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Madame la Présidente, on répondra aujourd'hui aux questions n
os 2583, 2590, 2596 et 2597.
[Texte]
Question no 2583 — Mme Cathay Wagantall:
En ce qui concerne Santé Canada (SC), l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC), le Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI) et toute communication publiée en 2020 ou en 2021 au sujet des exemptions concernant le port du masque, des vaccins contre la COVID-19, des médicaments pour traiter la COVID-19 et de tout autre message de santé publique sur la COVID-19: a) est-ce que (i) la ministre de la Santé, (ii) le sous-ministre de la Santé, le Dr Steven Lucas, (iii) l’administratrice en chef de la santé publique, (iv) l’administrateur en chef adjoint de la santé publique, (v) le médecin hygiéniste en chef de Santé Canada, (vi) tout membre du personnel de SC, (vii) tout membre du personnel de l’ASPC, (viii) tout membre du personnel du CCNI, (ix) toute entreprise engagée par SC, l’ASPC, ou le CCNI, ou par leur intermédiaire, a communiqué ou correspondu, directement ou indirectement, avec l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario (OMCO); b) si l'une des réponses en a)(i) à a)(ix) sont affirmatives, (i) quand ces communications ont-elles eu lieu, (ii) quel en est le résumé; c) l’une des personnes ou des entreprises en a)(i) à a)(ix) a-t-elle communiqué avec le Conseil consultatif de réglementation des professions de la santé (CCRPS); d) si la réponse en c) est affirmative, quel est le résumé de cette communication?
M. Yasir Naqvi (secrétaire parlementaire du ministre de la Santé, Lib.):
Monsieur le Président, en réponse aux parties a)(i), (ii), (vi) et (ix) de la question, le ministre de la Santé et les fonctionnaires de Santé Canada n'ont communiqué ou correspondu, directement ou indirectement, avec l'Ordre des médecins et chirurgiens de l'Ontario ou le Conseil consultatif de réglementation des professions de santé en 2020 ou 2021, au sujet des exemptions de masque, des vaccins COVID-19, des médicaments pour traiter le COVID-19 ou de tout autre message de santé publique concernant le COVID-19.
Concernant les parties a)(iii), (iv), (vii) et (ix), aucun fonctionnaire de l'Agence de la santé publique du Canada n'a communiqué ou correspondu, directement ou indirectement, avec l'Ordre des médecins et chirurgiens de l'Ontario ou le Conseil consultatif de réglementation des professions de santé en 2020 ou 2021, au sujet des exemptions de masque, des vaccins COVID-19, des médicaments pour traiter le COVID-19 ou de tout autre message de santé publique concernant le COVID-19.
Concernant les parties a)(viii) et (ix), le Comité consultatif national de l’immunisation, ou CCNI, est un organisme consultatif externe qui fournit des conseils indépendants et spécialisés à l’Agence de la santé publique du Canada sur l’utilisation des vaccins autorisés au Canada. Ni le CCNI ni aucun membre du personnel du CCNI n’a communiqué ou correspondu directement ou indirectement avec l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario, ni communiqué avec le Conseil consultatif de réglementation des professions de la santé en 2020 ou 2021 au sujet des exemptions concernant le port du masque, des vaccins contre la COVID-19, des médicaments pour traiter la COVID-19 ou de tout autre message de santé publique sur la COVID-19.
La partie b) est sans objet.
Concernant la partie c), on peut se référer à la partie a).
La partie d) est sans objet.
Question no 2590 — M. Tim Uppal:
En ce qui concerne l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (OIRPC): a) quels sont les détails relatifs aux campagnes publicitaires de l’OIRPC depuis le 4 novembre 2015, y compris, pour chacune d’elle, (i) le titre, (ii) le nom de la campagne publicitaire, (iii) l’objectif, (iv) le total des coûts associés à la campagne publicitaire, (v) la ventilation des coûts; b) pour chaque campagne publicitaire en a), ont-elles été diffusées (i) sur le Web, (ii) sur papier, (iii) à la radio, (iv) à la télévision?
L’hon. Chrystia Freeland (vice-première ministre et ministre des Finances, Lib.):
Monsieur le Président, il convient de noter que l’Office d’investissement du régimes de pensions du canada, ou OIRPC, n’est pas un ministère ni un agent de la Couronne et n’est donc pas tenu de suivre les mêmes directives en matière de divulgation d’information. L’OIRPC est soumis aux exigences de divulgation stipulées par la Loi sur l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada et relève des ministres des Finances fédéraux et provinciaux, ainsi que des Canadiens.
Question no 2596 — Mme Louise Chabot:
En ce qui concerne le site 06875001 – Camp Bouchard, ancien dépôt de munitions de l’inventaire des sites contaminés fédéraux: a) quelles sont les mesures présentement en cours pour la décontamination du site; b) quel est le plan et l’échéancier pour la décontamination du site; c) quels sont les montants alloués pour la décontamination du site?
Mme Marie-France Lalonde (secrétaire parlementaire du ministre de la Défense nationale, Lib.):
Monsieur le Président, les sites contaminés fédéraux sont situés sur des terres détenues ou louées par le gouvernement du Canada, ou encore sur des terres pour lesquelles il a accepté la responsabilité de la contamination. Le gouvernement du Canada a pris des mesures dans le cadre du Plan d’action pour les sites contaminés fédéraux, ou PASCF, et reste déterminé à gérer correctement les sites contaminés dont il est responsable. Par l’entremise du PASCF, la Défense nationale investit des ressources pour nettoyer les contaminations historiques et réduire au minimum les répercussions futures des activités militaires sur l’environnement.
Selon l’Inventaire des sites contaminés fédéraux mis à jour annuellement, il existe 4 455 sites actifs, dont 944 sont considérés comme peu prioritaires, y compris le Camp Bouchard. En tant que site d’action peu prioritaire, le Camp Bouchard ne constitue pas un risque pour la santé et la sécurité humaines. Le Camp Bouchard ne présente actuellement aucune contamination du sol et le calendrier d’assainissement n’a pas encore été établi. La qualité des eaux souterraines du site est également analysée périodiquement et les dernières analyses ont été effectuées en 2020, en 2021 et en 2022.
Question no 2597 — M. Glen Motz:
En ce qui concerne la décision de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) de désigner Employment Professionals Canada (EPC) en tant que fournisseur de service autorisé pour le déchargement et le rechargement: a) quels sont les détails de l’entente entre l’ASFC et EPC qui obligent les camionneurs à faire appel aux services d’EPC durant l’examen, y compris (i) quand l’entente a-t-elle été signée, (ii) quelles sont les modalités de l’entente (financières et autres), (iii) qui à l’ASFC a autorisé l’entente; b) l’ASFC est-elle au courant des allégations selon lesquelles EPC gonfle les prix et facture aux camionneurs des milliers de dollars pour des services de rechargement qui leur étaient auparavant offerts, et, le cas échéant, comment l’ASFC a-t-elle réagi à ces allégations; c) le gouvernement craint-il que l’augmentation des coûts pour les camionneurs qui doivent recourir aux services d’EPC soit refilée aux consommateurs, et, le cas échéant, quelle mesure sera prise pour remédier à cette situation; d) EPC fournit-elle les services de déchargement et de rechargement elle-même dans tous les cas ou sous-traite-t-elle la prestation de ces services à des tiers; e) si la prestation des services d’EPC est confiée en sous-traitance à d’autres firmes, pourquoi l’ASFC a-t-elle décidé de payer un intermédiaire plutôt que de payer directement le fournisseur qui fournit les services de chargement et de déchargement; f) l’ASFC paie-t-elle EPC pour être le fournisseur ou EPC paie-t-elle l’ASFC pour avoir le droit d’être son fournisseur exclusif, et, le cas échéant, à combien s’élève le montant payé; g) quelles mesures, le cas échéant, l’ASFC a-t-elle établies pour s’assurer que les camionneurs ne sont pas facturés plus que la juste valeur marchande pour les services de chargement et de déchargement; h) avant cette entente avec EPC, qui fournissait ces services et à quel tarif; i) une analyse des conflits d’intérêts a-t-elle été réalisée étant donné la participation d’EPC auprès d’autres entreprises au sein de la chaîne d’approvisionnement, et, le cas échéant, quels ont été les résultats de l’analyse; j) les employés d’EPC ont-ils la cote de sécurité adéquate pour fournir ces services, et qui à l’ASFC est responsable de s’assurer périodiquement de la validité des cotes de sécurité; k) s’agissait-il d’un contrat à fournisseur unique?
Mme Jennifer O’Connell (secrétaire parlementaire du ministre de la Sécurité publique, des Institutions démocratiques et des Affaires intergouvernementales (Cybersécurité), Lib.):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a)(i), l’Entente nationale de déchargement actuelle a été signée le 26 janvier 2023.
Au sujet de la partie a)(ii), cette entente est valable du 1er février 2024 au 31 janvier 2025. Il s'agit d'une entente sans somme, il n'y a donc aucune incidence financière ni aucun gain ou perte financière pour l'Agence des services frontaliers du Canada, ou ASFC.
Pour plus de détails concernant l’entente national de déchargement, on peut consulter Services nationaux de déchargement - Avis d'appel d'offres.
Pour la politique de l’ASFC sur les services de déchargement pour les examens routiers, on peut consulter la Politique de déchargement pour les examens du mode routier.
Au sujet de la partie a)(iii), l’entente a été autorisée au niveau de sous-ministre adjoint par la Direction générale des finances et de la gestion organisationnelle, Direction des Approvisionnement et entente de l'ASFC, en collaboration avec la Direction générale du secteur commercial et des échanges commerciaux, division des opérations commerciales.
Au sujet de la partie b), l’accord actuel entre l’ASFC et Employment Professionals Canada, ou EPC, a été conclu à la suite d’un processus d’approvisionnement concurrentiel et utilise des frais fixes. Bien que l'inflation et d'autres facteurs aient contribué à la hausse des prix de tous les biens et services au cours des dernières années, l'ASFC travaille actuellement pour présenter une nouvelle entente. La nouvelle entente intègrera une nouvelle structure tarifaire similaire à celle des États-Unis, qui permettra une plus grande flexibilité de tarification, par exemple, paiement par palette plutôt qu'au forfait. Les nouvelles flexibilités de la structure tarifaire devraient permettre d’atténuer bon nombre des problèmes exprimés.
Au sujet de la partie c), l'ASFC reste toutefois soucieuse des impacts sur les parties prenantes internes et externes. L'ASFC travaille à l'ajout de nouvelles dispositions à la nouvelle entente pour permettre une plus grande flexibilité en matière de prix pour les clients qui ont choisi de recourir au fournisseur de services sur place dans les bureaux commerciaux désignés.
Au sujet de la partie d), il est de la seule responsabilité du transporteur de présenter les marchandises pour examen sur demande de l'ASFC dans les délais prescrits. Dans ces cas, si le transporteur fait appel aux services d'EPC, il appartiendra alors à EPC de décharger les marchandises, de les présenter pour examen, puis de recharger les marchandises. Conformément à l'accord, le fournisseur doit demander et recevoir une confirmation écrite de l'autorité contractante, dans l'ASFC, avant de faire appel à des sous-traitants. L’ASFC n’a reçu aucune demande de EPC et n’a émis aucune confirmation à EPC relativement à l’utilisation de sous-traitants.
Au sujet de la partie e), l’ASFC n’est pas au courant qu’EPC ait recours à des sous-traitants dans le contexte actuel de cet accord national de déchargement.
Au sujet de la partie f), l’Entente nationale de déchargement de l’ASFC est une entente à somme nulle, il n’y a donc aucune obligation financière ni aucun gain ou perte pour l’ASFC.
Au sujet de la partie g) l'ASFC a eu recours à un processus concurrentiel pour garantir des prix équitables et un approvisionnement ouvert et transparent. L'accord qui en résulte utilise les tarifs de déchargement définis dans la Politique sur les examens routiers pour garantir que les coûts restent les mêmes, quel que soit l'endroit où le service est fourni à travers le Canada. Si le transporteur fait appel au fournisseur de services EPC, tous les frais sont facturés et collectés uniquement par EPC. Les transporteurs ne sont pas obligés aux services fournis par EPC.
Au sujet de la partie h), avant l’entente actuelle, l'ASFC a mené plusieurs processus d'appel d'offres pour l’entente de déchargement depuis 2015. EPC a été le fournisseur depuis 2015. Les tarifs ont varié d'une entente à l'autre et ont été établis par le fournisseur de services lors du processus d'appel d'offres.
Au sujet de la partie i), ce processus était compétitif et publié sur le site Web d'appels d'offres du gouvernement (achats et ventes) pour que tout fournisseur puisse fournir une offre comprenant un prix plafond par service requis. Une analyse des conflits d’intérêts n’a pas été réalisée.
Au sujet de la partie j), les ressources proposées par EPC pour fournir le service ont été validées et confirmées par la Division de la sécurité de l'ASFC. Seule une ressource possédant une habilitation de sécurité valide peut effectuer des travaux dans le cadre de cette entente. Le fournisseur de services est responsable du lancement du processus d’habilitation de sécurité et travaillera avec Services Publics et Approvisionnement Canada (SPAC) pour la délivrance des habilitations de sécurité de tous les employés. Il est de la responsabilité du fournisseur de services de maintenir toutes les autorisations de sécurité pour garantir leur validité. L’ASFC ne participe pas au processus d’habilitation de sécurité.
Au sujet de la partie k), ce processus était compétitif et publié sur le site Web d'appels d'offres du gouvernement (achats et ventes) pour que tout fournisseur puisse fournir une offre comprenant un prix plafond par service requis.
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Madame la Présidente, si les questions n
os 2584 à 2589, 2591 à 2595 et 2598 pouvaient être transformées en ordres de dépôt de documents, les documents seraient déposés immédiatement en format électronique.
[Français]
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La Chambre est-elle d'accord?
Des voix: D'accord.
[Texte]
Question no 2584 — M. Gary Vidal:
En ce qui concerne l’annonce faite par la ministre du Développement économique rural le 17 mars 2023 sur l’amélioration de la connectivité dans les régions rurales de la Saskatchewan depuis l’annonce: a) quelle portion du financement annoncé de 37 millions de dollars a été dépensée à ce jour; b) quels projets, s’il en est, ont été financés; c) le financement de projets de la Hanson Lake Road a-t-il été approuvé, y compris, (i) Hanson Lake Road A UBF-3500, (ii) Hanson Lake Road B UBF-3501, (iii) Hanson Lake Road C UBF-3502, (iv) Creighton UBF-3503, (v) Hanson Lake Road UBF-3506, (vi) d’autres projets?
(Le document est déposé.)
Question no 2585 — Mme Michelle Ferreri:
En ce qui concerne l’Agence du revenu du Canada, ventilé par année d’imposition depuis 2019: a) combien de fiducies et de sociétés ont dû payer de l’impôt sur les gains en capital, et quel a été le montant total de l’impôt sur les gains en capital perçu auprès de ce groupe; b) combien de fiducies et de sociétés ont dû payer de l’impôt sur des gains en capital (i) inférieurs à 50 000 $, (ii) compris entre 50 000 $ et 100 000 $, (iii) compris entre 100 000 $ et 250 000 $, (iv) supérieurs à 250 000 $; c) pour chaque groupe en b), quel a été le montant total perçu au titre de l’impôt sur les gains en capital?
(Le document est déposé.)
Question no 2586 — M. Eric Melillo:
En ce qui concerne le Programme des services de police des Premières Nations et des Inuit et le rapport de la vérificatrice générale du Canada intitulé « Rapport 3 – Le Programme des services de police des Premières nations et des Inuit »: a) quelle est la ventilation par province et territoire des 930 millions de dollars de financement mentionnés au paragraphe 3.21 du rapport; b) comment le financement est-il ventilé par (i) entente de service de police autogéré, (ii) entente communautaire tripartite; c) pourquoi, d’après le paragraphe 3.23 du rapport, Sécurité publique Canada n’a-t-il pas déboursé environ 17 millions de dollars sur les 196 millions de dollars de fonds du programme disponibles pour l’exercice 2022-2023; d) pourquoi, selon le paragraphe 3.24 du rapport, Sécurité publique Canada n’a-t-il pas vérifié si les fonds transférés à la GRC avaient été utilisés pour couvrir les coûts du programme, plutôt que pour d'autres services de police?
(Le document est déposé.)
Question no 2587 — M. Eric Melillo:
En ce qui concerne le Fonds national des corridors commerciaux administré par Transports Canada, en date d’avril 2024: a) parmi les projets financés, combien (i) n’ont pas commencé, (ii) sont en cours, (iii) ont été achevés; b) pour chaque projet, quel est (i) l’échéancier, (ii) l’objectif, (iii) le lieu?
(Le document est déposé.)
Question no 2588 — M. Eric Melillo:
En ce qui concerne les contrats passés avec McKinsey & Company et le rapport intitulé « Examen des pratiques d’approvisionnement relatif aux contrats attribués à McKinsey & Company » publié par le Bureau de l’ombud de l’approvisionnement: a) quels sont les détails des 25 contrats non concurrentiels énumérés à la page quatre du rapport, y compris, pour chacun, (i) la date du contrat, (ii) le titre, (iii) le numéro de dossier, (iv) la valeur de chaque contrat, (v) le ministère concerné, (vi) la raison du recours à un fournisseur unique, (vii) la personne qui a autorisé le recours à un fournisseur unique, (viii) l’objet du contrat et les services fournis; b) quels sont les détails des sept contrats concurrentiels énumérés à la page quatre du rapport, y compris, pour chacun, (i) la date du contrat, (ii) le titre, (iii) le numéro de dossier, (iv) la valeur du contrat, (v) le ministère concerné, (vi) l’objet du contrat et les services fournis; c) pourquoi le gouvernement a-t-il modifié sa stratégie d’approvisionnement et a ainsi permis à McKinsey & Company d’obtenir deux contrats alors que cette entreprise était initialement non admissible, d’après ce qui est écrit au paragraphe 26 du rapport, à la page six?
(Le document est déposé.)
Question no 2589 — M. Tim Uppal:
En ce qui concerne les paiements versés par le gouvernement: quel est le nombre de prestataires (i) du Régime de pensions du Canada, (ii) de la Sécurité de la vieillesse, (iii) du Supplément de revenu garanti, (iv) des prestations d’invalidité du Régime de pensions du Canada, (v) de l’assurance-emploi, (vi) de la Prestation fiscale canadienne pour enfants, (vii) de la Pension de survivant, qui ont reçu leurs prestations, ventilé par mode de réception (p.ex. dépôt direct, chèque du gouvernement envoyé par la poste, etc.), par province ou territoire (ou à l'étranger, le cas échéant) et par année à compter de 2015?
(Le document est déposé.)
Question no 2591 — M. Luc Berthold:
En ce qui concerne le nombre et la valeur des contrats octroyés à GC Strategies et Coredal Systems Consulting, du 1er janvier 2011 au 16 février 2024, que le Secrétariat du Conseil du Trésor a fournis au Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires le 16 avril 2024: quels sont les détails concernant chaque produit livrable associé aux contrats, y compris, dans chaque cas, (i) la date à laquelle le produit livrable a été achevé, (ii) le titre, (iii) le résumé des recommandations, (iv) le numéro de dossier, (v) le site Web sur lequel le produit livrable est accessible, le cas échéant?
(Le document est déposé.)
Question no 2592 — M. Richard Bragdon:
En ce qui concerne la participation du gouvernement à la sixième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement (UNEA-6) tenue à Nairobi (Kenya): a) quelles sont les dépenses totales engagées par le gouvernement à ce jour relativement à l’assemblée, ventilées par type de dépense; b) quel a été le nombre total de participants dont les dépenses ont été payées par le gouvernement, y compris (i) le titre officiel et le ministère ou l’organisation de chaque participant, (ii) les dépenses totales engagées pour chaque entité en (i), ventilées par type de dépense; c) en ce qui concerne l’hébergement de la délégation au Kenya, (i) quels hôtels ont été utilisés, (ii) combien a coûté chaque hôtel, (iii) combien de chambres ont été louées dans chaque hôtel et pour combien de nuitées, (iv) quel a été le tarif de la chambre payé pour chaque hôtel et le nombre de chambres louées pour chaque tarif, (v) qui a logé dans chacune des chambres en (iv), ventilées par tarif; d) quels ont été les détails des dépenses d’hébergement du ministre de l’Environnement et du Changement climatique, y compris le (i) tarif par jour, (ii) lieu d’hébergement; e) quels sont les détails des dépenses totales d’accueil, ventilées par (i) date, (ii) montant, (iii) lieu, (iv) nom de tout établissement commercial ou fournisseur visé par l’activité d’accueil, (v) nombre de participants, (vi) description de l’événement, (vii) description des biens et des services achetés; f) quels sont les détails de toutes les dépenses liées au transport terrestre, y compris, pour chacune, (i) la date, (ii) le montant, (iii) le fournisseur, (iv) le point d’origine, (v) la destination, (vi) la marque et le modèle de chaque véhicule utilisé, (vii) le type de véhicule (p. ex. à essence, électrique, hybride), (viii) si les services d’un chauffeur ou d’un conducteur ont été utilisés, (ix) le nom et le titre des passagers ou des personnes qui ont engagé la dépense; g) quels sont les détails de toutes les dépenses pour l’achat de cadeaux liés à l’assemblée, y compris, pour chacune, (i) la valeur, (ii) la description, (iii) le fournisseur auprès de qui l’achat a été effectué, (iv) le destinataire?
(Le document est déposé.)
Question no 2593 — M. John Nater:
En ce qui concerne le Programme de développement des collectivités, depuis 2019: outre le financement de base, quels sont les détails relatifs à tout le financement supplémentaire accordé aux organisations qui mettent le programme en œuvre, comme les sociétés d’aide au développement des collectivités, y compris, pour chacun des cas, (i) le nom de l’organisation, (ii) le montant accordé, (iii) la date, (iv) l’objectif du financement, (v) le programme dans le cadre duquel les fonds ont été versés?
(Le document est déposé.)
Question no 2594 — M. John Nater:
En ce qui concerne les prêts accordés directement par les organismes de développement régional dans le cadre du Fonds d’aide et de relance régionale: quels sont les détails de chaque prêt, y compris (i) la date, (ii) le bénéficiaire, (iii) la valeur de l’avance de prêt, (iv) l’emplacement de l’emprunteur, (v) le montant qu’il reste à rembourser?
(Le document est déposé.)
Question no 2595 — M. Gord Johns:
En ce qui concerne les collectivités faisant partie de la circonscription électorale fédérale de Courtenay—Alberni, depuis l’exercice 2005-2006: a) quels sont les investissements fédéraux en logement, y compris les transferts directs aux municipalités et aux Premières Nations, pour les collectivités de (i) Tofino, (ii) Ucluelet, (iii) Port Alberni, (iv) Parksville, (v) Qualicum Beach, (vi) Cumberland, (vii) Courtenay, (viii) Deep Bay, (ix) Dashwood, (x) Royston, (xi) French Creek, (xii) Errington, (xiii) Coombs, (xiv) Nanoose Bay, (xv) Cherry Creek, (xvi) China Creek, (xvii) Bamfield, (xviii) Beaver Creek, (xix) Beaufort Range, (xx) Millstream, (xxi) Mt. Washington Ski Resort, ventilés par exercice, dépenses totales et projet; b) quels sont les investissements fédéraux en logement transférés aux districts régionaux de (i) Comox Valley, (ii) Nanaimo, (iii) Alberni-Clayoquot, (iv) Powell River, ventilés par exercice, dépenses totales et projet; c) quels sont les investissements fédéraux en logement transférés aux fiducies de (i) Hornby Island, (ii) Denman Island, (iii) Lasquetti Island, ventilés par exercice et dépenses totales?
(Le document est déposé.)
Question no 2598 — Mme Kirsty Duncan:
En ce qui concerne le devoir de diligence lié aux athlètes et aux accidents, blessures, commotions cérébrales, troubles alimentaires et problèmes de santé mentale des athlètes: a) le Canada a-t-il un devoir de diligence envers les athlètes brevetés et, le cas échéant, quelle est la politique en la matière; b) est-ce que (i) les entraîneurs, (ii) le personnel médical, (iii) les autres personnes faisant partie de l’équipe d’un athlète ont un devoir de diligence envers les athlètes brevetés, et, le cas échéant, quelle est la politique en la matière; c) les provinces et les territoires reconnaissent-ils un devoir de diligence envers (i) les jeunes qui participent à un sport organisé à l’école, (ii) les athlètes et les jeunes qui participent à un sport organisé à l’extérieur de l’école, et, le cas échéant, quelles sont les provinces et les territoires concernés et quelles sont leurs politiques respectives; d) le Canada a-t-il l’obligation de déclarer tout abus subi par les athlètes et, le cas échéant, quelles sont les modalités de cette obligation, y compris (i) est-elle immédiate, (ii) est-elle directe, (iii) est-elle continue, (iv) traite-t-elle de la confidentialité, (v) nécessite-t-elle des mesures documentées, (vi) quelle est la politique en la matière; e) les provinces et les territoires ont-ils l’obligation de déclarer tout abus subi par des enfants participant à des sports organisés à l’école et, le cas échéant, quelles sont les modalités de cette obligation, y compris (i) est-elle immédiate, (ii) est-elle directe, (iii) est-elle continue, (iv) traite-t-elle de la confidentialité, (v) nécessite-t-elle des mesures documentées, (vi) quelles sont les politiques en la matière; f) les provinces et les territoires ont-ils l’obligation de déclarer tout abus subi par les athlètes et les jeunes qui participent à un sport organisé à l’extérieur de l’école et, le cas échéant, quelles sont les modalités de cette obligation, y compris (i) est-elle immédiate, (ii) est-elle directe, (iii) est-elle continue, (iv) traite-t-elle de la confidentialité, (v) nécessite-t-elle des mesures documentées, (vi) quelles sont les politiques en la matière;
g) existe-t-il un registre des accidents et des blessures des athlètes brevetés au Canada et, le cas échéant, quels en sont les détails, y compris (i) les blessures physiques et mentales suivies, (ii) la période pendant laquelle les blessures sont suivies, (iii) le nombre de blessures, ventilé par sport, (iv) la durée de l’arrêt de l’entraînement, (v) la durée de l’arrêt des études, (vi) la durée de l’arrêt de travail, (vii) les traitements nécessaires, (viii) la prise en charge de l’intégralité du coût des traitements nécessaires, et par qui, (ix) le coût éventuel des traitements pour l’athlète, (x) les effets à long terme sur la santé, le cas échéant; h) existe-t-il au Canada des registres des accidents et des blessures des athlètes au niveau provincial ou territorial et, le cas échéant, quels sont les détails, y compris (i) les blessures physiques et mentales suivies, (ii) la période pendant laquelle les blessures sont suivies, (iii) le nombre de blessures, ventilé par sport, (iv) la durée de l’arrêt de l’entraînement, (v) la durée de l’arrêt des études, (vi) la durée de l’arrêt de travail, (vii) les traitements nécessaires, (viii) les effets à long terme sur la santé, le cas échéant; i) y a-t-il eu des décès liés à la pratique d’un sport au Canada et, le cas échéant, quels sont les détails, y compris (i) le nombre de décès, (ii) l’année, (iii) le sport, (iv) la cause du décès, (v) y a-t-il eu une enquête, (vi) y a-t-il eu des recommandations pour prévenir des accidents semblables à l’avenir; j) des cas de paralysie découlant de la pratique d’un sport se sont-ils produits au Canada et, le cas échéant, quels sont les détails, y compris (i) le nombre de cas, (ii) l’année, (iii) le sport, (iv) la cause de la paralysie, (v) y a-t-il eu une enquête, (vi) y a-t-il eu des recommandations pour prévenir des accidents semblables à l’avenir;
k) des cas de lésions cérébrales graves se sont-ils produits au Canada en raison de la pratique d’un sport et, le cas échéant, quels sont les détails, y compris (i) le nombre de cas, (ii) l’année, (iii) le sport, (iv) la cause de la lésion cérébrale, (v) y a-t-il eu une enquête, (vi) y a-t-il eu des recommandations pour prévenir un accident semblable à l’avenir, (vii) y a-t-il eu des effets à long terme sur la santé et, le cas échéant, quels sont-ils; l) existe-t-il un registre des commotions cérébrales pour les athlètes brevetés et, le cas échéant, quels en sont les détails, y compris (i) le taux de commotions cérébrales chez les athlètes brevetés, ventilé par sport, (ii) l’augmentation ou la diminution du taux de commotions cérébrales, ventilé par sport, (iii) les sports où les commotions cérébrales sont les plus fréquentes; m) comment définit-on la notion de « sécurité » en ce qui concerne les blessures à la tête; n) les protocoles relatifs aux blessures à la tête sont-ils conçus pour être sécuritaires, ventilés par sport; o) comment définit-on l’expression « mesure raisonnable » en ce qui concerne les blessures à la tête; p) quels sont les organismes nationaux de sport (ONS) qui prennent des mesures raisonnables pour protéger les athlètes contre les lésions permanentes provoquées par des chocs répétitifs causant un traumatisme craniocérébral léger ou une commotion cérébrale; q) quels ONS ont, le cas échéant, une politique concernant les coups subcliniques; r) quels ONS ont, le cas échéant, une politique concernant (i) l’éducation aux blessures à la tête, (ii) la prévention des blessures à la tête, (iii) l’évaluation des blessures, (iv) la prise en charge des blessures; s) existe-t-il des protocoles de prévention des blessures à la tête et, le cas échéant, quels en sont les détails, y compris (i) le sport, (ii) le protocole, (iii) la manière dont il reflète les meilleures données scientifiques disponibles;
t) quelles sont, le cas échéant, les certifications et les formations obligatoires pour (i) les entraîneurs, (ii) les formateurs, (iii) les membres de l’équipe d’un athlète, en ce qui concerne la santé mentale; u) le cas échéant, quels efforts sont déployés pour veiller à la santé mentale des athlètes brevetés, y compris, mais sans s'y limiter (i) la création d’espaces sûrs, (ii) la prise en compte du stress, de l’anxiété et de la dépression, (iii) la prise en compte des effets cumulatifs des blessures, du surentraînement et de l’incertitude quant à l’avenir, (iv) le soutien avant, pendant et après les grandes compétitions, (v) la reconnaissance des efforts déployés par les athlètes; v) quelles sont, le cas échéant, les certifications et les formations obligatoires (i) des entraîneurs, (ii) des formateurs, (iii) des membres de l’équipe d’un athlète, en matière de développement physique, y compris les besoins fondamentaux, le développement cognitif, le développement social, les risques et la résilience; w) existe-t-il un suivi des taux de troubles alimentaires chez les athlètes brevetés et, le cas échéant, quels sont les détails, y compris (i) les taux, ventilés par sport, (ii) l’augmentation ou la diminution des troubles alimentaires, (iii) les efforts, s’il y a lieu, déployés pour freiner la dynamique du pouvoir et la culture des pratiques alimentaires, (iv) les intervenants qui détiennent la formation médicale nécessaire pour fournir des conseils nutritionnels, (v) les efforts, s’il y a lieu, déployés pour contrer le dénigrement de l’apparence, (vi) les efforts, s’il y a lieu, déployés pour réduire la stigmatisation?
(Le document est déposé.)
[Traduction]
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Madame la Présidente, je demande que les autres questions restent au Feuilleton.