, SC a-t-il exercée (i) pour protéger le droit d’un athlète à une audition équitable devant toute autorité antidopage, (ii) pour fournir à un athlète une représentation appropriée lors d’une audition antidopage, (iii) pour garantir l’accès à toute donnée et analyse scientifique utilisée dans le cadre d’une allégation contre un athlète; e) SC reconnaît-il qu'en raison de l’évolution rapide du régime antidopage dans les années 1980 (i) la tenue des dossiers était irrégulière, (ii) les échantillons des athlètes n’étaient pas conservés; f) quels efforts, s'il y a lieu, SC a-t-il entrepris pour protéger l’identité des athlètes au cours de la Commission d’enquête Dubin; g) quels efforts, s'il y a lieu, SC a-t-il entrepris pour protéger la santé physique et mentale des athlètes, quel que soit leur niveau, au cours de la Commission d’enquête Dubin; h) quels efforts, s'il y a lieu, SC a-t-il entrepris pour protéger les athlètes contre le racisme au cours de la Commission d’enquête Dubin; i) quels efforts, s'il y a lieu, SC a-t-il entrepris pour protéger (i) le statut sportif, (ii) l’emploi des athlètes, au cours de la Commission d’enquête Dubin; j) quels efforts, s'il y a lieu, SC a-t-il entrepris pour protéger les athlètes contre l’ostracisme (i) dans le sport, (ii) au Canada, (iii) dans le monde, à la suite de leur témoignage dans le cadre de la Commission d’enquête Dubin; k) SC reconnaît-il que lui-même et le système sportif canadien ont rejeté la responsabilité de leur incapacité collective à protéger les athlètes sur les athlètes eux-mêmes en recherchant des « athlètes corrompus »; l) SC reconnaît-il que le fait de ne pas s’être attaqué au problème des DAP dans les années 1960 et 1970 a permis à ces substances de se répandre dans les sports canadiens (i) de haut niveau, (ii) de niveaux universitaire et collégial, (iii) de niveau d’enseignement secondaire; m) SC reconnaît-il que le fait de ne pas s’être attaqué au problème des DAP dans les années 1960 et 1970 a permis à des dirigeants, des entraîneurs, des médecins et des pharmaciens sportifs sans éthique d’expérimenter sur des athlètes dans les années 1970 et 1980 avec (i) des produits vétérinaires, (ii) des stéroïdes injectables et oraux, (iii) des hormones de croissance humaines, avec des effets inconnus sur la santé à court et à long terme; n) SC reconnaît-il qu’il existe des inégalités de pouvoir dans le sport et, le cas échéant, que les victimes de dopage sont souvent (i) jeunes, (ii) racisées, (iii) conditionnées, (iv) soumises à des expérimentations; o) SC reconnaît-il son incapacité à (i) agir pendant 14 ans, après que la Loi sur les aliments et les drogues a été modifiée en 1969 pour inclure les stéroïdes comme substance contrôlée, (ii) agir dans les années 1960 lorsque les problèmes causés par les DAP étaient largement connus dans de nombreux sports, (iii) assurer la surveillance des ONS qui agissaient à l’aveuglette, (iv) poser des questions aux entraîneurs, aux formateurs, aux médecins sportifs, (v) écouter les témoignages anecdotiques, en particulier à la lumière des améliorations spectaculaires de la musculature et des performances des athlètes, (vi) collecter des preuves avant 1984, (vii) délivrer un message cohérent sur les DAP à la communauté sportive et sur leurs effets néfastes sur les athlètes, (viii) protéger les athlètes contre l’expérimentation et les pratiques contraires à l’éthique, (ix) remettre en question le fait que les officiels, les entraîneurs et les athlètes connaissaient le problème, mais qu’aucun représentant de SC n’a pris publiquement position contre la dissimulation; p) SC reconnaît-il que les messages contradictoires sur la victoire à tout prix ont en partie conduit au problème des DAP (par exemple, les messages recommandant de suivre les méthodes innovantes de Charlie Francis, malgré les rumeurs d’utilisation de stéroïdes); q) SC reconnaît-il que les messages contradictoires sont le reflet de valeurs plus profondes selon lesquelles la victoire prime sur tout le reste et que, par conséquent, les dirigeants, les entraîneurs, les médecins et les officiels sportifs étaient prêts à fermer les yeux sur les préjudices subis par les athlètes; r) si SC reconnaît que la Commission d’enquête Dubin a constitué « une première étape importante » dans la lutte contre les effets sur la santé et les mauvais traitements infligés aux athlètes, quels efforts SC a-t-il déployés, s'il y a lieu pour (i) identifier toutes les victimes de dopage dans les années 1970 et 1980, (ii) surveiller la santé de ces victimes, (iii) fournir un traitement à ces victimes; s) SC sait-il combien d’athlètes ont été soumis à des expériences avec des DAP dans les années 1970 et 1980, et quels efforts, s'il y a lieu, ont été déployés par le département pour identifier les victimes; t) si SC reconnaît aujourd’hui que les athlètes ont été maltraités, pourquoi n’a-t-il pas entrepris une enquête anonyme sur la morbidité et la mortalité des athlètes brevetés qui ont pris des DAP dans les années 1970 et 1980?
Q-32412 — December 2, 2024 — Mr. Kram (Regina—Wascana) — With regard the Carbon Capture, Utilization, and Storage (CCUS) Investment Tax Credit (ITC) and the requirement to submit a project plan to Natural Resources Canada (NRCan) and be issued an initial project evaluation for each qualified CCUS project: (a) how many project plans have been submitted to NRCan to date regarding the CCUS ITC qualification process; (b) how many initial project evaluations have been issued by NRCan regarding CCUS projects; (c) for each project plan submitted to date, how long did the process take between the submission of the project plan and the issuance of the evaluation; (d) for each plan which has been submitted that has yet to receive an evaluation from NRCan, on what dates were the plans received by NRCan; (e) of project plans which have (i) received an evaluation, (ii) not yet received an evaluation, how many required additional information or revision beyond what was included in the original submission; (f) how many project plans have been rejected or otherwise denied an initial project evaluation; and (g) what is the projected dollar value of the ITCs claimable against projects which have already received an initial evaluation? Q-32412 — 2 décembre 2024 — M. Kram (Regina—Wascana) — En ce qui concerne le crédit d’impôt à l’investissement (CII) pour le captage, l’utilisation et le stockage du carbone (CUSC) et l’obligation de soumettre un plan de projet à Ressources naturelles Canada (RNCan) et de recevoir une évaluation initiale de projet pour chaque projet CUSC admissible : a) combien de plans de projet ont été soumis à RNCan à ce jour dans le cadre du processus de qualification du CII pour le CUSC; b) combien d’évaluations initiales de projet ont été délivrées par RNCan pour des projets de CUSC; c) pour chaque plan de projet soumis à ce jour, combien de temps s’est écoulé entre la soumission du plan de projet et la remise de l’évaluation; d) pour chaque plan qui a été soumis et qui n’a pas encore reçu d’évaluation de RNCan, à quelles dates les plans ont-ils été reçus par RNCan; e) parmi les plans de projet qui (i) ont reçu une évaluation, (ii) n’ont pas encore reçu d’évaluation, combien ont nécessité des informations supplémentaires ou une révision au-delà de ce qui avait été inclus dans la soumission initiale; f) combien de plans de projet ont été rejetés ou se sont vu refuser une évaluation initiale du projet; g) quelle est la valeur projetée en dollars des CII à réclamer pour les projets qui ont déjà reçu une évaluation initiale?
Q-32422 — December 2, 2024 — Mr. Baldinelli (Niagara Falls) — With regard to Immigration, Refugees and Citizenship Canada (IRCC) transferring refugees to Niagara Falls, Ontario, between January 1, 2024 and December 1, 2024: (a) how many have been transferred to Niagara Falls in total; (b) what is the monthly breakdown of the number of refugees transferred to Niagara Falls; (c) which hotels is the government using to lodge refugees in Niagara Falls; (d) how many hotel rooms are currently being occupied by refugees in Niagara Falls; (e) what is the capacity of each hotel room that is being occupied by refugees in Niagara Falls; (f) how many refugees are staying in each hotel room in Niagara Falls; (g) what is the average length of time IRCC expects (i) an individual refugee, (ii) a refugee family, to be lodged in a Niagara Falls hotel room; (h) for all refugees being lodged in government funded Niagara Falls hotel rooms, without identifying names or other personal information, how many days has each refugee stayed; (i) what is the average cost per night that IRCC pays per refugee staying in a Niagara Falls hotel room; (j) for the night of December 1, 2024, what was the total cost IRCC paid hoteliers to house refugees located in Niagara Falls; (k) what is the average cost that IRCC pays per refugee who lives in a Niagara Falls hotel room for daily meals and refreshments; (I) for the month of November 2024, what was the total cost IRCC paid hoteliers to feed refugees located in Niagara Falls; (m) what are the countries of origin for refugees who have been accommodated in Niagara Falls; (n) what is the breakdown of refugees transferred to or accommodated in Niagara Falls by each country of origin; (o) how much funding was transferred by the federal government to the municipality of Niagara Falls to deal with the influx of refugees in the city; (p) how much funding has been transferred by the federal government to the Region of Niagara to deal with the influx of refugees in the region; (q) how much funding was transferred by the federal government to local not-for-profit, charitable, and non­governmental organizations in Niagara Falls to deal with the influx of refugees in the city; (r) what are the names of the specific not-for-profit, charitable, and non-governmental organizations who have received federal government funding; (s) what is the breakdown of funding for each organization to date; (t) how many more refugees does IRCC currently plan to transfer to or accommodate in Niagara Falls; (u) how many refugees have moved out of government funded hotel rooms in Niagara Falls and into personal accommodations; (v) when does the federal government plan to stop paying for refugee hotel rooms in Niagara Falls; and (w) what are the terms and conditions of the financial agreement that IRCC has with each hotelier located in Niagara Falls that houses refugees and receives federal monies to provide this service? Q-32422 — 2 décembre 2024 — M. Baldinelli (Niagara Falls) — En ce qui concerne le transfert de réfugiés par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) à Niagara Falls, en Ontario, entre le 1er janvier 2024 et le 1er décembre 2024 : a) combien de réfugiés ont été transférés à Niagara Falls au total; b) quelle est la ventilation par mois du nombre de réfugiés transférés à Niagara Falls; c) quels hôtels le gouvernement utilise-t-il pour héberger les réfugiés à Niagara Falls; d) combien de chambres d’hôtel sont actuellement occupées par les réfugiés à Niagara Falls; e) quelle est la capacité de chaque chambre d’hôtel occupée par des réfugiés à Niagara Falls; f) combien de réfugiés sont hébergés dans chaque chambre d’hôtel à Niagara Falls; g) en moyenne, combien de temps IRCC prévoit que (i) un réfugié seul, (ii) une famille de réfugiés, seront hébergés dans un hôtel de Niagara Falls; h) pour tous les réfugiés hébergés dans des chambres d’hôtel de Niagara Falls payées par le gouvernement, sans donner de noms ni de renseignements personnels, combien de jours chaque réfugié est demeuré à l’hôtel; i) quel est le coût moyen par nuit qu’IRCC paie par réfugié hébergé dans une chambre d’hôtel de Niagara Falls; j) pour la nuit du 1er décembre 2024, quel a été le coût total payé par IRCC aux hôteliers pour héberger les réfugiés situés à Niagara Falls; k) quel est le coût moyen payé par IRCC pour les repas quotidiens et les rafraîchissements par réfugié vivant dans une chambre d’hôtel à Niagara Falls; I) pour le mois de novembre 2024, quel a été le coût total payé par IRCC aux hôteliers pour nourrir les réfugiés situés à Niagara Falls; m) quels sont les pays d’origine des réfugiés accueillis à Niagara Falls; n) quelle est la ventilation des réfugiés transférés ou hébergés à Niagara Falls par pays d’origine; o) quel est le montant des fonds transférés par le gouvernement fédéral à la municipalité de Niagara Falls pour gérer l’afflux de réfugiés dans la ville; p) quel est le montant des fonds transférés par le gouvernement fédéral à la région de Niagara pour gérer l’afflux de réfugiés dans la région; q) quel est le montant des fonds transférés par le gouvernement fédéral aux organisations locales à but non lucratif, caritatives et non gouvernementales de Niagara Falls pour gérer l’afflux de réfugiés dans la ville; r) quels sont les noms des organisations à but non lucratif, caritatives et non gouvernementales qui ont reçu des fonds du gouvernement fédéral; s) quelle est la ventilation du financement pour chaque organisation à ce jour; t) combien de réfugiés supplémentaires IRCC prévoit-il actuellement de transférer ou d’héberger à Niagara Falls; u) combien de réfugiés ont quitté les chambres d’hôtel financées par le gouvernement à Niagara Falls pour s’installer dans des logements personnels; v) quand le gouvernement fédéral prévoit-il d’arrêter de payer les chambres d’hôtel pour les réfugiés à Niagara Falls; w) quelles sont les conditions de l’accord financier qu’IRCC a conclu avec chaque hôtelier de Niagara Falls qui héberge des réfugiés et reçoit des fonds fédéraux pour fournir ce service?
Q-32432 — December 2, 2024 — Mr. Motz (Medicine Hat—Cardston—Warner) — With regard Canada's foreign aid, delivered through either Global Affairs Canada, the International Development Research Centre, or any source of direct aid, since 2016 and broken down by year: how much foreign aid went to, or was dedicated towards, the Palestinian people or Palestinian authority (i) directly, (ii) through the United Nations or the United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees? Q-32432 — 2 décembre 2024 — M. Motz (Medicine Hat—Cardston—Warner) — En ce qui concerne l’aide étrangère du Canada, fournie par l’intermédiaire d’Affaires mondiales Canada, du Centre de recherches pour le développement international ou de toute autre source d’aide directe, depuis 2016 et ventilé par année : combien d’aide étrangère est allée, ou a été consacrée, au peuple palestinien ou à l’Autorité palestinienne (i) directement, (ii) par l’intermédiaire des Nations Unies ou de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine?
Q-32442 — December 2, 2024 — Mr. Motz (Medicine Hat—Cardston—Warner) — With regard to the government's foreign policy: what is the current official position of Canada relating to the Palestinian efforts to become a full member state of the United Nations? Q-32442 — 2 décembre 2024 — M. Motz (Medicine Hat—Cardston—Warner) — En ce qui concerne la politique étrangère du gouvernement : quelle est la position officielle actuelle du Canada au sujet des mesures prises pour que la Palestine devienne un État à part entière des Nations Unies?

Notices of Motions for the Production of Papers

Avis de motions portant production de documents

Business of Supply

Travaux des subsides

Supplementary Estimates (B) Budget supplémentaire des dépenses (B)
UNOPPOSED VOTES CRÉDITS QUI NE FONT PAS L'OBJET D'OPPOSITION
November 22, 2024 — The President of the Treasury Board — That the Supplementary Estimates (B) for the fiscal year ending March 31, 2025, be concurred in. 22 novembre 2024 — La présidente du Conseil du Trésor — Que le Budget supplémentaire des dépenses (B) pour l’exercice se terminant le 31 mars 2025 soit agréé.

Government Business

Affaires émanant du gouvernement

Private Members' Notices of Motions

Avis de motions émanant des députés

Private Members' Business

Affaires émanant des députés

C-405 — June 14, 2024 — Mr. Barrett (Leeds—Grenville—Thousand Islands and Rideau Lakes) — Second reading and reference to the Standing Committee on Access to Information, Privacy and Ethics of Bill C-405, An Act to amend the Criminal Code and the Parliament of Canada Act. C-405 — 14 juin 2024 — M. Barrett (Leeds—Grenville—Thousand Islands et Rideau Lakes) — Deuxième lecture et renvoi au Comité permanent de l'accès à l'information, de la protection des renseignements personnels et de l'éthique du projet de loi C-405, Loi modifiant le Code criminel et la Loi sur le Parlement du Canada.
Pursuant to Standing Order 86(3), jointly seconded by: Conformément à l'article 86(3) du Règlement, appuyé conjointement par :
Mr. Ruff (Bruce—Grey—Owen Sound) — June 18, 2024 M. Ruff (Bruce—Grey—Owen Sound) — 18 juin 2024
Mr. Viersen (Peace River—Westlock) — June 25, 2024 M. Viersen (Peace River—Westlock) — 25 juin 2024

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