Avril 2003 |
Le Centre des armes à feu du Canada (le Centre) est créé et constitue un ministère distinct qui relève du ministre de Sécurité publique et de la Protection civile Canada (SPPCC).
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3 juillet 2003 |
Le Centre, Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) et l’entrepreneur concluent de vive voix un accord de principe pour que ce dernier s’acquitte de travaux supplémentaires et engage des coûts.
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Janvier 2004 |
Le Centre demande l’avis du Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) sur le traitement comptable qu’il convient de donner aux coûts du SCIRAF II de 2003-2004.
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30 janvier 2004 |
Le commissaire du Centre écrit au ministre pour dire que les coûts du SCIRAF II nécessiteront un budget supplémentaire afin d’éviter un dépassement des crédits votés cette année-là.
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Février 2004 |
Des hauts fonctionnaires informent les ministres. Il est décidé qu’un budget supplémentaire n’est pas souhaitable.
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Début février 2004 |
Des hauts fonctionnaires du SCT et de SPPCC demandent des opinions juridiques distinctes.
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Mi-février 2004 |
Une réunion met en présence des hauts fonctionnaires du Centre, de SPPCC, de TPSGC et du SCT. Il n’y a pas de trace écrite de la réunion. Le commissaire du Centre décide après la réunion qu’un budget supplémentaire des dépenses n’est pas nécessaire.
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Mars 2004 |
Les responsables de la comptabilité au SCT continuent d’évaluer d’autres traitements comptables pour les coûts du SCIRAF II.
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Mai 2004 |
Le Centre désigne les coûts de 21,8 millions de dollars du SCIRAF II à titre de « passif non comptabilisé » dans une lettre sur l’évaluation de l’actif et du passif au SCT.
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Octobre 2004 |
Le Centre divulgue le passif non comptabilisé dans son rapport ministériel sur le rendement de 2003-2004.
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