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Monsieur le Président, on répondra aujourd'hui aux questions n
os 1047, 1048, 1050 à 1053, et 1057.
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Question no 1047 -- M. Sean Casey:
En ce qui concerne les activités de communication du Cabinet du premier ministre: a) quelle est la source ou la provenance des différents vidéoclips, séquences ou prises de vue qui ont été montés pour produire la vidéo intitulée « Exclusivité 24 sept : Le Canada reste fort et libre », publiée le 28 janvier 2015; b) qui détient le droit d’auteur ou tout autre droit de propriété intellectuelle sur ces différents vidéoclips, séquences ou prises de vue; c) la permission d’utiliser chaque vidéoclip, séquence ou prise de vue a-t-elle été obtenue; d) si la réponse en c) est positive, quand, comment et auprès de qui la permission a-t-elle été obtenue; e) si la réponse en c) est positive, la permission a-t-elle été obtenue moyennant un paiement ou autre contrepartie, et quels sont les détails relatifs à ce paiement ou à cette contrepartie?
M. Paul Calandra (secrétaire parlementaire du premier ministre et pour les Affaires intergouvernementales, PCC):
Monsieur le Président, voici la réponse du Bureau du Conseil privé.
En ce qui concerne la partie a) de la question, la provenance des différents vidéoclips, séquences ou prises de vue qui ont été montés pour produire la vidéo intitulée « Exclusivité 24 SEPT : Le Canada reste fort et libre » sont la Caméra de combat des Forces canadiennes, la Chambre des communes et des séquences de 24 SEPT.
Pour ce qui est de la partie b) de la question, la Couronne possède les droits d’auteur pour la Caméra de combat des Forces canadiennes et les séquences de 24 SEPT. Les droits d’auteur pour les travaux de la Chambre des communes appartiennent à la Chambre des communes.
En ce qui aux parties c), d) et e) de la question, la permission d’utiliser le matériel vidéo a été demandée à la Chambre des communes. Le Cabinet du Premier ministre a obtenu la permission d’utiliser les séquences en mars 2014. Cette permission n’a pas été obtenue en échange de paiement ni d’autre forme de rétribution. La Couronne détient les droits pour la Caméra de combat des Forces canadiennes, donc aucune permission officielle n’a dû être demandée pour l’utilisation du matériel. L’équipe audiovisuelle de la Caméra de combat des Forces canadiennes est au courant de l’utilisation du matériel par le Cabinet du Premier ministre.
Question no 1048 -- M. Ryan Cleary:
En ce qui concerne le ministère des Pêches et des Océans, la Garde côtière canadienne et la situation du navire Manolis L: a) depuis mars 2013, quel conseil le Ministère a-t-il reçu de la part des experts internationaux pour régler la situation; b) un plan de gestion sera-t-il mis en place; c) le gouvernement est-il prêt à recourir à un fonds d’assainissement fédéral pour régler la situation?
L'hon. Gail Shea (ministre des Pêches et des Océans, PCC):
Monsieur le Président, le gouvernement du Canada et la Garde côtière canadienne poursuivent leurs efforts visant à protéger nos océans des déversements provenant des navires. Le gouvernement le démontre en mettant en place un système de sécurité de classe mondiale pour les navires citernes.
En ce qui concerne la partie a) de la question, depuis mars 2013, la Garde côtière canadienne reçoit des avis d’experts internationaux qui confirment l’efficacité des opérations en cours. En tant qu’organisme d’intervention, la Garde côtière canadienne continue d’examiner toutes les possibilités. Le batardeau et le plan d’intervention actuel de la Garde côtière concernant le Manolis L demeurent toutefois efficaces. La Garde côtière canadienne est en mesure d’intervenir rapidement advenant un changement dans la situation actuelle.
Pour ce qui est de la partie b) de la question, la Garde côtière canadienne, en collaboration avec Transports Canada et Environnement Canada, a mis au point un plan de gestion efficace qui comprend une surveillance exhaustive et un entretien, y compris des visites régulières du site, une surveillance aérienne ainsi que des inspections de la coque et des opérations de batardeau planifiées. La Garde côtière canadienne continuera de travailler avec ses partenaires dans le but de protéger l’environnement marin.
Enfin, en ce qui a trait à la partie c) de la question, en vertu de la Caisse d’indemnisation des dommages actuelle du Canada, le recouvrement des coûts se limite à cinq ans après la date où s’est produit l’incident initial. Dans le cas présent, il s’agit du naufrage du navire. Le gouvernement examine actuellement des options à long terme pour la gestion du Manolis L.
Question no 1050 -- M. Ryan Cleary:
En ce qui concerne la Défense nationale et ses hélicoptères de recherche et de sauvetage Cormorant: a) quels sont les détails du projet pilote qui sera mené cette année sur le temps de réaction uniforme, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, dans les dossiers de recherche et de sauvetage; b) à quelle date le projet pilote devrait-il se terminer; c) quel est l’objectif du projet pilote; d) les résultats seront-ils présentés au Parlement?
M. James Bezan (secrétaire parlementaire du ministre de la Défense nationale, PCC):
Monsieur le Président, chaque année, les équipes et les coordonnateurs de recherche et sauvetage, la R et S, interviennent dans quelque 10 000 incidents maritimes, aéronautiques et humanitaires à l’échelle du pays. Les trois régions de recherche et de sauvetage, les RRS, soit Victoria, Trenton et Halifax, collaborent à la supervision des opérations de R et S de l’ensemble du Canada, ce qui représente 18 millions de kilomètres carrés de terre et d’eau. Les équipes de R et S respectent un horaire de 40 heures par semaine, durant lequel le délai d’intervention est de 30 minutes. En dehors de ces 40 heures, les équipes de R et S continuent d’intervenir immédiatement, et elles sont tenues de décoller dans les deux heures qui suivent un appel.
En ce qui concerne les parties a) à d) de la question, les Forces armées canadiennes, les FAC, n’ont actuellement aucun projet correspondant à celui de la question. Toutefois, les FAC terminent cette année un projet qui prévoit un ensemble d’essais annuels, menés sur une période de trois ans, concernant le délai d’intervention de R et S. Ce projet d’essais vise à modifier les délais d’intervention afin qu’ils soient plus adaptés aux heures et aux jours durant lesquels des incidents de R et S risquent davantage de se produire. Bien que le délai d’intervention préétabli ne change pas, ces essais, qui varieront selon les escadrons et les aéronefs, ont pour but de coordonner la posture d’intervention de 30 minutes aux périodes de plus grande activité de R et S, en fonction des données historiques.
En 2013, les essais visaient la RRS de Trenton et en 2014, ils ont été améliorés et élargis pour y inclure la RRS de Victoria. La RRS d’Halifax participera également aux essais de la dernière année, qui auront lieu du 15 mai au 17 septembre 2015.
Question no 1051 -- M. Ryan Cleary:
En ce qui concerne le commerce international: a) comment le Ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement est-il arrivé au montant de 280 millions de dollars accordé à Terre-Neuve-et-Labrador pour les pertes prévues liées à l’élimination des exigences relatives à la transformation minimale négociée dans le cadre de l'Accord économique et commercial global (AECG); b) quand l’UE a-t-elle demandé l’abolition de ces exigences dans les négociations relatives à l’AECG; c) qu’a-t-on obtenu de l’UE en contrepartie de l’élimination des exigences relatives à la transformation minimale?
L'hon. Ed Fast (ministre du Commerce international, PCC):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a) de la question, l’accord commercial historique entre le Canada et l’UE procurera des avantages considérables aux entreprises, aux travailleurs et à leurs familles de Terre-Neuve-et-Labrador et de partout au Canada. La province de Terre-Neuve-et-Labrador a dit craindre fortement que l’élimination des exigences de transformation minimale ait une incidence négative sur les travailleurs du secteur des pêches. À la suite de discussions, le gouvernement du Canada et le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador ont convenu de partager les coûts d’un fonds pour les exigences de transformation minimale. Ce fonds servirait à indemniser les personnes qui peuvent démontrer avoir subi des pertes découlant de l’élimination de ces exigences. Le gouvernement du Canada attend avec intérêt de recevoir les propositions précises du gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador pour ce fonds, et de mettre en avant cet accord commercial historique, qui offrira des occasions économiques insoupçonnées à Terre-Neuve-et-Labrador.
En ce qui concerne la partie b) de la question, lorsqu’il traite les documents parlementaires, le gouvernement applique les principes de la Loi sur l’accès à l’information. Les renseignements liés aux négociations n’ont pas été communiqués, puisque leur divulgation pourrait porter atteinte aux relations bilatérales entre le Canada et l’Union européenne.
Enfin, pour ce qui est de la partie c) de la question, lorsqu’il traite les documents parlementaires, le gouvernement applique les principes de la Loi sur l’accès à l’information. Certains renseignements n’ont pas été communiqués, car il s’agissait de documents confidentiels du Cabinet.
Question no 1052 -- M. Pierre Dionne Labelle:
En ce qui concerne le Programme de dénonciateurs de l'inobservation fiscale à l'étranger: a) depuis la création du programme, (i) combien d'appels ont été reçus, (ii) combien de dossiers ont été ouverts suite à des renseignements fournis par les dénonciateurs, (iii) quel est le total des primes accordées aux dénonciateurs, (iv) quelle est la somme totale récupérée par l'Agence du revenu du Canada; b) combien d'enquêtes présentement en cours sont le fruit d'informations obtenues grâce au programme; c) quels sont les montant d'argent impliqués dans les enquêtes en cours?
L'hon. Kerry-Lynne D. Findlay (ministre du Revenu national, PCC):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a)(i) de la question, l’Agence du revenu du Canada, l’ARC, a lancé le Programme de dénonciateurs de l’inobservation fiscale à l’étranger, le PDIFE, le 15 janvier 2014. En date du 31 janvier 2015, le PDIFE avait reçu 1 712 appels, dont 478 provenaient de dénonciateurs potentiels.
En ce qui concerne la partie a)(ii) de la question, en date du 31 janvier 2015, le PDIFE avait reçu 189 dénonciations écrites. Le PDIFE examine actuellement 113 cas afin de déterminer leur admissibilité au programme. Il y a eu 76 cas qui n’étaient pas admissibles en vertu du PDIFE; ces cas ont été fermés et renvoyés à d’autres secteurs de l’ARC, le cas échéant, pour que des mesures d’observation éventuelles soient considérées.
En ce qui a trait à la partie a)(iii) de la question, lorsque le PDIFE reçoit une dénonciation, il l’évalue selon son propre mérite, à savoir si elle justifie l’émission d’un contrat pour une récompense éventuelle. Cela peut prendre plusieurs années à partir de la date d’entrée en contact avec l’ARC avant que de l’impôt fédéral supplémentaire fasse l’objet d’une cotisation, que les droits d’appel du contribuable soient expirés et que le montant dû soit recouvré. Si l’ARC établit une cotisation et recouvre plus de 100 000 $ en impôt fédéral supplémentaire, la récompense représentera entre 5 % et 15 % de l’impôt fédéral, sans inclure l’intérêt et les pénalités. Le PDIFE est actuellement à l’étape de conclure des contrats avec plusieurs dénonciateurs. Aucune récompense n’a été payée à ce jour.
Pour ce qui est de la partie a)(iv) de la question, l’ARC rendra compte aux Canadiens des résultats du PDIFE, y compris des montants recouvrés et des montants payés aux dénonciateurs, dans le Rapport annuel au Parlement de l’Agence du revenu du Canada, pourvu que ces renseignements ne permettent pas de révéler l’identité des dénonciateurs confidentiels ou des renseignements de contribuables.
En ce qui concerne la partie b) de la question, le PDIFE examine les renseignements fournis par les dénonciateurs concernant l’inobservation fiscale internationale afin de déterminer l’admissibilité au programme. C’est uniquement lorsqu’un dossier est renvoyé qu’une mesure d’observation de l’ARC pourrait confirmer si un contribuable est contrevenant et, si c’est le cas, les montants en cause. Le PDIFE prend très au sérieux la protection des renseignements des contribuables et des dénonciateurs. Étant donné que le programme en est toujours à ses débuts, la divulgation de renseignements opérationnels, comme le nombre de mesures d’observation qui pourraient être entreprises, pourrait mettre en péril l’identité d’un dénonciateur ou compromettre les mesures d’observation de l’ARC.
Enfin, pour ce qui est de la partie c) de la question, il convient de se référer aux réponses données aux parties a)(iv) et b) de la question.
Question no 1053 -- M. Randall Garrison:
En ce qui concerne le Programme de lutte contre l’extrémisme violent de la Gendarmerie royale du Canada: a) à quelle date le programme a-t-il été mis en œuvre; b) combien d’équivalents temps plein sont affectés au programme; c) combien d’agents de la GRC ont reçu une formation dans le cadre du programme; d) dans quelles municipalités le programme est-il mis en œuvre; e) quelle somme totale a été consacrée au programme; f) combien d’associations communautaires et lieux de culte ont été sollicités dans le cadre du programme; g) quelles communautés confessionnelles ont été sollicitées dans le cadre du programme; h) quelle est la durée prévue du programme?
L'hon. Steven Blaney (ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, PCC):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a) de la question, la GRC termine actuellement la mise en œuvre des divers volets de son programme de lutte contre l’extrémisme violent, la LEV, et prévoit qu’il sera entièrement opérationnel à la fin de 2015.
Elle a commencé à offrir de la formation en matière de LEV aux agents de première ligne partout au pays.
En ce qui a trait aux parties b) et e) de la question, le mandat de la LVE relève du Programme de mobilisation des communautés, qui compte huit employés à temps plein et un budget de fonctionnement de 1,1 million de dollars. Tout au long de l’année, des divisions y ont aussi contribué et des ressources à temps plein ont été fournies par la direction générale, entraînant des dépenses supplémentaires de 2 millions de dollars. Par conséquent, au cours de l’exercice de 2014 2015, la GRC prévoit consacrer en tout 3,1 millions de dollars à la LEV.
En ce qui concerne la partie c) de la question, 18 membres de la GRC ont reçu la formation offerte dans le cadre du programme, ainsi que 12 policiers additionnels de corps policiers externes, dont le service de police de Toronto, le service de police de Vancouver, le service de police de Calgary, le service de police d’Edmonton, le service de police de la Ville de Montréal, la Sûreté du Québec, le service de police de la Ville de Québec, la police régionale de Peel, le service de police de la province de l’Ontario et le service de police d’Ottawa. La GRC a aussi appuyé et facilité la formation de 400 officiers de front des Services de police de Toronto au Programme d’agent d’information antiterroriste.
Les ateliers du Programme de coordonnateurs d'information sur la menace terroriste ont été mis à profit pour favoriser la sensibilisation à la radicalisation menant à la violence. Ces ateliers, qui font partie intégrante de la formation à la GRC en matière de lutte contre le terrorisme depuis une dizaine d'années avec plus de 1 800 individus formés jusqu'à présent, fournissent de la formation aux agents des forces de l'ordre et aux premiers intervenants afin de déceler les signes de radicalisation menant à la violence, d’accroitre la sensibilisation sur le terrorisme en général, et de servir comme base de formation future en lien avec le Programme de prévention contre le terrorisme. En 2014-2015, plus de 647 agents ont été formés grâce à ces ateliers, ce qui a augmenté de manière importante le nombre d'agents de la GRC formés à déceler les signes de radicalisation.
Pour ce qui est des parties d), f) et g) de la question, le programme de la LEV de la GRC ne cible pas des communautés ou des individus particuliers. Il vise plutôt à travailler avec des personnes qui ont été désignées par la police en fonction d’une série prédéterminée de critères impartiaux fondés sur la recherche ou qui ont été désignées par leur propre communauté.
La GRC collabore avec toutes les collectivités qu’elle sert et ne s’attarde pas à l’une ou à l’autre pour des motifs d’ordre ethnique ou religieux. Elle s’est engagée à promouvoir une relation de confiance avec toutes les collectivités de façon à favoriser la communication des préoccupations mutuelles et à élaborer des solutions collectives.
Enfin, en ce qui concerne la partie h) de la question, conformément à son mandat, la GRC entreprend des initiatives complètes d’approche communautaire à l’appui de la sécurité nationale afin de travailler directement avec les personnes, les familles et les communautés. Par conséquent, le programme de la LEV n’est pas d’une durée prédéterminée.
Question no 1057 -- M. Mathieu Ravignat:
En ce qui concerne une entente de certification d’approvisionnement entre le Conseil du Trésor et le Conseil canadien des normes: a) existe-t-elle une telle entente; b) si la réponse en a) est affirmative, depuis quand; c) quels sont les détails de cette entente; d) y a-t-il eu des modifications à cette entente après la date identifiée en b) et le cas échéant, (i) quels sont les détails de ces modifications, (ii) quand ces modifications sont-elles entrées en vigueur; e) y a-t-il une référence dans le texte de l’entente concernant des formations, conçues et offertes par l’École de la fonction publique du Canada, dans le cadre de l’entente et le cas échéant, quels sont les détails de ces formations?
L'hon. Tony Clement (président du Conseil du Trésor, PCC):
Monsieur le Président, il n’existe aucune entente de certification d’approvisionnement entre le Conseil du Trésor et le Conseil canadien des normes.
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Monsieur le Président, si les questions n
os 1032 à 1037, 1039 à 1045, et 1054 pouvaient être transformées en ordres de dépôt de documents, les documents seraient déposés immédiatement.
[Texte]
Question no 1032 -- M. Rodger Cuzner:
En ce qui concerne le programme Expérience internationale (le programme): a) le gouvernement exerce-t-il un suivi des données afin de déterminer si le programme a un effet sur le marché du travail intérieur pour les jeunes Canadiens; b) si la réponse à la question en a) est négative, pourquoi pas; c) si la réponse à la question en a) est affirmative, quels sont les détails de toutes mesures utilisées par le gouvernement pour arriver aux conclusions attendues; d) combien d’employeurs canadiens emploient des jeunes étrangers par l’entremise du programme, répartis selon (i) le total, (ii) l’industrie, (iii) le nombre à chaque fin d’exercice, du 31 mars 2005 au 31 mars 2014; e) le gouvernement croit-il que le programme a un effet négatif sur le marché du travail intérieur pour les jeunes Canadiens; f) si la réponse à la question en e) est affirmative, sur quelle hypothèse repose cette opinion et quels sont les paramètres, les données, les numéros de référence et les dates de tous les documents produits par ou pour le gouvernement pour étayer cette opinion; g) quel système des contrepoids est en place pour veiller à ce que le programme n’ait pas d’effet négatif sur le marché du travail intérieur pour les jeunes Canadiens; h) avec quels pays le Canada avait-il des accords de réciprocité et quel était le quota convenu pour chaque accord au 31 décembre 2005; i) depuis le 1er janvier 2006, combien de nouveaux accords de réciprocité ont été signés, répartis selon (i) la date de l’accord, (ii) le quota initial, (iii) les raisons et les objectifs du quota initial convenu; j) depuis 2006, quels quotas d’accords de réciprocité ont été augmentés par rapport au quota de l’accord initial, répartis selon (i) la date de l’augmentation du quota, (ii) la raison de l’augmentation; k) depuis janvier 2006, quels sont les détails relatifs à toutes analyses réalisées au moment de la signature des nouveaux accords de réciprocité ou de l’augmentation des quotas, afin d’en déterminer les effets sur le marché du travail intérieur pour les jeunes, répartis par (i) titres de rapports, (ii) dates, (iii) numéros de dossiers, (iv) résultats des analyses ou études; l) si aucune analyse n’a été réalisée à l’égard de la question en k), pourquoi cette absence d’analyse et sur quoi le gouvernement s’est-il appuyé pour veiller à ce que l’augmentation du nombre de jeunes étrangers au pays par l’entremise du programme n’aurait pas d’effet notable sur le marché du travail intérieur pour les jeunes; m) avec quels pays le Canada a-t-il des accords de réciprocité, répartis selon (i) le quota, (ii) le nombre de jeunes participants au programme en date de chaque fin d’exercice du 31 mars 2002 au 31 mars 2014, (iii) le nombre actuel de jeunes; n) depuis 2007, quels sont les cas où le gouvernement a été informé d’abus potentiels dans le cadre du programme, répartis selon (i) la description du cas d’abus confirmé ou présumé, (ii) la date, (iii) les titres et numéros de dossier des rapports d’enquête sur le cas d’abus confirmé ou présumé; o) quelles politiques ou procédures sont en place pour veiller à ce que les jeunes étrangers ne soient pas exposés à des abus potentiels de la part des employeurs en matière de normes du travail et de santé et sécurité au travail; p) les employeurs qui embauchent des jeunes étrangers dans le cadre du programme sont ils soumis à des inspections en milieu de travail; q) si la réponse à la question en p) est affirmative, combien d’inspections ont été menées au cours de chaque exercice, de 2004-2005 à ce jour r) pour quel motif principal a-t-on décidé d’augmenter le nombre de pays et les quotas, dans chacun des cas où une telle augmentation a eu lieu depuis 2006; s) le programme est-il lié à une politique particulière pour contrer une pénurie de main-d’œuvre et de travailleurs spécialisés au Canada; t) si la réponse à la question en s) est affirmative, quand cette politique est-elle entrée en vigueur et pourquoi a-t-elle été adoptée; u) le gouvernement croit-il que le programme aide à enrayer les pénuries de main-d’œuvre; v) si la réponse à la question en u) est affirmative, quelle région du pays et touchée et de quelle façon l’est-elle; w) quelles étaient les dépenses prévues et réelles du programme, de l’exercice 2004-2005 à ce jour; x) quel a été le coût de promotion du programme, de l’exercice 2004-2005 à ce jour, réparti selon les coûts associés (i) aux jeunes étrangers, (ii) aux jeunes Canadiens; y) quel a été le coût de promotion du programme auprès des entreprises canadiennes, réparti par exercice, de 2004-2005 à ce jour; z) quelles sont les politiques ou stratégies employées pour faire la promotion des jeunes étrangers du programme auprès des employeurs canadiens; aa) quels sont les dates et les coûts des voyages ou missions à l’étranger pour faire la promotion du programme auprès des jeunes étrangers depuis 2006, répartis par (i) fonctionnaires, (ii) ministres; bb) le ministère des Affaires étrangères a-t-il eu des inquiétudes au sujet de l’orientation du programme, de la politique qui y est associée ou de ses objectifs, depuis 2008; cc) si la réponse à la question en bb) est affirmative, quelles étaient les inquiétudes, réparties selon (i) la date, (ii) le titre, (iii) le numéro de dossier des documents qui décrivent l’inquiétude?
(Le document est déposé)
Question no 1033 -- L'hon. Gerry Byrne:
En ce qui concerne la reconnaissance des bandes sans assise territoriale et l’octroi du statut d’indien à leurs membres aux termes de la Loi sur les Indiens: a) combien de bandes sans assise territoriale le Canada a-t-il reconnues; b) quel est le nom reconnu de ces bandes; c) en vertu de quel instrument juridique chaque bande a-t-elle été reconnue; d) à quelle date chaque bande a-t-elle été reconnue; e) combien de membres comptait chaque bande au moment de la reconnaissance; f) combien de membres chaque bande reconnue compte-t-elle aujourd’hui; g) où croyait-on généralement que les membres de chaque bande avaient habité au moment de la reconnaissance; h) où croit-on généralement que les membres de chaque bande reconnue habitent aujourd’hui; i) pour chaque bande, l’appartenance à la bande a-t-elle entraîné directement l’admissibilité à l’inscription auprès du registraire des Indiens en vue de l’octroi du statut d’indien aux termes de la Loi sur les Indiens; j) quels étaient les critères d’admissibilité pour chaque bande au moment de la promulgation de l’instrument de reconnaissance; k) quels sont les détails des critères d’admissibilité actuels auxquels les bandes doivent satisfaire pour être reconnues?
(Le document est déposé)
Question no 1034 -- L'hon. Gerry Byrne:
En ce qui concerne la société d’État fédérale Marine Atlantique S.C.C. et le droit de regard qu’exerce Transports Canada sur ses politiques et ses opérations: a) pourquoi Transports Canada a-t-il décidé d’acquérir ou de noliser des navires d’environ 200 mètres de long pour renouveler la flotte de Marine Atlantique alors que le conseil d’administration de la société avait, sur la recommandation de son expert-conseil, décidé que des navires de 75 mètres de long feraient mieux l’affaire; b) quels avantages trouvait-on aux vaisseaux de 200 mètres qui compensaient la probabilité que leur fonctionnement soit entravé par mauvais temps; c) pourquoi Transport Canada a-t-il décidé de doter Marine Atlantique d’une flotte de quatre navires alors que, dans son rapport de 2005, le comité consultatif du ministre des Transports sur Marine Atlantique S.C.C. recommandait une flotte de trois navires; d) Marine Atlantique dénombre-t-elle les retards que les clients subissent pour faire de nouvelles réservations en période de pointe, (i) si oui, à quoi au juste ces retards ont-ils été attribuables entre juin et septembre 2013 et juin et septembre 2014, (ii) si non, pourquoi pas; e) Marine Atlantique recueille-t-elle des données sur les écarts entre la date de départ préférée du client et la date qu’il obtient en faisant sa réservation, (i) si oui, à quoi au juste ces écarts ont-ils été attribuables entre juin et septembre 2013 et juin et septembre 2014, (ii) si non, pourquoi pas; f) durant les périodes de congestion (pour cause de demande trop forte, défaillance mécanique, mauvais temps, etc.), Marine Atlantique a-t-elle pour politique de ne pas accepter de nouvelles réservations ou de permettre aux véhicules d’acheter leur passage et de se rendre dans les parcs de stationnement jusqu’à ce que la congestion se résorbe et, si oui, pourquoi; g) en quoi les conventions collectives signées avec les employés de Marine Atlantique entre 2011 et 2013 permettent-elles plus de souplesse opérationnelle et d’économies de frais de main-d’œuvre que les conventions collectives antérieures; h) quels avantages mesurables Marine Atlantique tire-t-elle des nouvelles conventions collectives; i) le prêt contracté pour le NM Leif Ericson est-il remboursé à même le budget de fonctionnement et, si oui, pourquoi; j) mis à part le tarif de reconnaissance des Forces canadiennes, Marine Atlantique a-t-il déjà introduit des tarifs conçus pour offrir aux usagers plus de choix ou augmenter les recettes et, si non, pourquoi pas; k) Marine Atlantique a-t-elle pour politique de donner aux tracteurs semi-remorques la priorité d’embarquement sur les remorques sans tracteur et, si non, pourquoi pas; l) Marine Atlantique a-t-elle demandé à Transports Canada – Sécurité maritime la permission de prendre à bord plus de conducteurs de tracteurs semi-remorques lors des traversées avec marchandises comportant des restrictions et, si non, pourquoi pas; m) y a-t-il déjà eu un ombudsman indépendant pour recevoir les plaintes des clients concernant le service de Marine Atlantique et, si non, pourquoi pas; n) dans quelle mesure l’efficacité des systèmes et des pratiques de gestion de l’entretien de Marine Atlantique s’est-elle améliorée depuis 2009; o) Marine Atlantique enregistre-t-elle le temps qui s’écoule en moyenne entre les bris d’équipement, (i) si oui, quelles tendances observe-t-on dans les mesures de l’efficacité de l’équipement depuis 2009, (ii) si non, pourquoi pas; p) quels indicateurs objectifs Marine Atlantique a-t-elle établis à l’égard du temps de rotation des navires; q) quelles tendances observe-t-on dans les indicateurs visés en p)?
(Le document est déposé)
Question no 1035 -- M. Robert Aubin:
En ce qui concerne le centre fiscal de l’Agence du Revenu du Canada (ARC) de Shawinigan-Sud: a) le gouvernement compte-t-il entreprendre des travaux de rénovations à ce bâtiment d’ici les 24 prochains mois; b) si des travaux vont être entrepris, seront-ils des travaux d’entretien de cycle de vie; c) si des travaux de revitalisation sont prévus, à partir de quelle date le ministère responsable entend-t-il les commencer; d) l’ARC projette-t-elle de déménager une partie ou l’ensemble de ses activités de Shawinigan-Sud vers une autre ville et si oui, quels en sont les détails; e) l’ARC compte-t-elle maintenir à Shawinigan-Sud, sur le long terme (i) un centre de traitement de déclaration d’impôts des particuliers, (ii) un centre de traitement de déclaration des impôts des entreprises; f) d’ici les 24 prochains mois, y a-t-il des emplois qui seront transférés du centre fiscal de Shawinigan Sud vers d’autres villes du Canada; g) Travaux Publics et Services Gouvernementaux Canada (TPSGC) a-t-il réalisé une étude sur l’état du bâtiment abritant le centre fiscal de Shawinigan-Sud, sis 4695, 12e avenue à Shawinigan-Sud; h) TPSGC est-il au courant que l’édifice mentionné en g) arrive à un stade de désuétude avancé; i) TPSGC a-t-il un projet de revitalisation majeur pour l’édifice mentionné en g) d’ici les 24 prochains mois; j) Emploi et développement social Canada (EDSC) compte-t-il maintenir les 200 emplois de son centre de service au sein de l’édifice mentionné en g); k) d’ici les 24 prochains mois, y a-t-il des employés de EDSC, travaillant actuellement à Shawinigan-sud, qui seront transférés vers d’autres villes du Canada?
(Le document est déposé)
Question no 1036 -- M. Frank Valeriote:
En ce qui concerne le financement public de chacun des exercices de 2008-2009 à aujourd’hui: a) quels sont les détails de toutes les subventions et contributions et de tous les prêts accordés à tout organisme ou groupe de la circonscription de Nipissing–Timiskaming, ventilés par (i) nom du bénéficiaire, (ii) municipalité dans laquelle se trouve le bénéficiaire, (iii) date, (iv) montant, (v) ministère ou organisme octroyeur, (vi) programme dans le cadre duquel la subvention, la contribution ou le prêt a été accordé, (vii) la nature ou le but; b) pour chaque subvention, contribution et prêt mentionnés en a), un communiqué l’annonçant a-t-il été publié et, dans l’affirmative, quels en sont (i) la date, (ii) le titre et (iii) le numéro de dossier?
(Le document est déposé)
Question no 1037 -- L'hon. Scott Brison:
En ce qui concerne les contrats de moins de 10 000 $ adjugés par Travaux public et Services gouvernementaux Canada depuis le 4 juin 2014: quel est a) le nom du fournisseur; b) le numéro de référence du contrat; c) la date du contrat; d) la description des services fournis; e) la date de livraison; f) le montant originel du contrat; g) le montant final du contrat, s’il diffère du montant originel?
(Le document est déposé)
Question no 1039 -- L'hon. Lawrence MacAulay:
En ce qui concerne les contrats de moins de 10 000 $ adjugés par le ministère des Pêches et Océans depuis le 28 mars 2014: quel est a) le nom du fournisseur; b) le numéro de référence du contrat; c) la date du contrat; d) la description des services fournis; e) la date de livraison; f) le montant originel du contrat; g) le montant final du contrat, s’il diffère du montant originel?
(Le document est déposé)
Question no 1040 -- Mme Kirsty Duncan:
En ce qui concerne les contrats de moins de 10 000 $ adjugés par Services partagés Canada depuis le 31 mars 2014: quel est a) le nom du fournisseur; b) le numéro de référence du contrat; c) la date du contrat; d) la description des services fournis; e) la date de livraison; f) le montant originel du contrat; g) le montant final du contrat, s’il diffère du montant originel?
(Le document est déposé)
Question no 1041 -- Mme Kirsty Duncan:
En ce qui concerne les contrats de moins de 10 000 $ adjugés par Sécurité publique Canada depuis le 31 mars 2014: quel est a) le nom du fournisseur; b) le numéro de référence du contrat; c) la date du contrat; d) la description des services fournis; e) la date de livraison; f) le montant originel du contrat; g) le montant final du contrat, s’il diffère du montant originel?
(Le document est déposé)
Question no 1042 -- M. Francis Scarpaleggia:
En ce qui concerne les contrats de moins de 10 000 $ adjugés par Citoyenneté et Immigration Canada depuis le 30 mai 2014: quel est a) le nom du fournisseur; b) le numéro de référence du contrat; c) la date du contrat; d) la description des services fournis; e) la date de livraison; f) le montant originel du contrat; g) le montant final du contrat, s’il diffère du montant originel?
(Le document est déposé)
Question no 1043 -- M. Francis Scarpaleggia:
En ce qui concerne les contrats de moins de 10 000 $ adjugés par Ressources naturelles Canada depuis le 30 mai 2014: quel est a) le nom du fournisseur; b) le numéro de référence du contrat; c) la date du contrat; d) la description des services fournis; e) la date de livraison; f) le montant originel du contrat; g) le montant final du contrat, s’il diffère du montant originel?
(Le document est déposé)
Question no 1044 -- L'hon. Irwin Cotler:
En ce qui concerne la réinstallation des réfugiés dans le cadre du programme des réfugiés pris en charge par le gouvernement (RPG): a) pour chacune des dix dernières années, quelle était la cible d’admissions annuelle; b) pour chacune des dix dernières années, quelle était la cible d’admissions annuelle pour les RPG recommandés par le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR); c) quelle est la ventilation, par pays source, des cibles en a) et en b); d) au cours des dix dernières années, combien de réfugiés par pays source ont été réinstallés au Canada; e) au cours de chacune des dix dernières années, combien de personnes le HCR a-t-il demandé au Canada d’accepter comme réfugiés; f) quelle est la ventilation, par pays source, des personnes mentionnées en e); g) au cours de chacune des dix dernières années, combien des personnes mentionnées en e), ventilées par pays source, ont été (i) jugées admissibles par le Canada, (ii) sélectionnées par le Canada aux fins de leur réinstallation, (iii) réinstallées au Canada, (iv) interdites de territoire par le Canada; h) par année et par pays source, en ce qui a trait aux personnes mentionnées en e) comme étant interdites de territoire au Canada, (i) pour quels motifs ont-elles été interdites de territoire, (ii) qui a décidé qu’elles étaient interdites de territoire, (iii) comment cette décision a-t-elle été communiquée au HCR, (iv) comment cette décision a-t-elle été communiquée à la personne; i) par année et par pays source, combien des personnes mentionnées en e) ont été interdites de territoire par le Canada (i) à la suite d’une entrevue en personne avec un agent des visas canadien, (ii) en fonction des résultats d’un examen médical, (iii) en fonction des résultats d’une vérification de sécurité, (iv) en fonction des résultats d’une vérification des antécédents judiciaires, (v) au motif qu’elles avaient été impliquées dans une organisation criminelle, (vi) au motif qu’elles avaient été impliquées dans des atteintes aux droits de la personne, (vii) au motif qu’elles avaient été impliquées dans des activités terroristes; j) sur quels facteurs se fonde le Canada pour évaluer les recommandations du HCR;k) qui effectue les évaluations mentionnées en j); l) quels changements ont été apportés aux facteurs mentionnés en j) au cours des dix dernières années; m) pour chaque changement mentionné en l), (i) quand a-t-il été effectué, (ii) qui l’a effectué, (iii) en vertu de quelle autorité, (iv) quel était l’objectif du changement, (v) de quelles façons cet objectif a-t-il été atteint; n) au cours de chacune des dix dernières années, par pays source et par organisme, combien de personnes ont été recommandées au Canada en vue de leur réinstallation à titre de réfugiés par des organismes autres que le HCR; o) au cours de chacune des dix dernières années, par pays source et par gouvernement, combien de personnes ont été recommandées au Canada en vue de leur réinstallation à titre de réfugiés par des gouvernements étrangers; p) au cours de chacune des dix dernières années, par pays source et par organisme, combien des personnes mentionnées en n) (i) ont été jugées admissibles par le Canada, (ii) ont été sélectionnées par le Canada en vue de leur réinstallation, (iii) ont été réinstallées au Canada, (iv) ont été interdites de territoire par le Canada, (v) se sont vu refuser l’entrée au Canada; q) par année et par pays source, combien des personnes mentionnées en n) se sont vu refuser une réinstallation au Canada (i) en fonction des résultats d’une vérification de sécurité, (ii) au motif qu’elles avaient été impliquées dans une activité criminelle, (iii) au motif qu’elles avaient été impliquées dans une organisation criminelle, (iv) au motif qu’elles avaient été impliquées dans des atteintes aux droits de la personne, (v) au motif qu’elles avaient été impliquées dans des activités terroristes; r) quelle est la norme de preuve pour conclure qu’un demandeur est interdit de territoire pour cause (i) d’activité criminelle, (ii) de participation à une organisation criminelle, (iii) de participation à des atteintes aux droits de la personne, (iv) de participation à des activités terroristes; s) au cours de chacune des dix dernières années, le Canada a-t-il eu pour politique de ne pas accepter de demandeurs d’asile de certains pays, régions ou camps de réfugiés; t) quels sont les pays, régions ou camps de réfugiés mentionnés en s); u) sur quels facteurs le gouvernement s’est-il fondé pour décider de ne pas accepter les demandeurs mentionnés en s); v) qui a pris les décisions mentionnées en u); w) de quels pays, régions ou camps de réfugiés le Canada a-t-il actuellement pour politique de ne pas accepter de demandeurs d’asile; x) sur quels facteurs le gouvernement s’est-il fondé pour décider de ne pas accepter les demandeurs d’asile mentionnés en w); y) qui a pris les décisions mentionnées en x); z) le Canada a-t-il déjà fait savoir au HCR, officiellement ou officieusement, qu’il n’accepterait pas de demandeurs d’asile provenant de certains pays, régions ou camps de réfugiés; aa) quels sont les pays, régions ou camps de réfugiés mentionnés en z); bb) quand le Canada a-t-il communiqué les informations mentionnées en z ); cc) quelle a été la réponse du HCR aux communications mentionnées en z); dd) combien de demandes le Canada a-t-il reçues du HCR en vue de la réinstallation de réfugiés du camp Liberty ou du camp Ashraf en Iraq; ee) quand chacune des demandes mentionnées en dd) a-t-elle été reçue; ff) combien des réfugiés mentionnés en dd) le Canada a-t-il (i) acceptés, (ii) réinstallés au Canada, (iii) rejetés; gg) sur quels facteurs le Canada s’est-il fondé pour rejeter les demandeurs mentionnés en dd); hh) au cours de chacune des dix dernières années, quels groupes le Canada a-t-il entrepris de réinstaller au moyen du traitement de groupe; ii) pour chaque groupe mentionné en hh), (i) quand le Canada a-t-il décidé de réinstaller les membres du groupe au moyen du traitement de groupe, (ii) qui a pris cette décision, (iii) en vertu de quelle autorité cette décision a-t-elle été prise, (iv) sur quels facteurs cette décision était-elle fondée, (v) combien de membres du groupe le gouvernement a-t-il entrepris de réinstaller au Canada, (vi) combien de membres du groupe le gouvernement compte-t-il réinstaller au Canada, (vii) combien de membres du groupe ont été réinstallés au Canada; jj) depuis le début du conflit en Syrie en 2011, combien de réfugiés de la Syrie le gouvernement s’est-il engagé à réinstaller au Canada; kk) quand, comment et envers qui le gouvernement a-t-il pris l’engagement mentionné en jj); ll) qui a décidé du nombre des réfugiés mentionnés en jj); mm) sur quels facteurs la décision mentionnée en jj) était-elle fondée; nn) quels changements ont été apportés aux facteurs mentionnés en mm) depuis le début du conflit en Syrie en 2011; oo) pour chaque changement mentionné en nn), (i) quand a-t-il été effectué, (ii) qui l’a effectué, (iii) en vertu de quelle autorité, (iv) quel en était l’objectif, (v) de quelles façons cet objectif a-t-il été atteint; pp) chaque mois depuis le début du conflit en Syrie en 2011, combien de demandeurs d’asile de la Syrie ont été (i) réinstallés au Canada, (ii) jugés admissibles par le Canada, (iii) interdits de territoire par le Canada; qq) sur quels facteurs le Canada s’est-il fondé pour interdire de territoire les demandeurs d’asile mentionnés en pp); rr) qu’est-ce qui explique tout écart entre le nombre des demandeurs d’asile mentionnés en pp) jugés admissibles et le nombre de ces demandeurs qui ont été réinstallés au Canada?
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Question no 1045 -- L'hon. Irwin Cotler:
En ce qui concerne le processus de nomination au Comité de surveillance des activités de renseignement de sécurité (CSARS): a) quelles personnes ont été nommées au CSARS au cours des dix dernières années; b) pour chacune des personnes mentionnées en a), (i) quelle est la date de la nomination, (ii) quelle a été la durée de son mandat, (iii) quelle est la date du départ du CSARS; c) pour la nomination de chaque personne mentionnée en a), (i) quand le gouvernement a-t-il entrepris le processus de nomination, (ii) que comportait le processus de nomination, (iii) quand le processus de nomination s’est-il terminé; d) pour la nomination de chaque personne mentionnée en a), (i) qui a participé au processus de sélection, (ii) qui a choisi la personne nommée, (iii) qui a supervisé le processus de nomination; e) pour la nomination de chaque personne mentionnée en a), quels groupes, personnes ou gouvernements ont été consultés dans le cadre du processus de nomination; f) pour la nomination de chaque personne mentionnée en a), combien de personnes (i) avaient posé leur candidature, (ii) ont été prises en considération, (iii) ont été contactées par le gouvernement; g) pour la nomination de chaque personne mentionnée en a), quelle est la ventilation du coût du processus de nomination; h) quelles modifications ont été apportées au processus de nomination au cours des dix dernières années; i) pour chaque modification mentionnée en h), i) quand a-t-elle été apportée, (ii) qui l’a apportée, (iii) quel était l’objectif, (iv) en quoi l’objectif a-t-il été atteint; j) selon quels critères le gouvernement évalue-t-il les candidats; k) quelles modifications ont été apportées aux critères mentionnés en j) au cours des dix dernières années; l) pour chaque modification mentionnée en k), (i) quand a-t-elle été apportée, (ii) qui l’a apportée, (iii) avec l’autorisation de qui a-t-elle été apportée, (iv) quel était l’objectif, (v) en quoi l’objectif a-t-il été atteint; m) quels examens du processus de nomination le gouvernement a-t-il effectués ou commandés au cours des dix dernières années; n) quels résultats les examens mentionnés en m) ont-ils donnés; o) quels étaient les objectifs des examens mentionnés en m); p) en quoi les objectifs mentionnés en o) ont-ils été atteints; q) quels examens du processus de nomination sont (i) en cours, (ii) prévus; r) quels sont les objectifs des examens mentionnés en q); s) quand les examens mentionnés en q) seront-ils terminés; t) quand les résultats des examens mentionnés en q) seront-ils rendus publics; u) si un processus de nomination est actuellement en cours, (i) quand a-t-il commencé, (ii) qui supervise ou a supervisé le processus, (iii) qui a participé ou participe au processus, (iv) quels groupes, personnes ou gouvernements ont été consultés, (v) quand le processus sera-t-il terminé, (vi) quand le gouvernement annoncera-t-il la personne nommée; v) en quoi le processus en u) est-il différent des processus de nomination précédents; w) quelle est la ventilation du coût du processus de nomination en u) jusqu’à présent; x) quelles vérifications de sécurité ou des antécédents sont effectuées au sujet des candidats; y) qui effectue les vérifications de sécurité ou des antécédents des candidats; z) pour chaque nomination faite au cours des dix dernières années (i) qui a effectué les vérifications de sécurité ou des antécédents des candidats, (ii) quel a été le coût des vérifications de sécurité ou des antécédents?
(Le document est déposé)
Question no 1054 -- M. Randall Garrison:
En ce qui concerne le Programme de financement des projets d’infrastructure de sécurité pour les collectivités à risque, pour chaque exercice depuis 2005-2006 inclusivement: a) combien de demandes ont été présentées; b) combien de demandes ont été acceptées; c) quel a été le budget global du programme à chaque exercice; d) quel a été le montant total des subventions accordées à chaque exercice; e) quels organismes ont bénéficié de subventions, ventilés par (i) collectivité, (ii) montant, (iii) exercice?
(Le document est déposé)
[Traduction]
:
Monsieur le Président, je demande que les autres questions demeurent au
Feuilleton.