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Madame la Présidente, on répondra aujourd'hui aux questions n
os 2192, 2197, 2198, 2202 à 2208, 2212 à 2218 et 2229.
[Texte]
Question no 2192 -- M. John Nater:
En ce qui concerne le volet Aide aux éditeurs du Fonds du Canada pour les périodiques: quels sont les détails concernant toutes les subventions accordées par le fonds depuis le 4 novembre 2015, y compris (i) le nom du bénéficiaire, (ii) la date à laquelle le financement a été reçu, (iii) le montant reçu?
M. Andy Fillmore (secrétaire parlementaire du ministre du Patrimoine canadien et du Multiculturalisme, Lib.): :
Madame la Présidente, il est à noter que les renseignements demandés sont disponibles sur le site Web du gouvernement du Canada à l’adresse suivante: https://ouvert.canada.ca/fr/search/grants. Il faut d’abord ouvrir le lien; ensuite, il faut inscrire « Fonds du Canada pour les périodiques, aide aux éditeurs »; puis il faut sélectionner l’année.
Question no 2197 -- M. Larry Miller:
En ce qui concerne les propos attribués au porte-parole de la ministre du Revenu national dans le Toronto Star en janvier 2019 selon lesquels « Nous avons embauché plus de 1 300 vérificateurs »: a) combien de ces nouveaux vérificateurs s’occupent uniquement d’évasion fiscale à l’étranger; b) combien de ces nouveaux vérificateurs s’occupent uniquement d’évasion fiscale par des sociétés canadiennes; c) combien de ces nouveaux vérificateurs s’occupent uniquement d’évasion fiscale par des particuliers au Canada?
L’hon. Diane Lebouthillier (ministre du Revenu national, Lib.):
Madame la Présidente, en réponse aux parties a), b) et c) de la question, les programmes d’observation de l’ARC se concentrent sur le type ou la taille des cas d’inobservation, et les contribuables utilisent souvent les interactions entre les particuliers et les entités constituées en société pour se soustraire aux règles en matière d’observation. Cela explique qu'il est impossible de faire une distinction claire entre l'évasion fiscale des particuliers et celle des sociétés.
Voici quelques exemples: le travail lié à l’économie clandestine englobe les sociétés et les particuliers; le travail lié aux particuliers fortunés et aux autres particuliers qui participent à des stratagèmes fiscaux, ce qui comprend les particuliers qui utilisent des sociétés, des fiducies et des sociétés de personnes dans le cadre de leur planification fiscale; le travail lié aux grandes entreprises, dont la majorité sont des sociétés cotées en bourse, mais dont un nombre limité sont des fiducies, des sociétés de personnes ou des sociétés fermées; le travail lié à l’observation de la TPS/TVH, ce qui regroupe des sociétés et des entreprises individuelles; et le travail lié aux petites et moyennes entreprises, qui effectuent des transactions complexes, mais qui ne sont pas toutes constituées en société.
Question no 2198 -- M. Larry Miller:
En ce qui concerne le projet de politique sur les justes salaires: a) quel est le coût prévu de sa mise en œuvre pour les contribuables; b) quels sont les résultats des analyses de coûts réalisées par les ministères?
M. Rodger Cuzner (secrétaire parlementaire de la ministre de l'Emploi, du Développement de la main d'oeuvre et du Travail, Lib.):
Madame la Présidente, le coût d’une politique de rémunération équitable sera établi en fonction de la portée et des exigences de cette dernière, des secteurs visés et du niveau de rémunération prescrit, selon le cas. Ces éléments n’ont pas encore été définis, et ils doivent en outre faire l’objet d’une décision ministérielle qui n’a pas encore été prise.
Question no 2202 -- M. Pierre Poilievre:
En ce qui concerne la TPS/TVH: a) le gouvernement compte-t-il augmenter la TPS/TVH; b) quels sont les détails entourant toute discussion ou réunions où la possibilité d'augmenter la TPS/TVH a été discutée, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; et (c) existe-t-il des documents de références qui démontrent tout plan visant à augmenter la TPS/TVH, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’oeuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2203 -- M. Pierre Poilievre:
En ce qui concerne les taux d'imposition sur le revenu des particuliers: a) le gouvernement entend-il augmenter les taux d’imposition sur le revenu des particuliers; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion où la possibilité d’augmenter les taux d’imposition sur le revenu des particuliers a été discutée, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à augmenter les taux d’imposition sur le revenu des particuliers, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2204 -- M. Pierre Poilievre:
En ce qui concerne le taux d’imposition des petites entreprises: a) le gouvernement compte-t-il hausser ou rétablir le taux d’imposition des petites entreprises; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité de hausser ou de rétablir le taux d’imposition des petites entreprises, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à hausser le taux d’imposition des petites entreprises, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2205 -- M. Colin Carrie:
En ce qui concerne la déduction accordée aux petites entreprises: a) le gouvernement compte-t-il éliminer la déduction accordée aux petites entreprises; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité d'éliminer la déduction accordée aux petites entreprises, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à éliminer la déduction accordée aux petites entreprises, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie
Question no 2206-- M. Colin Carrie:
En ce qui concerne les taux d'imposition des sociétés: a) le gouvernement compte-t-il augmenter les taux d'imposition des sociétés; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité d'augmenter les taux d'imposition des sociétés, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à augmenter les taux d'imposition des sociétés, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2207 -- M. Bob Saroya:
En ce qui concerne les cotisations à l’assurance-emploi (AE): a) le gouvernement compte-t-il augmenter les cotisations à l'AE; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité d'augmenter les cotisations à l'AE, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à augmenter les cotisations à l'AE, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Adam Vaughan (secrétaire parlementaire du ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, Lib.):
Madame la Présidente, en réponse à la partie a) de la question, le gouvernement du Canada ne fixe pas le taux de cotisation à l’assurance-emploi. Le taux de cotisation à l’assurance-emploi est fixé par la Commission de l’assurance-emploi du Canada selon un mécanisme assurant l’équilibre sur une période de sept ans, basé sur les prévisions et les estimations de l’actuaire principale de l’assurance-emploi. Ce taux vise à assurer un solde cumulatif de zéro dans le Compte des opérations de l’assurance-emploi sur une période de sept ans.
Conformément à la loi, le taux de cotisation à l’assurance-emploi pour 2020 sera annoncé au plus tard le 14 septembre 2019 et tiendra compte de toute nouvelle initiative en matière d’assurance-emploi annoncée d’ici le 22 juillet 2019, ainsi que des projections d’indicateur économiques clés.
Pour ce qui est de la partie b) de la question, le gouvernement du Canada ne fixe pas le taux de cotisation à l’assurance-emploi. Le taux de cotisation à l’assurance-emploi est fixé par la Commission de l’assurance-emploi du Canada.
Les cotisations à l’assurance-emploi sont fixées selon un mécanisme transparent qui assure que les taux de cotisation demeurent stables et que les revenus qui s’y rattachent sont utilisés seulement pour financer les dépenses du régime de l’assurance-emploi. Pour calculer le taux assurant l’équilibre sur une période de sept ans, l’actuaire se fie aux informations fournies par le ministre d’EDSC sur les frais d’administration prévus, les dépenses prévues en vertu de la partie II de la Loi sur l’assurance-emploi, les coûts de nouvelles mesures ou de mesures temporaires et le solde du Compte des opérations de l’assurance-emploi le plus récent. Le ministre des Finances fournit l’information comprenant les prévisions les plus récentes liées aux variables économiques pertinentes pour l’élaboration des prévisions et des estimations actuarielles pour le compte d’assurance-emploi.
Enfin, en ce qui a trait à la partie c) de la question, le gouvernement du Canada ne fixe pas le taux de cotisation à l’assurance-emploi. Le taux de cotisation à l’assurance-emploi est fixé par la Commission de l’assurance-emploi du Canada.
Question no 2208 -- M. Bob Saroya:
En ce qui concerne les cotisations au Régime de pensions du Canada: a) le gouvernement compte-t-il augmenter les cotisations au Régime de pensions du Canada; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité d'augmenter les cotisations au Régime de pensions du Canada, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à augmenter les cotisations au Régime de pensions du Canada, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement collabore avec les provinces et les territoires en vue de bonifier le Régime de pensions du Canada, ou RPC, afin de s’assurer que les futures générations de Canadiennes et de Canadiens peuvent compter sur un régime de pensions public solide au cours de leur retraite.
Le 21 décembre 2015, les ministres des Finances du Canada se sont réunis à Ottawa et ont convenu de lancer des discussions sur une bonification modeste, entièrement capitalisée et progressive du RPC. Ces discussions comprennent des enjeux tels que les répercussions sur les taux de cotisation. Après des mois de collaboration avec les provinces et les territoires, les ministres des Finances se sont réunis à Vancouver le 20 juin 2016 et se sont entendus sur un accord de principe pour élargir les fourchettes du RPC à compter du 1er janvier 2019, qui permettrait: d’augmenter le taux de remplacement du revenu pour le faire passer du quart au tiers des gains ouvrant droit à pension; et d’augmenter de 14 % le montant maximal du revenu cotisable au RPC.
Pour faire en sorte que ces changements soient abordables pour les entreprises et les Canadiens, l’accord comportait trois mesures: l’instauration d’une longue période de mise en oeuvre progressive de sept ans à compter du 1er janvier 2019, qui accordera aux entreprises un délai d’adaptation plus long; l’augmentation de l’Allocation canadienne pour les travailleurs afin de compenser l’incidence des cotisations accrues sur les travailleurs à faible revenu; et l’offre d’une déduction d’impôt – plutôt que d’un crédit d’impôt – pour les cotisations des employés associées à la partie bonifiée du RPC afin d’éviter une hausse du coût après impôt de la réserve pour les Canadiens.
Un communiqué de presse fournissait l’accord signé par les ministres fédéral et provinciaux ainsi qu’un document d’information sur l’accord de principe sur la bonification du RPC.
Avant le dépôt de la législation fédérale mettant en oeuvre l’accord de principe, le projet de loi C-26, le gouvernement a publié un document technique détaillé résumant l’analyse économique et stratégique et donnant plus de renseignements sur la conception de la bonification du RPC. De plus, et comme l’exige la loi, l’actuaire en chef du Canada a préparé un rapport évaluant la viabilité financière des changements législatifs du projet de loi C-26 ainsi que d’autres incidences en matière de financement découlant de ces changements. Le rapport de l’actuaire en chef a confirmé la viabilité de la bonification du RPC aux taux de cotisation législatifs prévus au projet de loi C-26.
On peut également consulter les documents suivants: le communiqué de presse de la réunion des ministres des Finances de décembre 2015, à l’adresse https://www.fin.gc.ca/n15/15-089-fra.asp; Communiqué presse de la réunion des ministres des Finances de juin 2016, à l’adresse https://www.fin.gc.ca/n16/16-081-fra.asp; un document d’information sur la bonification du Régime de pensions du Canada, à l’adresse https://www.fin.gc.ca/n16/data/16-113_3-fra.asp; le 28e Rapport actuariel sur le Régime de pensions du Canada, à l’adresse http://www.osfi-bsif.gc.ca/fra/Docs/CPP28.pdf; le communiqué de presse sur la législation de bonification du Régime de pensions du Canada en ce qui concerne le projet de loi C-26, à l’adresse https://www.fin.gc.ca/n17/17-010-fra.asp; le communiqué de presse annonçant que le Manitoba consent à la bonification du Régime de pensions du Canada, à l’adresse https://www.fin.gc.ca/n16/16-088-fra.asp; et le projet de loi no 149, Loi bonifiant le régime de rentes du Québec, à l’adresse http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-149-41-1.html?appelant=MC.
Question no 2212 -- M. Kerry Diotte:
En ce qui concerne un impôt fédéral sur la spéculation immobilière: a) le gouvernement prévoit-il mettre en œuvre un tel impôt; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité de mettre en œuvre un impôt fédéral sur la spéculation immobilière, y compris (i) la date, (ii) les participants et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan de mettre en œuvre un impôt fédéral sur la spéculation immobilière, y compris, mais sans s’y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie
Question no 2213 -- M. Kerry Diotte:
En ce qui concerne la taxe fédérale sur le carbone ou le prix sur le carbone: a) le gouvernement compte-t-il hausser la taxe fédérale sur le carbone ou le prix sur le carbone au-delà de 50 $ par tonne d’émissions; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité de hausser la taxe fédérale sur le carbone ou le prix sur le carbone au-delà de 50 $ par tonne d’émissions, y compris (i) la date, (ii) les participants et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à hausser la taxe fédérale sur le carbone ou le prix sur le carbone au-delà de 50 $ par tonne d’émissions, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2214 -- M. Kerry Diotte:
En ce qui concerne l'impôt sur les successions au niveau fédéral: a) le gouvernement compte-t-il implémenter un impôt sur les successions au niveau fédéral; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité d'implémenter un impôt sur les successions au niveau fédéral, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à implémenter un impôt sur les successions au niveau fédéral, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2215 -- M. Dave Van Kesteren:
En ce qui concerne le niveau de la taxe d’accise fédérale sur l’essence ou le diésel: a) le gouvernement compte-t-il augmenter le niveau de la taxe d’accise fédérale sur l’essence ou le diésel; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion où il a été question d’augmenter le niveau de la taxe d’accise fédérale sur l’essence ou le diésel, y compris (i) la date, (ii) les participants et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à augmenter le niveau de la taxe d’accise fédérale sur l’essence ou le diésel, y compris, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2216 -- M. Dave Van Kesteren:
En ce qui concerne la hausse ou la baisse de revenus imputable aux changements de l’impôt fédéral sur le revenu qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016: a) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la hausse ou la baisse de revenus imputable aux changements de l’impôt fédéral sur le revenu qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016, y compris (i) la date, (ii) les participants et le lieu; b) existe-t-il des documents de référence relatifs à la hausse ou à la baisse de revenus imputable aux changements de l’impôt fédéral sur le revenu qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement est déterminé à atteindre l’objectif d’une économie qui fonctionne pour tous. Conformément à cet objectif, depuis son arrivée au pouvoir, en 2015, le gouvernement s’est concentré sur la réduction des impôts et l’augmentation du soutien à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie
L’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Le gouvernement a fait preuve de transparence dans l’estimation de l’incidence de ces mesures sur les recettes. Le 7 décembre 2015, lorsque ces mesures ont été proposées pour la première fois, le ministère des Finances a publié un document d’information sur son site Web, à l’adresse https://www.fin.gc.ca/n15/data/15-086_1-fra.asp. Le tableau 2 de ce document d’information, intitulé « Coût financier des modifications fiscales proposées », fournit une analyse détaillée de l’impact budgétaire des deux changements apportés aux taux de l’impôt fédéral sur le revenu des particuliers, qui était estimé à 8,2 milliards de dollars pour la période s’étalant de 2015 2016 à 2020-2021. Une note de bas de page au tableau 2 indique que les estimations de l’augmentation des revenus découlant de l’instauration d’un taux de 33 %, sur le revenu imposable supérieur à 200 000 $, supposent que les personnes touchées réagiraient en réduisant légèrement leur revenu imposable sur une base continue.
En estimant l’incidence continue sur les revenus des changements apportés à la structure des taux d’imposition fédérale sur le revenu des particuliers, le ministère des Finances a adopté une approche prudente qui reflète la recherche canadienne et internationale sur la façon dont les particuliers, à différents niveaux de revenu, réagissent aux changements des taux d’imposition.
Augmenter les impôts de la tranche du 1 % le plus riche des contribuables en vue de réduire ceux de la classe moyenne a été une étape clé vers l’objectif du gouvernement d’améliorer l’équité du régime fiscal et de faire en sorte que les avantages de la croissance soient partagés parmi tous les Canadiens. Des mesures comme la baisse d’impôt pour la classe moyenne et l’Allocation canadienne pour enfants ont permis aux familles canadiennes d’épargner, d’investir et de dépenser davantage dans leur communauté. Les familles qui bénéficient de l’Allocation canadienne pour enfants reçoivent en moyenne 6 800 $, cette année. Ces mesures, ainsi que d’autres mises en place par le gouvernement pour soutenir la classe moyenne et ceux qui travaillent fort pour en faire partie, font augmenter le niveau de confiance des consommateurs et des entreprises du Canada, en plus de soutenir la croissance des salaires.
À l’avenir, le gouvernement continuera d’être guidé par l’objectif de faire en sorte que les avantages de la croissance économique soient largement partagés.
Question no 2217 -- M. Dave Van Kesteren:
En ce qui concerne l’augmentation des recettes publiques et les sources potentielles: a) le gouvernement compte-t-il augmenter les recettes publiques; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité d’augmenter les recettes publiques, y compris (i) la date, (ii) les participants et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant l’augmentation des recettes publiques, y compris, mais sans s’y limiter, des courriels, des notes d'information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2218 -- M. Dave Van Kesteren:
En ce qui concerne la déduction pour gains en capital: a) le gouvernement compte-t-il réduire ou supprimer la déduction pour gains en capital; b) quels sont les détails de toute discussion ou réunion sur la possibilité de réduire ou supprimer la déduction pour gains en capital, y compris (i) la date, (ii) les personnes présentes et le lieu; c) existe-t-il des documents de référence qui démontrent tout plan visant à réduire ou supprimer la déduction pour gains en capital, y compris, mais sans s'y limiter, des courriels, des notes d’information, des notes de service ou des rapports, et, le cas échéant, quels sont les détails de ces documents de référence?
M. Joël Lightbound (secrétaire parlementaire du ministre des Finances, Lib.):
Madame la Présidente, le gouvernement du Canada est déterminé à assurer l’équité, l’efficience et la compétitivité du régime fiscal du Canada et à veiller à ce qu’il fonctionne comme prévu afin que l’économie du pays soit à l’œuvre pour la classe moyenne et pour toute la population canadienne. Bien qu’il ne serait pas approprié de spéculer sur des décisions futures en matière de politique fiscale, le bilan du gouvernement montre qu’il a concrétisé cet engagement de nombreuses façons.
Premièrement, l’une des premières mesures prises par le gouvernement a été d’augmenter l’impôt sur le revenu des Canadiens les plus riches afin de réduire les impôts de la classe moyenne. Plus de neuf millions de Canadiens bénéficient de la réduction du deuxième taux d’imposition du revenu des particuliers, qui est passé de 22 % à 20,5 %. Les Canadiens sans conjoint qui en bénéficient épargnent en moyenne 330 $ chaque année, et les couples qui en bénéficient épargnent en moyenne 540 $ chaque année.
Deuxièmement, dans son premier budget, le gouvernement a instauré l’Allocation canadienne pour enfants, ou ACE. Comparativement à l’ancien régime de prestations pour les enfants, la nouvelle Allocation canadienne pour enfants est plus simple, beaucoup plus généreuse et mieux ciblée afin d’aider davantage les familles qui en ont le plus besoin. L’ACE est également entièrement libre d’impôt. Neuf familles sur dix reçoivent une somme plus élevée en prestations pour enfants qu’auparavant, et des centaines de milliers d’enfants sont sortis de la pauvreté. Une famille typique de quatre personnes de la classe moyenne reçoit actuellement, en moyenne, environ 2?000 $ de plus par an comparativement à 2015, grâce à la réduction d'impôt de la classe moyenne et à l’Allocation canadienne pour enfants.
Troisièmement, pour mettre plus d’argent dans les poches des travailleurs à faible revenu, le budget de 2018 a instauré la nouvelle Allocation canadienne pour les travailleurs, ou ACT. L’ACT remplacera la Prestation fiscale pour le revenu de travail à compter de 2019 et encouragera un plus grand nombre de personnes à entrer sur le marché du travail ou à y demeurer en rendant la prestation plus généreuse et plus accessible.
Quatrièmement, le gouvernement a pris des mesures pour mettre en œuvre les changements découlant de son vaste examen des dépenses fiscales. Il s’agissait notamment de mesures visant à améliorer le crédit d’impôt pour les aidants naturels, les étudiants et les personnes handicapées.
Cinquièmement, le gouvernement a réduit le taux d’imposition fédéral des petites entreprises, de 10,5 % en 2017, à 9 % en 2019. Pour les petites entreprises, par rapport à 2017, cela signifie jusqu’à 7?500 $ d’économies d’impôt fédéral chaque année — des économies qu’elles peuvent réinvestir dans l’achat de nouvel équipement, le développement de nouveaux produits ou la création de nouveaux emplois. En réduisant le taux d’imposition des petites entreprises, le gouvernement a pris des mesures pour s’assurer que certains n’utilisent pas ce taux peu élevé pour obtenir des avantages fiscaux inéquitables, au détriment des autres.
Sixièmement, à l’automne 2018, le gouvernement a apporté des changements immédiats au système canadien d’imposition sur le revenu des sociétés afin de soutenir davantage l’investissement, l’emploi et la croissance des entreprises canadiennes et de créer des possibilités dans les communautés partout au pays.
Septièmement, dans chacun de ses budgets depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement a pris des mesures pour améliorer l’équité du régime fiscal au moyen de mesures visant à prévenir l’activité économique clandestine, l’évasion fiscale et l’évitement fiscal massif. Dans les budgets de 2016 et de 2017, le gouvernement a investi environ 1 milliard de dollars pour appuyer les efforts de l’Agence du revenu du Canada dans ce domaine. Il est prévu que ces investissements accroîtront de plus de 5 milliards de dollars les recettes fédérales sur une période de six ans. Le budget de 2018 a annoncé un financement supplémentaire de 90,6 millions de dollars, sur cinq ans, pour appuyer l’ARC dans ses efforts constants pour assurer la conformité des contribuables.
Huitièmement, le gouvernement a également pris des mesures pour éliminer les échappatoires fiscales qui se traduisent par des avantages fiscaux inéquitables pour certains au détriment des autres. D’une manière plus générale, le gouvernement s’est engagé de façon permanente avec des partenaires internationaux à lutter contre l’évitement fiscal international abusif, y compris en améliorant l’échange de renseignements entre administrations fiscales.
À l’avenir, le programme du gouvernement en matière de politique fiscale continuera d’être guidé par l’objectif d’un régime fiscal équitable qui profite à la classe moyenne et à ceux qui travaillent fort pour en faire partie.
Question no 2229 -- Mme Brigitte Sansoucy:
En ce qui concerne le financement accordé en vertu du plan Investir dans le Canada, depuis mars 2016: a) quelles ont été les demandes approuvées d’abord par des responsables d’Infrastructure Canada, mais rejetées ensuite par le cabinet du ministre de l’Infrastructure et des Collectivités; b) quelles ont été les demandes de financement refusées d’abord par des responsables d’Infrastructure Canada, mais approuvées ensuite par le cabinet du ministre de l’Infrastructure et des Collectivités?
M. Marco Mendicino (secrétaire parlementaire du ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, Lib.):
Madame la Présidente, en réponse à la partie a) de la question, il n’y a pas eu de cas où une demande a été initialement approuvée par des responsables d’Infrastructure Canada, et rejetée ensuite par le cabinet du ministre de l’Infrastructure et des collectivités.
Enfin, pour ce qui est de la partie b) de la question, il y a eu le projet d’assainissement lié aux tuyaux droits dans la rivière LaHave en Nouvelle-Écosse.
:
Madame la Présidente, si la réponse révisée à la question n
o 1720, déposée initialement le 14 juin 2018, et la réponse du gouvernement aux questions n
os 2193 à 2196, 2199 à 2201, 2209 à 2211, 2219 à 2228 et 2230 à 2245 pouvaient être transformées en ordres de dépôt de documents, les documents seraient déposés immédiatement.
[Texte]
Question no 1720 -- M. Kelly McCauley:
En ce qui concerne les publicités du gouvernement diffusées sur Facebook depuis le 1er janvier 2016: a) combien de publicités ont été diffusées par mois, et à quelle campagne correspondent-elles (p. ex. assurance-emploi, services de citoyenneté, crédits d’impôts, subventions, etc.); b) combien de temps chaque publicité est-elle restée active en ligne; c) en quoi consistaient les indications pour chaque publicité diffusée, y compris (i) combien de personnes chaque publicité a-t-elle rejointes, (ii) quel pourcentage de femmes et d’hommes chaque publicité a-t-elle rejointes, (iii) quels groupes d’âge chaque publicité visait-elle, (iv) quelles régions fédérales, provinciales ou municipales régions chaque publicité visait-elle, (v) a-t-on intégré des intérêts, des pages ou des préférences en particulier dans le ciblage des publicités, ventilé par publicité; d) qui au ministère ou au cabinet du ministre reçoit les données recueillies grâce aux indications choisies pour ces publicités?
(Le document est déposé)
Question no 2193 -- M. Tom Lukiwski:
En ce qui concerne les dépenses du gouvernement relatives à Nesta Holding Company Ltée ou à des entreprises détenues en totalité ou en partie par Nesta Holding Company depuis le 1er janvier 2016, ventilées par ministère, organisme, société d’État ou autre entité gouvernementale: a) quelles sont les dépenses totales, ventilées par entreprise; b) quels sont les détails de chaque dépense, y compris (i) la date, (ii) le montant, (iii) l’entreprise, (iv) la description des biens ou des services, (v) la quantité, (vi) le prix unitaire, (vii) le numéro de dossier, le cas échéant; c) à quelle date le président-directeur général d’Investir au Canada a-t-il démissionné officiellement de son poste au conseil d’administration de Nesta Holding Company?
(Le document est déposé.)
Question no 2194 -- M. Tom Lukiwski:
En ce qui concerne le plan du gouvernement de créer un groupe sur le « protocole public en cas d’incident électoral majeur » en vue de l’élection de 2019: a) quelles mesures de protection précises sont en place pour veiller à ce que le personnel politique des cabinets ministériels, y compris le cabinet du premier ministre, ne puisse pas influencer les membres du groupe; b) les communications entre les membres du groupe et les ministres ou le personnel exonéré sont-elles interdites en période électorale; c) en l’absence d’une telle interdiction, pourquoi le gouvernement permet-il les communications entre les membres du groupe et les ministres ou le personnel exonéré?
(Le document est déposé.)
Question no 2195 -- M. James Bezan:
En ce qui concerne les « noms de code » qu’utilise le ministère de la Défense nationale: quels sont les noms de code utilisés pour (i) le chef d’état-major de la Défense, (ii) le ministre de la Défense nationale, (iii) les divers membres du personnel exonéré du ministre de la Défense nationale, ventilés par individu, (iv) le premier ministre, (v) les divers membres du Cabinet du premier ministre, ventilés par individu, (vi) les autres ministres, ventilés par ministre, (vii) le greffier du Conseil privé, (viii) le vice-chef d’état-major de la Défense, (ix) le juge-avocat général, (x) le chef du personnel militaire, (xi) l’ombudsman de la Défense nationale et des Forces canadiennes, (xii) le commandant de la Marine royale canadienne, (xiii) le commandant de l’Aviation royale canadienne, (xiv) le commandant de l’Armée canadienne, (xv) le commandant du Commandement des opérations interarmées du Canada, (xvi) le directeur d’état-major de l'État major interarmées stratégique, (xvii) l’adjudant-chef des Forces armées canadiennes?
(Le document est déposé.)
Question no 2196 -- M. Larry Miller:
En ce qui concerne les dépenses en publicité depuis le 1er janvier 2018: a) quelles sont les sommes dépensées pour des publicités provenant d’entreprises américaines, ventilées par chaque dépense et média (presse écrite ou médias numériques); b) quelles sont les sommes dépensées pour des publicités provenant d’entreprises canadiennes, ventilées par chaque dépense et média (presse écrite ou médias numériques)?
(Le document est déposé.)
Question no 2199 -- M. Larry Miller:
En ce qui concerne le projet de loi C-344, Loi modifiant la Loi sur le ministère des Travaux publics et des Services gouvernementaux (retombées locales): a) quel est le coût anticipé de sa mise en œuvre pour les contribuables; b) quelles sont les conclusions de toute analyse des coûts effectuées par les ministères?
(Le document est déposé.)
Question no 2200 -- M. Charlie Angus:
En ce qui concerne le financement fédéral dans la circonscription de Timmins—Baie James, entre avril 2016 et janvier 2019: a) quelles demandes de financement ont été reçues, y compris, pour chaque demande (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et sous-programme dans le cadre desquels la demande a été faite, (iv) la date de la demande, (v) le montant demandé, (vi) si la demande a été approuvée ou rejetée, (vii) le montant total du financement, s’il a été approuvé; b) quels fonds, subventions, prêts et garanties d’emprunt le gouvernement a-t-il accordés par l’intermédiaire de ses ministères ou organismes dans la circonscription de Timmins—Baie James et pour lesquels le demandeur n’a pas eu à présenter de demande directe, y compris, pour chaque cas (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et sous-programme en vertu desquels le financement a été reçu, (iv) le montant total du financement, s’il a été approuvé; c) quels projets ont été financés dans la circonscription de Timmins—Baie James par des organisations chargées de répartir les fonds gouvernementaux (p. ex. Fondations communautaires du Canada), y compris, pour chacun d’eux, (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et sous-programme en vertu desquels le financement a été reçu, (iv) le montant total du financement, s’il a été approuvé?
(Le document est déposé.)
Question no 2201 -- M. Charlie Angus:
En ce qui concerne l’emploi fédéral dans la circonscription fédérale de Timmins—Baie James, ventilé par ministère, municipalité et année depuis 2004: combien de fonctionnaires fédéraux compte la circonscription susnommée?
(Le document est déposé.)
Question no 2209 -- M. Lawrence McCauley:
En ce qui concerne les avis sur la qualité de l’eau, avis d’ébullition et autres, dans les collectivités autochtones: a) en plus de ceux énumérés sur le site Web du gouvernement, combien se sont ajoutés depuis le 1er janvier 2016; b) combien des avis ajoutés sont encore en vigueur; c) quelle est la liste complète des collectivités autochtones assujetties à un avis sur la qualité de l’eau, en plus de celles énumérées sur le site Web du gouvernement, ventilée par région, y compris les ajouts; d) des collectivités dont il est question en c), lesquelles reçoivent une aide directe du gouvernement fédéral dans le but de lever l’avis; e) des collectivités en d), quel type d’aide est fournie par le gouvernement fédéral, les occurrences étant ventilées par (i) nom du programme ou de l’initiative, (ii) montant du financement, le cas échéant?
(Le document est déposé.)
Question no 2210 -- M. Lawrence McCauley:
En ce qui concerne les subventions créditées pour les véhicules électriques et les bornes de rechargement depuis le 1er janvier 2016: a) à combien se chiffrent les crédits accordés aux Canadiens; b) quelle est la ventilation de ces crédits par province et par ville?
(Le document est déposé.)
Question no 2211 -- M. Lawrence McCauley:
En ce qui concerne les publicités du gouvernement diffusées sur Facebook depuis le 1er janvier 2018: a) combien de publicités ont été diffusées par mois et à quelle campagne correspondaient-elles (p. ex. assurance-emploi, services de citoyenneté, crédits d’impôt, subventions, etc.); b) combien de temps chaque publicité est-elle restée active en ligne; c) en quoi consistaient les indications pour chaque publicité diffusée, y compris (i) combien de personnes ont été rejointes par chaque publicité, (ii) quel pourcentage de femmes et d’hommes a été rejoint par chaque publicité, (iii) quels groupes d’âge chaque publicité visait-elle, (iv) quelles régions fédérales, provinciales ou municipales chaque publicité visait-elle, y compris les codes postaux, le cas échéant; d) qui au ministère ou au cabinet du ministre reçoit les données recueillies grâce aux indications choisies pour ces publicités ou y a accès?
(Le document est déposé.)
Question no 2219 -- M. John Nater:
En ce qui concerne les dépenses fédérales dans la circonscription de Perth—Wellington pour chaque exercice de 2015-2016 à 2017-2018: quelle est la liste des subventions, prêts, contributions et contrats attribués par le gouvernement, ventilés par (i) ministère et organisme, (ii) municipalité, (iii) non du bénéficiaire, (iv) montant reçu, (v) programme au titre duquel la dépense a été engagée, (vi) date?
(Le document est déposé.)
Question no 2220 -- M. Guy Lauzon:
En ce qui concerne les abréviations, les noms de code et les mots de code utilisés par les ministères et organismes: a) quelle est la liste complète des abréviations, des noms de code et des mots de code utilisés par les ministères et organismes pour leurs communications avec le bureau du ministre; b) pour chaque abréviation, nom de code et mot de code en a), à qui ou à quoi cela correspond-il ou renvoie-t-il?
e document est déposé.)
Question no 2221 -- M. Guy Lauzon:
En ce qui concerne les dépenses relatives à Twitter depuis le 1er janvier 2016, ventilées par ministère et organisme: quels sont les détails de toutes ces dépenses, y compris (i) la date, (ii) le montant, (iii) le sujet et le gazouillis commandités, s’ils sont connus, (iv) une description des produits et des services fournis, si différent de la commandite d’un gazouillis?
(Le document est déposé.)
Question no 2222 -- M. Guy Lauzon:
En ce qui concerne les nouveaux droits de douane sur l’acier et l’aluminium que le gouvernement a commencé à percevoir en 2018: a) combien de droits le gouvernement a-t-il perçus jusqu’à maintenant; b) sur les droits de douane perçus jusqu’à maintenant, quel montant a été redistribué à des sociétés canadiennes d’acier et d’aluminium, à ce jour; c) quelle est la liste complète des sociétés bénéficiaires du financement mentionné en b), y compris le montant reçu par chacune d’elles?
(Le document est déposé.)
Question no 2223 -- M. Guy Caron:
En ce qui concerne les publicités du gouvernement concernant les projets de pipelines de transport de pétrole, y compris les projets approuvés et les projets en phase d’évaluation, depuis le 4 novembre 2015: quel est le montant total dépensé pour les publicités, ventilé par (i) année, (ii) projet de pipeline, (iii) ministère, (iv) plateforme publicitaire, (v) fournisseur?
(Le documet est déposé.)
Question no 2224 -- M. Dane Lloyd:
En ce qui concerne les interactions et les dépenses du gouvernement relativement à Canada 2020: a) quels sont les détails au sujet des rôles joués et des dépenses faites par les organisations suivantes dans le « Canada Food Brand Project » lancé par Canada 2020, (i) Agriculture et Agroalimentaire Canada, (ii) Innovation, Sciences et Développement économique Canada, (iii) Financement agricole Canada, (iv) le Conseil national de recherches du Canada; b) quel montant chacune des organisations énumérées en a) a-t-elle payé à Canada 2020 pour être nommée comme « participant » ou « partenaire » du projet; c) quels sont les détails concernant toute autre dépense que les organisations énumérées en a) ont consacrées à Canada 2020 depuis le 4 novembre 2015, y compris (i) le montant total, (ii) l’objet des dépenses, (iii) la date?
(Le documet est déposé.)
Question no 2225 -- M. Arnold Viersen:
En ce qui concerne l’arriéré des évaluations de sécurité des demandeurs d’asile, depuis le 1er janvier 2016 et ventilé par mois: quel était le nombre des demandeurs d’asile au Canada qui n’avaient pas encore fait l’objet d’une évaluation de sécurité?
(Le documet est déposé.)
Question no 2226 -- M. Arnold Viersen:
En ce qui concerne l’Agence des services frontaliers du Canada et Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, depuis décembre 2015 et ventilé par mois: a) combien de personnes ont été visées par une mesure de renvoi; b) sur les personnes mentionnées en a), combien étaient encore au Canada; c) sur les personnes mentionnées en a), combien avaient quitté le Canada; d) pour combien de personnes a-t-on émis une ordonnance d’expulsion; e) sur les personnes mentionnées en d), combien restent encore au Canada; f) combien de personnes ont été déportées; g) combien de demandeurs d’asile ont été convoqués pour comparaître à une audience de la Commission de l’immigration et du statut de réfugié (CISR); h) combien de demandeurs d’asile se sont présentés à une audience devant la CISR; i) combien de demandeurs d’asile ne se sont pas présentés à une audience devant la CISR; j) combien de demandeurs d’asile n’ont pas encore reçu leur audience à la CISR?
(Le document est déposé.)
Question no 2227 -- Mme Brigitte Sansoucy:
En ce qui concerne l’assurance-emploi (AE) pour 2017 et 2018, ventilé par année: a) quel était le volume de demandes d’AE au total et ventilé par (i) la région et la province de provenance de la demande, (ii) le nombre de demandes acceptées et le nombre de demandes rejetées, (iii) mois; b) quel était, en moyenne, le temps de traitement des demandes d’AE, au total et ventilé par (i) la région et la province de provenance de la demande, (ii) mois; c) combien de demandeurs ont attendu une décision plus de 28 jours et, pour ces demandes, quel était, en moyenne, le temps d’attente d’une décision, au total et ventilé par (i) la région ou la province de provenance de la demande, (ii) mois; d) combien d’appels ont été reçus par les centres d’appel de l’AE, au total et ventilé par (i) mois, (ii) région et province; e) combien d’appels ayant eu pour réponse un message de volume élevé ont été reçus par les centres d’appel de l’AE, au total et ventilés par (i) mois, (ii) région et province; f) quelles étaient les normes nationales de niveau de service pour les appels auxquels un agent d’un centre d’appel de l’AE a répondu, ventilées par mois; g) quelles normes nationales de niveau de service a-t-on atteintes aux centres d’appel de l’AE pour les appels auxquels un agent a répondu, ventilées par (i) mois, (ii) région et province; h) quelles étaient les normes de service pour les rappels effectués par le personnel de traitement à l’AE, ventilées par mois; i) quelles normes de service le personnel de traitement à l’AE a-t-il atteintes pour les rappels, ventilées par (i) mois, (ii) région et province; j) quel était, en moyenne, le nombre de jours pour un rappel par le personnel de traitement à l’AE, ventilé par (i) mois, (ii) région et province; k) quels étaient le nombre et le pourcentage d’employés nommés pour une période déterminée et le nombre et le pourcentage d’employés nommés pour une période indéterminée travaillant dans les centres d’appel et de traitement de l’AE; l) quel était le taux d’utilisation des congés de maladie chez les employés des centres d’appel et de traitement de l’AE; m) quel était le nombre d’employés des centres d’appel et de traitement de l’AE en congé d’invalidité de longue durée; n) quel était le nombre d’heures supplémentaires travaillées par les employés de centre d’appel; o) qui a rédigé le rapport sur le traitement des demandes d’AE attribué à l’ancien secrétaire parlementaire d’Emploi et Développement social; p) quels sont les détails de la table des matières du rapport; q) le gouvernement rendra-t-il le rapport public; r) combien de plaintes le Bureau de la satisfaction du client a-t-il reçues, ventilées par (i) mois, (ii) région et province de provenance de la plainte; s) combien de temps a-t-il fallu, en moyenne, pour faire enquête sur une plainte et résoudre cette dernière, ventilé par mois; t) sur quels sujets portaient principalement les plaintes reçues?
(Le document est déposé.)
Question no 2228 -- Mme Brigitte Sansoucy:
En ce qui concerne le financement fédéral dans la circonscription de Saint-Hyacinthe—Bagot, entre avril 2016 et janvier 2019: a) pour chacune des demandes de financement reçues, quels étaient (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) la date de présentation de la demande, (v) le montant demandé, (vi) l'approbation ou le rejet de la demande, (vii) le montant total du financement, le cas échéant; b) quels étaient les fonds, subventions, prêts et garanties de prêt accordés par le gouvernement dans la circonscription de Saint-Hyacinthe—Bagot par l'entremise des différents ministères et organismes, qui ne nécessitaient pas directement la présentation d'une demande de financement, y compris (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant; c) quels projets ont été financés dans la circonscription de Saint-Hyacinthe—Bagot en fonction des organismes chargés de répartir les fonds gouvernementaux (p. ex. Fondations communautaires du Canada), y compris, pour chacun d’eux, (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant?
(Le document est déposé)
Question no 2230 -- Mme Jenny Kwan:
En ce qui concerne le financement fédéral dans la circonscription de Vancouver-Est, entre avril 2016 et janvier 2019: a) pour chacune des demandes de financement reçues, quels étaient (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) la date de présentation de la demande, (v) le montant demandé, (vi) l'approbation ou le rejet de la demande, (vii) le montant total du financement, le cas échéant, (viii) quand le financement a-t-il été décaissé; b) quels étaient les fonds, subventions, prêts et garanties de prêt accordés par le gouvernement dans la circonscription de Vancouver-Est par l'entremise des différents ministères et organismes, qui ne nécessitaient pas directement la présentation d'une demande de financement, y compris (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant; c) quels projets ont été financés dans la circonscription de Vancouver-Est en fonction des organismes chargés de répartir les fonds gouvernementaux (p. ex. Fondations communautaires du Canada), y compris, pour chacun d’eux, (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant, (v) quand le financement a-t-il été décaissé?
(Le document est déposé.)
Question no 2231 -- Mme Jenny Kwan:
En ce qui concerne les consultations du gouvernement qui ont eu lieu pendant l’élaboration de la nouvelle stratégie nationale contre le racisme: a) combien de consultations ont-elles eu lieu; b) quand ont-elles eu lieu; c) où ont-elles eu lieu; d) quels sont les détails sur les participants, y compris (i) leurs noms, (ii) leurs professions, (iii) la date des rencontres auxquelles ils ont assisté, (iv) la province ou le territoire d’où était originaire chaque groupe ou individu, (v) si le groupe ou l'individu a été invité ou a demandé à participer aux consultations; e) combien d’argent le gouvernement a dépensé en tout pour tenir ces consultations; f) quand les consultations ont-elles commencé; g) quelle est la date prévue pour la dernière consultation?
(Le document est déposé.)
Question no 2232 -- Mme Jenny Kwan:
En ce qui concerne l’adoption internationale depuis 2013: a) de quels pays les enfants proviennent-ils; b) combien d’enfants proviennent-ils de chaque pays, ventilé par année; c) combien d’enfants ont-ils été acceptés et combien ont-ils été rejetés, ventilé par (i) année, (ii) pays d’origine, (iii) province ou territoire de destination; d) parmi les pays d’origine, lesquels pratiquent-ils la charia; e) parmi les pays d’origine, combien ont-ils un bureau d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada; f) dans quels pays le Canada a-t-il actuellement un moratoire sur l’adoption internationale et depuis combien de temps; g) quel est le temps de traitement moyen d’une adoption internationale, ventilé par (i) année, (ii) pays d’origine, (iii) province ou territoire de destination; h) depuis 2013, quelle est la ventilation annuelle du nombre d’adoptions internationales au Canada; i) combien de demandes sont-elles en attente de traitement, ventilé par (i) pays d’origine, (ii) province ou territoire de destination; j) quels autres ministères supervisent-ils l’adoption internationale; k) combien d’employés des ministères en j) ont-ils été spécialement affectés au traitement des demandes d’adoption internationale?
(Le document est déposé.)
Question no 2233 -- Mme Carol Hughes:
En ce qui concerne le financement fédéral dans la circonscription de Algoma—Manitoulin—Kapuskasing, entre avril 2016 et janvier 2019: a) pour chacune des demandes de financement reçues, quels étaient (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) la date de présentation de la demande, (v) le montant demandé, (vi) l'approbation ou le rejet de la demande, (vii) le montant total du financement, le cas échéant; b) quels étaient les fonds, subventions, prêts et garanties de prêt accordés par le gouvernement dans la circonscription de Algoma—Manitoulin—Kapuskasing par l'entremise des différents ministères et organismes, qui ne nécessitaient pas directement la présentation d'une demande de financement, y compris (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant; c) quels projets ont été financés dans la circonscription de Algoma—Manitoulin—Kapuskasing en fonction des organismes chargés de répartir les fonds gouvernementaux (p. ex. Fondations communautaires du Canada), y compris, pour chacun d’eux, (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant?
(Le document est déposé.)
Question no 2234 -- Mme Georginba Jolibois:
En ce qui concerne l’appel à l’action no 57 de la Commission de vérité et de réconciliation: a) ventilé par ministère, quelles initiatives et quels programmes le gouvernement a-t-il lancés depuis janvier 2015 pour fournir aux fonctionnaires fédéraux une formation sur l’histoire et les séquelles des pensionnats indiens, la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, les traités et les droits des Autochtones, le droit autochtone et les relations entre les Autochtones et la Couronne; b) lesquels des programmes et des initiatives énumérés en a) fournissent une formation axée sur les compétences pour ce qui est de l’aptitude interculturelle, du règlement des différends, des droits de la personne et de la lutte contre le racisme; c) ventilé par ministère, quels fonds ont été fournis pour lancer les programmes énumérés en a); d) ventilé par ministère, quels indicateurs de succès le gouvernement a-t-il adoptés pour déterminer l’efficacité des programmes et des initiatives énumérés en a)?
(Le document est déposé.)
Question no 2235 -- M. John Brassard:
En ce qui concerne les retards de traitement des demandes d’accès à l’information par le Groupe juridique sur la confidentialité du Cabinet du Bureau du Conseil privé (BCP) attribuables au fait que des membres du Groupe ont été affectés à un procès en cours plutôt qu’au traitement des demandes: a) combien d’employés du Groupe juridique sur la confidentialité du Cabinet ont été affectés au traitement de documents liés à un procès en cours; b) quel est le retard additionnel moyen dans le traitement des demandes d’accès à l’information résultant de cette mesure; c) le BCP a-t-il obtenu la permission de la commissaire à l’information avant de prendre cette mesure qui retarde considérablement le traitement des demandes d’accès à l’information et sinon, pourquoi; d) à quelle date le BCP a-t-il avisé la commissaire à l’information que cette mesure occasionnait des retards; e) combien d’employés du Groupe juridique sur la confidentialité du Cabinet continuent de travailler à temps plein au traitement des demandes d’accès à l’information et n’ont pas été chargés de consacrer la totalité ou une partie de leur temps au procès en cours; f) quel est actuellement l’arriéré estimatif de demandes d’accès à l’information en attente de traitement par le Groupe juridique sur la confidentialité du Cabinet, ventilé par (i) demandes reçues par le BCP, (ii) demandes reçues par d’autres ministères ou organismes qui consultent le BCP; g) en ce qui a trait aux demandes mentionnées au point f), quel est le délai de traitement (i) le plus court, (ii) médian, (iii) le plus long, entre la réception de la demande d’accès à l’information et l’envoi des documents au demandeur?
(Le document est déposé.)
Question no 2236 -- M. Robert Sopuck:
En ce qui concerne l’élaboration du nouveau Guide alimentaire canadien: sur quelles données scientifiques reposent les décisions de (i) conseiller à la population canadienne de choisir plus souvent des aliments protéinés d’origine végétale, (ii) conseiller à la population canadienne, en lui recommandant de choisir plus souvent des aliments protéinés d’origine végétale, que les avantages de consommer plus souvent des protéines végétales sont supérieurs aux avantages globaux de consommer davantage les nutriments uniques des protéines à base de viande, même si celles-ci comprennent des nutriments qui ne sont pas aussi facilement accessibles dans bon nombre de protéines végétales, comme le fer, le zinc, la vitamine B12 et les acides aminés essentiels, (iii) conseiller la population canadienne de ne consommer que des produits laitiers à faible teneur en gras, malgré les preuves que certains produits riches en gras peuvent avoir des bienfaits pour la santé?
(Le document est déposé.)
Question no 2237 -- M. Deepak Obhrai:
En ce qui concerne les délais de traitement des demandes du statut de réfugié en provenance de l’étranger: a) ventilé par pays, quel est le délai de traitement actuel des demandes pour les catégories suivantes, (i) réfugiés pris en charge par le gouvernement, (ii) réfugiés parrainés par le secteur privé; b) quels sont les délais de traitement antérieurs des demandes indiquées en a), ventilé par mois depuis le 1er janvier 2016; c) quel est le nombre actuel de demandes en attente pour les réfugiés parrainés par le secteur privé; d) parmi les demandes dont il est question en c), combien proviennent de demandeurs yézidis?
(Le document est déposé.)
Question no 2238 -- M. Matthew Dubé:
En ce qui concerne les dépenses fédérales dans la circonscription actuelle de Beloeil—Chambly et dans l’ancienne circonscription de Chambly—Borduas, pour les exercices financiers de 2011-2012 à 2018-2019: quels sont les détails de toutes les dépenses du gouvernement fédéral, y compris les subventions, contributions, prêts et investissements, accordées à toute organisation, association, entreprise ou municipalité, ventilées par (i) le nom du bénéficiaire, (ii) la municipalité du bénéficiaire, (iii) la date à laquelle les fonds ont été reçus, (iv) le montant reçu, (v) le ministère ou organisme ayant accordé les fonds, (vi) le programme dans le cadre duquel la subvention, la contribution ou le prêt a été accordé, (vii) la nature ou l’objectif de l’initiative?
(Le document est déposé.)
Question no 2239 -- M. Matthew Dubé:
En ce qui concerne les dépenses fédérales dans l’actuelle circonscription de Belœil—Chambly et dans l’ancienne circonscription de Chambly—Borduas pour les années civiles de 2011 à 2018: quels sont les détails relatifs à toutes les dépenses fédérales, y compris les subventions, les contributions, les investissements et les prêts accordés à tout organisme, groupe, entreprise ou municipalité, ventilées selon (i) le nom du bénéficiaire, (ii) la municipalité du bénéficiaire, (iii) la date à laquelle le financement a été reçu, (iv) le montant reçu, (v) le ministère ou l’organisme qui a octroyé le financement, (vi) le programme dans le cadre duquel la subvention, la contribution ou le prêt a été accordé, (vii) la nature ou le but?
(Le document est déposé.)
Question no 2240 -- M. David Sweet:
En ce qui concerne l’intention du gouvernement de fusionner l’Administration portuaire d’Oshawa et l’Administration portuaire de Hamilton: a) quels motifs justifient la fusion des organismes; b) quels sont les détails de toutes consultations menées auprès d’intervenants relativement au projet de fusion, y compris (i) la date, (ii) les organismes consultés, (iii) les participants gouvernementaux; c) quels organismes consultés étaient d’accord avec la fusion et quels organismes étaient contre; d) le gouvernement a-t-il réalisé une analyse économique de la fusion des organismes et, le cas échéant, quels sont les détails de l’analyse, y compris les résultats?
(Le document est déposé.)
Question no 2241 -- Mme Cheryl Gallant:
En ce qui concerne la flotte de la Garde côtière canadienne (GCC), les navires hauturiers de science océanographique et l’acquisition de nouveaux navires dans le cadre de la Stratégie nationale de construction navale: a) depuis le lancement du programme en 2010, quelles sont les dépenses totales, ventilées par exercice, relatives aux (i) coûts du programme, (ii) coûts du Bureau des grands projets de l’État, (iii) contrats de sous traitance pour des services techniques; b) pour chaque élément en a), quels sont les détails de chaque dépense, y compris (i) le montant, (ii) les détails du projet, (iii) le nom de l’organisation, de l’entreprise ou du ministère ayant fourni les services, (iv) la date de la dépense; (v) un appel d’offres a-t-il été réalisé pour la prestation des services; c) quelles mesures le gouvernement a-t-il prises pour assurer le respect du calendrier et du budget du programme, comme promis dans des rapports antérieurs au Parlement, du lancement de la Stratégie nationale de construction navale à aujourd’hui; d) si des mesures ont été prises, quels en sont les détails, ventilés par mesure individuelle; e) depuis 2014, la GCC, le ministère des Finances, Services publics et Approvisionnement Canada, le ministère des Pêches et des Océans, le Secrétariat du Conseil du Trésor, le ministère de la Défense nationale ou le Bureau du Conseil privé ont-ils reçu des avertissements ou été informés de problèmes concernant (i) l’état de la flotte de la GCC, (ii) les risques associés à l’exploitation de vieux navires au sein de la flotte, (iii) les risques associés aux dommages potentiels au milieu marin, (iv) les coûts de chaque navire au sein de la flotte de la GCC, (v) les mesures d’atténuation envisagées pour réduire les risques associés à l’exploitation d’une flotte vieillissante et moins fiable; f) en ce qui concerne tous les problèmes et avertissements en e), (i) qui sont les trois principaux responsables du ministère qui ont été informés des problèmes et des avertissements, (ii) à quelle date les avertissements ont-ils été reçus, (iii) quelle était la nature de l’avertissement ou du problème; g) pour tous les problèmes et avertissements en e), (i) les problèmes et les avertissements ont-ils été envoyés au ministre, (ii) à quelle date le ministre a-t-il reçu les avertissements, (iii) quelle a été la réponse du ministre; h) depuis 2015, les ministères désignés en e) ont-ils produit des notes d’information sur les risques relevés et sur la flotte de la GCC, y compris, sans toutefois s’y limiter, (i) la durée de vie des navires, (ii) les dommages causés par la rouille et l’eau, (iii) le budget de remplacement, (iv) le calendrier de remplacement, (v) les risques opérationnels, (vi) d’autres problèmes au chantier naval de Seaspan à Vancouver, concernant spécialement les navires hauturiers de science halieutique, les navires hauturiers de science océanographique, les navires de soutien interarmées et le brise-glace polaire; i) pour chaque note d’information, courriel ou document connexe en h), quels sont les détails, y compris (i) la date de production, (ii) les auteurs, (iii) les destinataires, (iv) les constatations, (v) les mesures prises pour régler chaque problème soulevé, (vi) la date à laquelle lesdites mesures ont été prises, (vii) le numéro de référence ou de classement interne de chaque document?
(Le document est déposé.)
Question no 2242 -- Mme Cheryl Hardcastle:
En ce qui concerne le financement fédéral dans la circonscription de Windsor—Tecumseh, entre avril 2016 et janvier 2019: a) pour chacune des demandes de financement reçues, quels étaient (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) la date de présentation de la demande, (v) le montant demandé, (vi) l'approbation ou le rejet de la demande, (vii) le montant total du financement, le cas échéant; b) quels étaient les fonds, subventions, prêts et garanties de prêt accordés par le gouvernement dans la circonscription de Windsor—Tecumseh par l'entremise des différents ministères et organismes, qui ne nécessitaient pas directement la présentation d'une demande de financement, y compris (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant; c) quels projets ont été financés dans la circonscription de Windsor—Tecumseh en fonction des organismes chargés de répartir les fonds gouvernementaux (p. ex. Fondations communautaires du Canada), y compris, pour chacun d’eux, (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant?
(Le document est déposé.)
Question no 2243 -- M. Alexandre Boulerice:
En ce qui concerne le financement fédéral dans la circonscription de Rosemont—La Petite-Patrie, entre le mois d'avril 2016 et de janvier 2019: a) pour chacune des demandes de financement reçues, quels étaient (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) la date de présentation de la demande, (v) le montant demandé, (vi) l'approbation ou le rejet de la demande, (vii) le montant total du financement, le cas échéant; b) quels étaient les fonds, subventions, prêts et garanties de prêt accordés par le gouvernement dans la circonscription de Rosemont—La Petite-Patrie par l'entremise des différents ministères et organismes, qui ne nécessitaient pas directement la présentation d'une demande de financement, y compris (i) le nom de l’organisation, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant; c) quels projets ont été financés dans la circonscription de Rosemont—La Petite-Patrie en fonction des organismes chargés de répartir les fonds gouvernementaux (p. ex. Fondations communautaires du Canada), y compris, pour chacun d’eux, (i) le nom de l’organisme, (ii) le ministère, (iii) le programme et le sous-programme dans le cadre desquels les fonds ont été accordés, (iv) le montant total du financement, le cas échéant?
(Le document est déposé.)
Question no 2244 -- M. Alexandre Boulerice:
En ce qui concerne les investissements dans le logement et les actifs immobiliers que possèdent le gouvernement: a) quel est le montant des fonds fédéraux consacrés au logement dans la circonscription de Rosemont--La Petite-Patrie au cours de la période de 1995 à 2017, ventilé par année; b) quel est le montant des fonds fédéraux qu'il est prévu de consacrer au logement dans la circonscription de Rosemont--La Petite-Patrie au cours de la période de 2015 à 2019, ventilé par année; c) quel est le montant des fonds fédéraux investis dans des coopératives de logement dans la circonscription de Rosemont--La Petite-Patrie au cours de la période de 1995 à 2017, ventilé par année; d) quel est le montant des fonds fédéraux qu'il est prévu d'investir dans des coopératives de logement dans la circonscription de Rosemont--La Petite-Patrie au cours de la période de 2015 à 2019, ventilé par année; e) de combien d'unités d'habitation le gouvernement était-il propriétaire dans la circonscription de Rosemont--La Petite-Patrie au cours de la période de 1995 à 2017, ventilées par année; f) combien d'unités d'habitation appartenant au gouvernement seront-elles construites dans la circonscription de Rosemont--La Petite-Patrie au cours de la période de 2015 à 2019, ventilées par année; g) quels sont les immeubles et les terrains fédéraux dans la circonscription de Rosemont--La Petite-Patrie ayant été déclarés excédentaires et qui sont disponibles pour des projets de logements abordables?
(Le document est déposé.)
Question no 2245 -- Mme Rachel Blaney:
En ce qui concerne les investissements dans le logement et les actifs immobiliers que possèdent le gouvernement: a) quel est le montant des fonds fédéraux consacrés au logement dans la circonscription de North Island--Powell River au cours de la période de 1995 à 2017, ventilé par année; b) quel est le montant des fonds fédéraux qu'il est prévu de consacrer au logement dans la circonscription de North Island--Powell River au cours de la période de 2015 à 2019, ventilé par année; c) quel est le montant des fonds fédéraux investis dans des coopératives de logement dans la circonscription de North Island--Powell River au cours de la période de 1995 à 2017, ventilé par année; d) quel est le montant des fonds fédéraux qu'il est prévu d'investir dans des coopératives de logement dans la circonscription de North Island--Powell River au cours de la période de 2015 à 2019, ventilé par année; e) de combien d'unités d'habitation le gouvernement était-il propriétaire dans la circonscription de North Island—Powell River au cours de la période de 1995 à 2017, ventilées par année; f) combien d'unités d'habitation appartenant au gouvernement seront-elles construites dans la circonscription de North Island--Powell River au cours de la période de 2015 à 2019, ventilées par année; g) quels sont les immeubles et les terrains fédéraux dans la circonscription de North Island--Powell River ayant été déclarés excédentaires et qui sont disponibles pour des projets de logements abordables?
(Le document est déposé.)
[Traduction]
:
Madame la Présidente, je demande que les autres questions restent au Feuilleton.