:
Madame la Présidente, on répondra aujourd'hui aux questions n
os 3003, 3010, 3019, 3024, 3026, 3031, 3033 et 3036.
[Texte]
Question no 3003 — Mme Karen Vecchio:
En ce qui concerne Emploi et Développement social Canada (EDSC) et le coût d’élever un enfant au Canada: a) quel point de référence EDSC utilise-t-il pour déterminer le coût minimum d’élever un enfant au Canada, ventilé selon (i) l’âge, (ii) la province ou le territoire de résidence, de l’enfant; b) d’où provient le point de référence indiqué en a); c) à quelle fréquence le point de référence est-il actualisé; d) quelle formule est utilisée pour déterminer le point de référence?
Mme Élisabeth Brière (secrétaire parlementaire de la ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social et secrétaire parlementaire de la ministre de la Santé mentale et des Dépendances et ministre associée de la Santé,, Lib.):
Monsieur le Président, à l’heure actuelle, Emploi et Développement social Canada, ou EDSC, n’utilise pas de point de référence car il n’existe pas de point de référence officiel reconnu pour le coût minimum d’élever un enfant au Canada. La plupart des approches analytiques qui examinent les coûts pour élever des enfants sont axées sur les coûts directs ou les frais remboursables.
Une étude de 2023 de Statistique Canada a examiné les données regroupées de l’Enquête sur les dépenses des ménages, ou EDM, pour la période de 2014 à 2017 afin de fournir des estimations des dépenses pour enfants à l’échelle du Canada. Cette étude portait sur des enfants âgés de 0 à 22 ans qui vivent à la maison. Les résultats de cette étude indiquent ce qui suit: une famille biparentale à revenu moyen ayant deux enfants dépense en moyenne environ 293 000 $ pour élever un enfant de la naissance à 17 ans, soit 17 235 $ en moyenne par année; les familles biparentales ayant deux enfants et un revenu annuel supérieur à 135 790 $ ont dépensé en moyenne 403 910 $ par enfant de la naissance à l’âge de 17 ans. À titre de comparaison, une famille de la même taille qui gagnait moins de 83 013 $ par année a dépensé en moyenne 52 % de moins par enfant, soit 238 190 $; les familles monoparentales ayant deux enfants et un revenu annuel moyen inférieur à 83 013 $ ont consacré 231 260 $ en moyenne par enfant de la naissance à l’âge de 17 ans, tandis que celles qui ont gagné 83 013 $ ou plus ont dépensé 372 110 $ par enfant; et lorsqu’on tient compte des enfants adultes de 18 à 22 ans qui vivent avec un de leurs parents ou leurs deux parents, le montant total des dépenses augmente de près d’un tiers, ou 29 %, pour les familles monoparentales et biparentales.
Question no 3010 — M. Rick Perkins:
En ce qui concerne l’annonce faite par le ministre de l'Innovation, des Sciences et de l'Industrie le 6 juin 2024, qu’à partir de maintenant le financement de Technologies du développement durable Canada reprendrait dans le cadre d’accords de contribution renforcés avec Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISED): pour chaque accord, (i) quel est le nom de l’entreprise avec laquelle il a été signé, (ii) quel est le nom du projet qui reçoit le financement, (iii) quel est l’avantage environnemental projeté qui est attendu du projet, (iv) quelle est la réduction projetée des émissions qui est attendue du projet, (v) quel est le coût total du projet, (vi) quel est le montant total du financement annoncé, (vii) quel est le montant total du financement distribué jusqu’à présent, (viii) quel est le montant total du financement reçu pour le projet d’autres organismes subventionnaires gérés par ISED, (ix) quels sont les critères considérés comme étant admissibles pour un projet?
L’hon. François-Philippe Champagne (ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, Lib.):
Monsieur le Président, Innovation, Sciences et Développement économique Canada, ou ISDE, maintient un accord de contribution unique, renforcé, avec la Fondation du Canada pour l’appui technologique au développement durable, ou TDDC, en raison de la nature indépendante de l'organisation. TDDC a été créé par le Parlement pour fournir des fonds aux bénéficiaires éligibles dans le cadre d'un modèle de redistribution d’une contribution et, à ce titre, ISDE n'est pas partie aux accords de financement conclus entre TDDC et les bénéficiaires finaux, des entreprises de technologies propres.
ISDE a un accord de contribution avec TDDC pour le Fonds Technologies du DD. L'objectif du Fonds Technologies du DD est de faire progresser l'innovation dans le domaine des technologies propres au Canada, notamment en finançant et en soutenant des projets technologiques aux stades du développement pré-commercial et de la démonstration. Le financement du Fonds Technologies du DD est distribué aux projets nommés dans les accords de financement individuels que TDDC maintient avec les promoteurs de projets.
Selon l'accord de contribution, les deux principaux objectifs du Fonds Technologies du DD sont les suivants: contribuer à la réalisation des objectifs environnementaux du Canada, y compris les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre ; et contribuer à la croissance économique durable du Canada en permettant aux entités canadiennes d'être compétitives à l'échelle mondiale dans le secteur des technologies propres.
L’accord de contribution avec TTDC de l’ISDE n'inclut pas les réductions d'émissions prévues dans le cadre des projets individuels financés par le Fonds Technologies du DD.
La contribution fédérale au Fonds Technologies du DD dans le cadre de l'accord de contribution renforcé pour 2021-2026 est de 547 621 802 $, y compris les montants déjà versés à TDDC.
Depuis 2001, le financement annoncé pour le Fonds Technologies du DD s'élève à 2.1 milliards de dollar, soit, en 2001, 100 millions de dollars sur cinq ans; en 2004, 250 millions de dollars sur cinq ans; en 2005, 200 millions de dollars sur cinq ans; en 2011, 40 millions de dollars sur cinq ans; en 2013, 325 millions de dollars sur cinq ans; en 2016, 50 millions de dollars sur cinq ans; en 2017, 400 millions de dollars sur cinq ans; et en 2020, 750 millions de dollars sur cinq ans - le montant total n’a pas été versé.
Depuis sa création, le gouvernement du Canada a déboursé 1 476 941 199 $ à TDDC.
Le financement fédéral au Fonds Technologies du DD ne comprend pas le financement provenant d'autres organismes subventionnaires gérés par l'ISED.
Les critères d'admissibilité des projets pour le Fonds Technologies du DD, tels que décrits dans l'accord de contribution entre ISDE et TDDC, comprennent les projets menés ou principalement menés au Canada par un bénéficiaire final pour développer et démontrer de nouvelles technologies visant à promouvoir le développement durable, par exemple, les technologies liées à l'utilisation finale de l'énergie, dans des secteurs tels que les transports et les bâtiments; les technologies liées au captage et au stockage, à l'utilisation et au stockage, et technologies plus efficaces dont il a été démontré qu'elles entraînent une réduction nette des gaz à effet de serre; les technologies liées à la production d'énergies renouvelables et de carburants à faible teneur en carbone, ainsi que les technologies connexes; les technologies de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans des domaines autres que la production et l'utilisation d'énergie; les technologies d'amélioration de la qualité de l'air; les technologies habilitantes ou transversales, y compris les capteurs et les contrôles, l'efficacité énergétique, la surveillance et les solutions basées sur les données; les technologies d'amélioration de la qualité et de la quantité de l'eau, y compris les technologies de traitement des eaux usées et les technologies de conservation de l'eau; les technologies de gestion des déchets, y compris celles conçues pour prévenir, réduire ou éliminer la production ou le rejet de déchets solides, ainsi que les processus de récupération des matériaux; les technologies d'amélioration de la qualité des sols, y compris l'assainissement des contaminants dans les sols et les sédiments; les technologies liées à la protection, à la gestion et à la restauration des systèmes naturels; les technologies liées à l'agriculture durable et à la production alimentaire, telles que l'agriculture de précision, l'agriculture régénérative, l'agriculture d'intérieur et la production de protéines alternatives ; ou les travaux de développement préliminaire associés aux technologies énumérées précédemment, qui aboutiront à des décisions d'investissement finales pour les projets à forte intensité de capital.
Question no 3019 — M. Tako Van Popta:
En ce qui concerne le programme de Lytton Homeowner Resilient Rebuild: a) combien d’argent a été versé dans le cadre du programme à ce jour; b) combien de bénéficiaires ont reçu des fonds dans le cadre du programme; c) quel était le montant moyen du paiement obtenu; d) combien de demandes ont été reçues à ce jour?
L’hon. Harjit Sajjan (ministre de la Protection civile, ministre responsable de l’Agences de développement économique du Pacifique Canada et président du Conseil privé du Roi pour le Canada, Lib.):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a) de la question, en ce qui concerne le programme Lytton Homeowner Resilient Rebuild Program, Développement économique Canada pour le Pacifique, ou PacifiCan, a distribué 5 000 $ entre le 31 mai 2023 et le 27 septembre 2024. Afin de recevoir la subvention pour les maisons résistantes au feu, ou résistantes au feu et nettes zéro, le propriétaire doit achever la construction de la maison et répondre à toutes les exigences du programme. Au 27 septembre 2024, deux bénéficiaires étaient en train de reconstruire leur maison mais n'avaient pas encore satisfait à l'exigence d'achèvement de la construction de la maison.
Au sujet de la partie b), en date du 27 septembre 2024, un montant total de 477 856 $ a été engagé en faveur de six bénéficiaires.
En ce qui concerne la partie c), le montant moyen des paiements aux bénéficiaires est de 5 000 $ en date du 27 septembre 2024. La moyenne devrait être de 79 643 $ une fois les subventions distribuées.
Quant à la partie d), en date du 27 septembre 2024, PacifiCan a reçu sept demandes. Le programme continuera d'accepter les demandes jusqu'au 31 mars 2026 afin de s'assurer qu'autant de propriétaires admissibles que possible puissent accéder au programme dans les délais prévus pour leur reconstruction
Question no 3024 — Mme Lori Idlout:
En ce qui concerne le Fonds d’équité en santé autochtone, pour l’exercice 2024-2025: a) quels sont les détails de toutes les mesures d’aide financière fondées sur les distinctions offertes aux communautés des Premières Nations, inuites et métisses, y compris (i) le nom de la communauté ou de la nation, (ii) le montant du financement versé, (iii) le responsable du programme ayant autorisé le financement; b) quel est le nombre total de demandes de financement fondé sur les distinctions qui ont été (i) reçues, (ii) approuvées, (iii) refusées; c) quels sont les détails de toutes les initiatives ciblées ayant reçu du financement, y compris (i) le nom de la communauté ou de l’organisation, (ii) le montant du financement versé ou approuvé, (iii) l’initiative ou l’approche financée; d) quel est le nombre total de demandes visant des initiatives ciblées qui ont été (i) reçues, (ii) approuvées, (iii) refusées?
Mme Jenica Atwin (secrétaire parlementaire de la ministre des Services aux Autochtones, Lib.):
Monsieur le Président, à compter de l’exercice 2024-2025, le gouvernement du Canada, par le biais du Fonds d’équité en santé autochtone, investira 2 milliards de dollars sur 10 ans, soit 200 millions de dollars par an, dans les approches dirigées par les Autochtones visant à améliorer l’accès à des services de soins de santé de qualité et culturellement sûrs. Depuis que le Fonds a été annoncé en 2023-2024, Services aux Autochtones Canada et des partenaires des Premières Nations, inuits et métis ont collaboré à sa conception et à sa mise en œuvre. Ainsi, le modèle de financement du Fonds comporte deux volets: le financement fondé sur les distinctions, qui est une aide financière à long terme, prévisible et adaptable pour répondre aux priorités des Premières Nations, des Inuits et des Métis dans le domaine de la santé, soit environ 190 millions de dollars annuellement; et le financement d’initiatives ciblées, qui est une aide financière à court terme aux organisations autochtones pour les priorités novatrices, transversales et axées sur les activités en matière de santé autochtone, soit environ 10 millions annuellement.
En ce qui concerne le financement fondé sur les distinctions, ce soutien financier est réparti annuellement comme suit: 142,5 millions de dollars pour les Premières Nations, 28,5 millions de dollars pour les Inuits et 19 millions de dollars pour les Métis. Dans le cas des Premières Nations, les fonds sont distribués en fonction de la population en tenant compte de la taille et de l’éloignement de la communauté. Pour les Inuits, les affectations aux quatre organisations inuites responsables des traités sont versées conformément aux directives du conseil d’administration de l’Inuit Tapiriit Kanatami, qui respectent la politique de l’Inuit Nunangat. Pour les Métis, les fonds alloués à la Fédération Métis du Manitoba et aux dirigeants actuels du Ralliement national des Métis sont versés conformément à leur résolution historique sur la distribution du financement.
En ce qui concerne la mise en œuvre, il est important de souligner que l’administration des fonds est partagée entre Services aux Autochtones Canada et Relations Couronne-Autochtones et Affaires du Nord Canada, le premier étant responsable de la distribution des fonds aux Premières Nations et de l’administration du financement d’initiatives ciblées, et le second, de la distribution des fonds aux Premières Nations signataires de traités modernes, aux Premières Nations autonomes, aux Inuits et aux Métis. Alors que les fonds sont sur le point d’être distribués à certains partenaires, les deux ministères poursuivent leurs discussions avec les dirigeants autochtones régionaux sur la façon optimale de distribuer ces fonds à leurs communautés, dans le respect du principe de l’autodétermination autochtone. Une fois ces discussions achevées, le financement sera intégralement transféré sous réserve de la réception des plans de mise en œuvre, qui donneront aux deux ministères une idée de leurs priorités en matière de santé.
En ce qui concerne le financement d’initiatives ciblées, un processus d’appel de propositions a été lancé le 3 juin 2024. La date limite de présentation des demandes était le 31 juillet 2024. Dans le cadre de ce processus, près de 60 propositions ont été reçues, totalisant plus de 24 millions de dollars. Le ministère achève son évaluation des demandes et devrait rendre ses décisions de financement d’ici la fin du mois d’octobre. Par conséquent, il serait prématuré à ce stade de fournir des renseignements sur les projets qui ont été soumis. De plus amples détails sur les projets financés dans le cadre de ce volet seront communiqués une fois ces décisions finalisées et transmises aux organisations autochtones.
Question no 3026 — M. John Barlow:
En ce qui concerne le Programme Agri-science (volet grappes) d’Agriculture et Agroalimentaire Canada, ventilé par année pour chacun des dix derniers exercices: a) quelles organisations ont demandé un financement dans le cadre du programme; b) quel montant de financement a été (i) demandé, (ii) reçu, par chaque organisation en a)?
L'hon. Lawrence MacAulay (ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, Lib.):
Monsieur le Président, Agriculture et Agroalimentaire Canada, y compris I’Agence canadienne du pari mutuel, ou AAC, a effectué une recherche préliminaire afin de déterminer la quantité de renseignements qui seraient visés par la question, ainsi que la durée nécessaire pour préparer une réponse approfondie. Les renseignements demandés ne sont pas systématiquement consignés dans une base de données centralisée. AAC a conclu que la production et la validation d’ une réponse approfondie à cette question exigeraient une collecte manuelle de renseignements. Il serait impossible d’ achever une telle recherche dans les délais prescrits et pourrait mener à la divulgation de renseignements incomplets et trompeurs.
Question no 3031 — M. Michael Cooper:
En ce qui concerne l’annonce, faite par le gouvernement le 27 septembre 2023, du versement de 14 millions de dollars pour aider les réfugiés afghans et les collectivités d’accueil affectées par les inondations au Pakistan: a) quelle est la ventilation des 14 millions de dollars, y compris quelle portion a été versée (i) au Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), (ii) à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), (iii) à d’autres destinataires, et combien chacun a-t-il reçu; b) quels sont les détails du montant accordé au HCR, y compris (i) quels projets précis ont été financés, (ii) combien de financement chaque projet a reçu, (iii) qui a administré le projet; c) quels sont les détails du montant accordé à l’OMS, y compris (i) quels projets précis ont été financés, (ii) combien de financement chaque projet a reçu, (iii) qui a administré le projet; d) quels mécanismes de surveillance précis étaient en place pour confirmer que le financement a été dépensé convenablement et qu’il ne s’est pas retrouvé aux mains des talibans ou d’autres groupes qui n’en étaient pas les destinataires voulus?
Mme Anita Vandenbeld (secrétaire parlementaire du ministre du Développement international, Lib.):
Monsieur le Président,ce qui suit reflète la réponse consolidée approuvée au nom des ministres d’Affaires mondiales Canada.
En réponse à la partie a) de la question, le 27 septembre 2023, le gouvernement du Canada a annoncé publiquement le financement de deux projets d’aide au développement, d’une valeur totale de 14 millions de dollars, à l’appui des réfugiés afghans et des communautés d’accueil touchés par la crise des inondations de 2022 au Pakistan. Des 14 millions de dollars annoncés, 10 millions de dollars en financement d’aide au développement ont été fournis par le gouvernement du Canada et reçus directement par le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, ou HCR, à l’appui des efforts de mise en œuvre du projet au Pakistan. Des 14 millions de dollars annoncés, 4 millions de dollars d’aide au développement ont été fournis par le gouvernement du Canada et directement reçus par l’Organisation mondiale de la santé, ou OMS, pour la mise en œuvre de projets au Pakistan. Aucune part des 14 millions de dollars annoncés par le gouvernement du Canada n’a été fournie à d’autres bénéficiaires ou reçue par d’autres bénéficiaires.
En ce qui concerne la partie b), les fonds fournis au HCR par le gouvernement du Canada ont permis de financer des services essentiels pour les réfugiés afghans et les communautés d’accueil confrontés aux inondations au Pakistan. Les 10 millions de dollars d’aide au développement ont permis de financier un projet bilatéral du gouvernement du Canada intitulé « Services essentiels pour les réfugiés afghans et les communautés d’accueil au Pakistan ». Le gouvernement du Canada a alloué la totalité des 10 millions de dollars d’aide au développement au projet « Services essentiels pour les réfugiés afghans et les communautés d’accueil au Pakistan ». Le projet « Services essentiels pour les réfugiés afghans et les communautés d’accueil au Pakistan » est administré entièrement et directement par le HCR au Pakistan.
En ce qui a trait à la partie c), l’aide financière au développement fournie par le gouvernement du Canada à l’OMS visait à soutenir les services de santé destinés aux réfugiés afghans et aux communautés d’accueil dans les zones touchées par les inondations au Pakistan. Les 4 millions de dollars d’aide au développement ont permis de soutenir le projet intitulé « Assistance sanitaire aux réfugiés afghans et aux communautés d’accueil au Pakistan ». Le projet « Assistance sanitaire aux réfugiés afghans et aux communautés d’accueil au Pakistan » a reçu la totalité des 4 millions de dollars prévus. Le projet « Assistance sanitaire aux réfugiés afghans et aux communautés d’accueil au Pakistan » est administré directement par l’OMS au Pakistan.
Quant à la partie d), les fonds du projet ont été directement fournis par le gouvernement du Canada au HCR et à l’OMS pour des programmes destinés à soutenir les réfugiés afghans et les communautés d’accueil situées au Pakistan. Affaires mondiales Canada fait preuve de diligence raisonnable pour superviser et contrôler la mise en œuvre et l’exécution des projets afin de garantir l’utilisation efficace des fonds canadiens aux fins approuvées. Ces efforts comprennent, entre autres, des visites sur les sites de mise en œuvre des projets au Pakistan, des rencontres avec les partenaires et les bénéficiaires des projets au Pakistan, et l’obligation pour les partenaires de programmation de fournir au gouvernement du Canada des rapports financiers et des rapports sur les résultats des projets. De plus, le gouvernement du Canada inclut des clauses antiterroristes dans ses accords de financement avec les partenaires humanitaires et de développement afin d’éviter que les fonds ne soient détournés.
Les liens utilisés sont les suivants: communiqué de presse du gouvernement du Canada, annonce de projet, le 27 septembre 2023, « Le Canada annonce l’octroi d’un financement pour aider la population réfugiée afghane et les communautés d’accueil touchées par les inondations de l’année dernière au Pakistan » – Canada.gc.ca; lien de la Banque de projets d’Affaires mondiales Canada – Renseignements sur le projet mis en œuvre par le HCR, dernière mise à jour, septembre 2024, Profil de projet — Services essentiels pour les réfugiés afghans et les communautés d’accueil au Pakistan — Banque de projets – Canada.ca et international.gc.ca; lien de la Banque de projets d’Affaires mondiales Canada – Renseignements sur le projet mis en œuvre par l’OMS, dernière mise à jour, septembre 2024, Profil de projet — Assistance sanitaire aux réfugiés afghans et aux communautés d’accueil au Pakistan — Banque de projets – Canada.ca et international.gc.ca.
Question no 3033 — M. Kyle Seeback:
En ce qui concerne Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC): a) de quelle manière IRCC utilise-t-il l’intelligence artificielle (IA) dans le traitement des demandes; b) quels sont les préoccupations ou les enjeux concernant l’utilisation de l’IA dans le traitement des demandes dont IRCC a connaissance, et comment a-t-on répondu à chacune de ces préoccupations ou à chacun de ces enjeux; c) IRCC utilise-t-il l’IA dans d’autres circonstances que le traitement des demandes et, le cas échéant, comment l’utilise-t-il?
M. Paul Chiang (secrétaire parlementaire du ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, Lib.):
Monsieur le Président en ce qui concerne Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, ou IRCC, en réponse à la partie a) de la question, IRCC utilise l’analytique avancée, ou AA, l’intelligence artificielle, ou IA, et d’autres systèmes d’aide à la décision automatisée, ou SADA, non basés sur l’IA pour cerner rapidement les demandes courantes en vue d’un traitement simplifié et rendre des décisions favorables pour ces demandes, ainsi que pour exercer d’autres fonctions, comme le tri des demandes sur la base de caractéristiques communes et le signalement de facteurs de risque potentiels qui pourraient ensuite faire l’objet d’enquêtes par des agents.
Cela permet à IRCC d’automatiser certaines étapes du traitement des demandes courantes. En tirant parti de la technologie, IRCC est en mesure d’affecter ses agents à des demandes plus complexes et d’accroître l’efficacité du traitement.
Ces systèmes n’utilisent pas l’IA opaque, n’apprennent pas, ni ne s’adaptent automatiquement, et ne sont pas utilisés afin de refuser des demandes, de recommander le refus de demandes ou de refuser l’entrée au Canada. IRCC n’utilise aucun outil d’IA générative externe, comme ChatGPT, afin d’appuyer la prise de décisions dans le cadre des demandes des clients. Les agents d’IRCC demeurent cruciaux pour le traitement des dossiers d’immigration et continuent d’exercer leur autorité et leur pouvoir discrétionnaire dans la prise de décisions.
Au sujet de4 la partie b), IRCC est conscient que l’utilisation de l’IA dans le traitement des demandes soulève des inquiétudes liées à la partialité, à la transparence, à la protection des renseignements personnels, à l’exactitude, à la fiabilité, etc.
À l’heure actuelle, aucun outil d’aide à la décision automatisée d’IRCC, y compris ses outils conçus avec l’AA et l’IA, ne peut refuser une demande ni recommander un refus à un agent. Toutes les décisions finales de refus de demandes sont prises par des agents après des évaluations individuelles des dossiers. Les agents obtiennent une formation sur les SADA d’IRCC afin de veiller à ce qu’ils comprennent que l’absence d’une approbation automatisée ne constitue pas une recommandation de refus d’une demande.
Afin de répondre aux préoccupations ou aux problèmes liés à l’IA, IRCC suit les directives du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, ou SCT, et procède à des évaluations de l’incidence algorithmique, ou EIA, pour tous les systèmes et les outils d’aide à la décision automatisée pertinents qui jouent un rôle dans la prise de décisions administratives, que ces systèmes utilisent ou non l’IA. L’EIA est un processus de gouvernance du gouvernement du Canada destiné à aider à déterminer les risques et à atténuer les effets négatifs potentiels des systèmes de prise de décisions automatisées.
Le ministère a également élaboré des lignes directrices détaillées, notamment le Guide de politique sur le soutien automatisé à la prise de décision, pour aider à déterminer de quelle façon ces technologies peuvent être utilisées de manière responsable et efficace. IRCC a également établi un cadre de gouvernance interne afin de s’assurer que les outils d’IA d’aide à la décision fassent l’objet d’un processus d’examen et d’approbation rigoureux, y compris une coordination avec des experts juridiques, des experts en politiques et des experts en protection des renseignements personnels.
Par ailleurs, IRCC a approuvé sa stratégie globale en matière d’IA, qui est en cours de finalisation et qui sera publiée dans les mois à venir. Cette stratégie décrit l’approche responsable du ministère à l’égard de l’adoption de l’IA, et elle met fortement l’accent sur la mise en œuvre d’une gouvernance solide de l’IA tout en intégrant de nouvelles politiques, lignes directrices et pratiques exemplaires.
En ce qui a trait à la partie c), IRCC utilise l’IA au-delà du simple traitement des demandes: il met actuellement l’IA à l’essai afin de détecter des fraudes, de trier les courriels des clients pour leur fournir des réponses plus rapidement et d’appuyer la recherche et l’élaboration de politiques. IRCC utilise également la vision par ordinateur alimentée par l’IA pour aider à valider l‘identité, recadrer les photos de passeport et superviser le déroulement de l’examen pour la citoyenneté en ligne afin d’éviter la tricherie. IRCC utilise le traitement du langage naturel afin de classer les demandes des clients, ce qui alimente QUAID, un robot conversationnel qui traite les demandes de renseignements générales au moyen de réponses préétablies, allégeant la tâche des agents pour qu’ils se concentrent sur le soutien à la clientèle. Enfin, IRCC a autorisé l’utilisation d’outils d’IA générative publics, tels que ChatGPT et CoPilot, afin d’accroître la productivité des employés, rédaction de courriels, traduction, rédaction de présentations, etc., et a offert à ces derniers une orientation conforme à la politique du SCT sur l’utilisation de l’IA générative à des fins de productivité personnelle.
Conformément à la Loi sur la protection des renseignements personnels et à la Loi sur l’accès à l’information, IRCC a rédigé un guide interne sur l’utilisation de l’IA générative dans le cadre du traitement des demandes. On a clairement indiqué aux employés que la saisie de renseignements personnels, de nature délicate, classifiés et protégés dans les outils d’IA externes ne respecte pas la LPRP ni l’approche d’IRCC. En outre, IRCC informe les employés et suit la directive du SCT récemment publiée, L’IA générative dans votre travail au quotidien, qui décrit comment l’IA générative devrait et ne devrait pas être utilisée.
Question no 3036 — M. Matt Jeneroux:
En ce qui concerne l’annonce du premier ministre selon laquelle Mark Carney va présider le groupe de travail du premier ministre sur la croissance économique: a) le gouvernement a-t-il obtenu la liste des autres membres du groupe de travail et, le cas échéant, qui sont-ils; b) le gouvernement sait-il quand le groupe de travail s’est réuni et, le cas échéant, à quelles dates les réunions ont-elles eu lieu; c) le groupe de travail a-t-il formulé des recommandations au gouvernement sur la croissance économique et, le cas échéant, lesquelles?
M. Terry Duguid (secrétaire parlementaire du premier ministre et conseiller spécial de l’eau, Lib.):
Monsieur le Président, la personne nommée dans la question n'a pas été nommée à un poste au sein du gouvernement du Canada depuis octobre 2007, date à laquelle il a été nommée gouverneur de la Banque du Canada par l'honorable Jim Flaherty, alors ministre des Finances.
:
Madame la Présidente, si les questions n
os 2999 à 3002, 3004 à 3009, 3011 à 3018, 3020 à 3023, 3025, 3027 à 3030, 3032, 3034, 3035, 3037 et 3038 pouvaient être transformées en ordres de dépôt de documents, les documents seraient déposés immédiatement sous forme électronique.
[Français]
[Texte]
Question no 2999 — M. Gérard Deltell:
En ce qui concerne le financement gouvernemental accordé à Équiterre, depuis le 4 novembre 2015, ventilé par ministère ou organisme: a) quels sont les détails de chaque cas où le gouvernement a accordé un financement à Équiterre, y compris, pour chacun, (i) la date, (ii) le montant, (iii) le type de financement (subvention, prêt, contrat, etc.), (iv) les détails de l'accord de financement, (v) l'objet du financement; b) pour chaque cas de financement prenant la forme d'un contrat, le contrat a-t-il été attribué dans le cadre d'un processus d'appel d'offres à fournisseur unique ou concurrentiel?
(Le document est déposé.)
Question no 3000 — Mme Cathay Wagantall:
En ce qui concerne l’aide gouvernementale à la disposition des usagers du Programme d’aide à la réinstallation (PAR) d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada: a) quel est l’éventail de la durée du programme à partir de la date d’entrée au Canada d’un usager; b) sur quels critères s’appuie-t-on pour déterminer la durée du programme pour chaque usager; c) quels sont les critères nécessaires au prolongement du programme, et pour combien de temps celui-ci peut-il être prolongé; d) sur quels critères s’appuie-t-on pour déterminer le montant des allocations payables à chaque usager; e) quel est le montant total possible de l’allocation mensuelle par catégorie d’usager; f) quel est le montant total possible de l’allocation mensuelle en vertu de la politique d’incitation à l’emploi du PAR par catégorie d’usager; g) quel est le montant total auquel les bénéficiaires du PAR ont droit chaque mois au titre de la prestation fiscale pour enfants par catégorie d’usager; h) quel est le montant total auquel les bénéficiaires ont droit par mois au titre du supplément à l’allocation pour le logement du PAR par catégorie d’usager; i) quel montant total est engagé pour l’allocation initiale auquel les usagers du programme ont droit, ventilé en fonction de la catégorie d’usager; j) quelles sont les allocations minimales et maximales des autres sources de revenus disponibles pour les usagers du PAR, ventilées en fonction de la catégorie d’usager et du type de revenu?
(Le document est déposé.)
Question no 3001 — M. Clifford Small:
En ce qui concerne les écloseries de saumon financées par le gouvernement fédéral en Colombie-Britannique, dans les Maritimes et à Terre-Neuve-et-Labrador: a) combien d’écloseries de saumon financées par le gouvernement fédéral sont actuellement exploitées (i) en Colombie-Britannique, (ii) dans les Maritimes, (iii) à Terre-Neuve-et-Labrador; b) quelles ont été les sommes annuelles du financement fédéral consacré aux écloseries, ventilées pour chacune des cinq dernières années, (i) en Colombie-Britannique, (ii) dans les Maritimes, (iii) à Terre-Neuve-et-Labrador; c) combien de saumoneaux au total ont été libérés de ces écloseries, ventilé pour chacune des cinq dernières années, (i) en Colombie-Britannique, (ii) dans les Maritimes, (iii) à Terre-Neuve-et-Labrador; d) pour chacune des cinq années à venir, combien d’écloseries additionnelles sont prévues pour (i) la Colombie-Britannique, (ii) les Maritimes, (iii) Terre-Neuve-et-Labrador; e) pour chacune des cinq années à venir, combien de saumoneaux additionnels seront relâchés (i) en Colombie-Britannique, (ii) dans les Maritimes, (iii) à Terre-Neuve-et-Labrador; f) pour chacune des cinq années à venir, quelles dépenses additionnelles seront requises pour les écloseries additionnelles, ventilées pour chacune des régions en d)?
(Le document est déposé.)
Question no 3002 — M. Clifford Small:
En ce qui concerne les renseignements dont dispose le ministère des Pêches et des Océans sur la morue du Nord, le flétan du Groenland et le sébaste: a) pour la morue du Nord, quel est le taux de prise moyen (i) par filet, par heure, dans un filet à mailles de 5,5 pouces dans les zones 2J, 3K et 3L de l’Organisation des pêches de l’Atlantique Nord-Ouest (OPANO), en kilogrammes, (ii) par hameçon utilisé dans les zones 2J, 3K et 3L de l’OPANO, en kilogrammes, ventilé par zone au cours de chacune des cinq dernières années, selon les journaux de pêcheurs; b) pour le flétan du Groenland, quel (i) est le taux de prise moyen, par filet, par heure, dans les zones 2J, 3K et 3L de l’OPANO dans des filets maillants, ventilé par zone au cours de chacune des cinq dernières années, (ii) pourcentage de la zone de migration se trouve dans les eaux canadiennes par rapport aux eaux de l’OPANO à l’extérieur de la limite des 200 milles du Canada, (iii) pourcentage du quota est délivré à la flotte canadienne par rapport à l’allocation de l’OPANO, (iv) est la biomasse pour chacune des cinq dernières années pour le stock à l’intérieur et à l’extérieur de la limite de 200 milles du Canada; c) pour le sébaste, quelle est la biomasse dans les zones 2J et 3K de l’OPANO au cours de chacune des sept dernières années, ventilée par zone et par année?
(Le document est déposé.)
Question no 3004 — M. Kelly McCauley:
En ce qui concerne l’aide financière fournie par le gouvernement aux territoires palestiniens (Gaza): a) quel est le montant total de l’aide financière accordée aux territoires palestiniens (Gaza) (i) entre le 1er janvier 2016 et le 31 décembre 2022, (ii) entre le 1er janvier 2023 et le 30 septembre 2023, (iii) depuis le 1er octobre 2023; b) quelle est la ventilation des montants en a) par programme fédéral spécifique par lequel l’aide a été administrée; c) quels sont les détails de chaque subvention, y compris (i) le site Web où il est possible de demander la subvention en ligne, (ii) la date de la demande, (iii) le ministère ou l’organisme chargé de la gestion de l’aide ou de la subvention, (iv) l’objet de l’aide fédérale ou de la subvention accordée aux territoires palestiniens (Gaza), (v) la date d’octroi de l'aide, (vi) le bénéficiaire, (vii) le numéro de dossier; d) l’aide fédérale a-t-elle été accordée directement aux territoires palestiniens (Gaza) ou à une organisation tierce et, le cas échéant, quel a été le montant accordé à chacun d’entre eux; e) si l’aide a été accordée à des organisations tierces, (i) quels sont les noms de chaque organisation, (ii) quelles sont les dates auxquelles l’aide ou la subvention a été accordée, (iii) quelle est la justification pour le choix de chaque organisation, (iv) quel est le montant total accordé à chaque organisation, (v) quelles obligations en matière de déclaration ont été imposées à chaque organisation concernant l’utilisation de l’aide, s'il y a lieu?
(Le document est déposé.)
Question no 3005 — Mme Niki Ashton:
En ce qui concerne la réponse du gouvernement à la question Q-2695 au Feuilleton au sujet des personnes qui ont été obligées de rembourser les prestations qu’elles ont reçues pendant la COVID, telles que la Prestation canadienne d’urgence, la Prestation canadienne d’urgence pour étudiants, la Prestation canadienne de la relance économique, la Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants, la Prestation canadienne de maladie pour la relance économique et la Prestation canadienne pour les travailleurs en cas de confinement, ou dont les prestations ont été récupérées par l’ARC: a) quel est le nombre de personnes dont les prestations reçues pendant la COVID-19 ont été remboursées ou récupérées, ventilé par (i) groupe de revenu, (ii) province ou territoire de résidence; b) quel est le nombre total de personnes touchées, et à combien s’élève le montant total des remboursements faits au gouvernement ou des sommes récupérées par celui-ci?
(Le document est déposé.)
Question no 3006 — M. Peter Julian:
En ce qui concerne les initiatives de recentrage des dépenses du gouvernement dans les ministères et agences, ventilé par poste et par année: quels programmes et quelles initiatives (i) de la Société canadienne d’hypothèques et de logement, (ii) du ministère de la Défense nationale, (iii) du ministère des Anciens Combattants, (iv) du ministère de la Santé, (v) de l’Agence de santé publique du Canada, devraient faire l’objet d’un recentrage du financement?
(Le document est déposé.)
Question no 3007 — M. Rick Perkins:
En ce qui concerne les réunions du conseil d’administration de la Banque de l’infrastructure du Canada tenues entre le 1er décembre 2022 et le 30 avril 2024, au cours desquelles une déclaration, un conflit, la perception d’un conflit possible, une abstention ou une récusation aurait été noté au procès-verbal: quels sont les détails relatifs à chaque cas noté au procès-verbal des réunions, ventilés par membre du conseil d’administration, y compris (i) la décision en question, (ii) le montant du financement visé par la décision, (iii) le nom de l’entité bénéficiaire du financement visé par la décision, (iv) le nom du membre du conseil d’administration pour lequel une déclaration, un conflit, la perception d’un conflit possible, une abstention ou une récusation a été noté, (v) la raison pour laquelle la déclaration, le conflit, la perception d’un conflit possible, l’abstention ou la récusation a été divulgué par le membre du conseil d’administration, (vi) le fait que le membre du conseil d’administration avait ou n’avait pas un intérêt personnel dans la décision?
(Le document est déposé.)
Question no 3008 — M. Rick Perkins:
En ce qui concerne les patrouilles d’application de la loi sur l’eau et à quai exécutées par les agents d’application de la loi de Pêches et Océans Canada dans les zones de pêche du homard 34 et 35 du 1er juillet 2024 au 20 septembre 2024: quels sont les détails de chaque patrouille, y compris (i) la date où elle a été réalisée, (ii) le nombre d’agents d’application de la loi présents, (iii) la durée, (iv) les zones de pêche du homard visées, (v) le nombre de contraventions assorties d’amendes qui ont été délivrées, (vi) le nombre d’arrestations, (vii) le nombre de personnes détenues, (viii) le nombre de casiers à homard confisqués?
(Le document est déposé.)
Question no 3009 — M. Rick Perkins:
En ce qui concerne les vêtements pour pompiers détenus, ou achetés, par le gouvernement: a) combien de vêtements achetés par le gouvernement depuis 2015 comportent des substances perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques (SPFA) ou des revêtements; b) quels sont les détails de chaque achat en a), y compris (i) l’année de l’achat, (ii) la dénomination sociale du fournisseur, (iii) la dénomination sociale du fabricant, (iv) le lieu où est situé le fabricant, (v) le nombre total de vêtements achetés, (vi) le coût total des vêtements achetés; c) combien de vêtements pour pompiers comportant des SPFA ou des revêtements ont été éliminés à un moment ou l’autre depuis 2018; d) pour chaque élimination en c), quel était (i) le nombre total de vêtements éliminés, (ii) la méthode d’élimination, (iii) l’entité ou le fournisseur qui a éliminé les vêtements, (iv) la date à laquelle ils ont été éliminés, (v) le lieu où se situe l’entité responsable de l’élimination?
(Le document est déposé.)
Question no 3011 — M. Bob Zimmer:
En ce qui concerne le projet d’assainissement de la mine Giant: a) quelle part des 800 millions de dollars que Services publics et Approvisionnement Canada a reçus pour le projet a été octroyée à (i) l’interne, (ii) des entrepreneurs de l’extérieur, (iii) des consultants; b) quels sont les noms des consultants en a)(iii) et de leurs organisations; c) quel montant a été dépensé jusqu’à maintenant sur le projet, au total et ventilé selon (i) l'objet, (ii) le bénéficiaire du financement, (iii) la date de la dépense?
(Le document est déposé.)
Question no 3012 — M. Bob Zimmer:
En ce qui concerne le nouveau système de sac de couchage polyvalent (SSCP) commandé par le ministère de la Défense nationale: a) quels sont les détails du contrat, y compris le montant accordé pour (i) le développement, (ii) la fabrication, (iii) la distribution, du SSCP; b) quelles sont les entreprises qui ont été retenues pour l’achat du SSCP, ventilées selon (i) les parties contractantes, (ii) la valeur du contrat, (iii) la nature ou la description du travail, (iv) les dates de début et de fin; c) dans quel pays les produits du SSCP ont-ils été fabriqués; d) combien de ces SSCP ont été fabriqués au total; e) combien de ces SSCP ont été distribués aux Forces armées canadiennes?
(Le document est déposé.)
Question no 3013 — M. Robert Kitchen:
En ce qui concerne l’embauche à l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) depuis le 1er janvier 2019: a) combien de nouveaux emplois ou postes équivalents temps plein ont été créés à l’ASPC, ventilé par année; b) quelle est la ventilation de a) selon (i) la catégorie de poste, (ii) le lieu, (iii) le niveau de classification du Conseil du Trésor, ou niveau de groupe professionnel, et fourchette salariale associée; c) l’ASPC a-t-elle éliminé des postes et, le cas échéant, combien d’emplois ou de postes équivalents temps plein a-t-elle éliminés par année; d) quelle est la ventilation de c) selon (i) la catégorie de poste, (ii) le lieu, (iii) le niveau de classification du Conseil du Trésor, ou niveau de groupe professionnel, et fourchette salariale associée?
(Le document est déposé.)
Question no 3014 — M. Larry Maguire:
En ce qui concerne la production et l’impression de passeports au Manitoba depuis 2015: a) combien d’imprimantes de passeports sont actives au Manitoba; b) où se trouvent les imprimantes en a); c) quel est le nombre total de passeports imprimés au Manitoba, ventilé par année, à chaque emplacement; d) combien de pannes d’imprimantes ont eu lieu, ventilées par année, à chaque emplacement; e) en moyenne, pendant combien de temps les pannes ont-elles perturbé les activités d’impression; f) combien de demandes de passeport ont été reçues du Manitoba au Centre Service Canada de Gatineau-Hull et Services de passeport?
(Le document est déposé.)
Question no 3015 — M. Peter Julian:
En ce qui concerne les investissements fédéraux en matière de soins de santé, depuis le 1er octobre 2021: a) combien de préposés aux bénéficiaires ont été formés grâce au financement fédéral, ventilé par province ou territoire et par année; b) ventilé par province ou territoire, quel est le nombre total de préposés aux bénéficiaires qui (i) travaillent actuellement, (ii) gagnent au moins 25 $ de l’heure grâce aux investissements fédéraux, (iii) gagnent moins de 25 $ de l’heure?
(Le document est déposé.)
Question no 3016 — M. Peter Julian:
En ce qui concerne le Régime canadien de soins dentaires, ventilé par circonscription fédérale: quel est le nombre total de fournisseurs de soins de santé buccodentaire qui participent au Régime canadien de soins dentaires?
(Le document est déposé.)
Question no 3017 — Mme Elizabeth May:
En ce qui concerne la gestion par Trans Mountain Corporation du pipeline Trans Mountain et des dangers de fuite qu’il comporte: a) Trans Mountain Corporation est-il préparé à confiner un déversement de bitume dilué, qui peut rester à la surface de l’eau ou couler selon les conditions; b) d’où viendra le personnel de nettoyage des plages; c) ce personnel sera-t-il formé pour le nettoyage de matières dangereuses; d) a-t-on dressé un plan pour protéger les citoyens qui voudraient participer au nettoyage; e) quand le système de détection des fuites par fibre optique sera-t-il mis en service; f) lorsque ce système sera mis en service, sur quelle longueur du pipeline n’y aura-t-il pas un double système de détection des fuites; g) sur quelles parties du pipeline se trouvent les sections qui ne seront pas protégées par un double système de détection; h) comment assurera-t-on la surveillance des sections du pipeline qui ne seront pas protégées par un double système de détection; i) à propos de la suggestion de Transports Canada selon laquelle certaines personnes devraient être évacuées en cas de déversement dans l’inlet Burrard ou dans la baie English, quels plans a-t-on dressés pour prendre soin des personnes évacuées; j) combien de personnes dans la zone d’évacuation envisagée (i) font de l’asthme ou ont une maladie pulmonaire chronique, (ii) ne pourraient pas supporter les émanations d’une fuite de bitume dilué, (iii) auraient besoin de soins particuliers lors d’une évacuation à cause d’une autre incapacité; k) combien de personnes s’attend-on à évacuer en cas de déversement marin mineur; l) a-t-on évalué la capacité des hôpitaux à prendre en charge des blessés, y compris des grands brûlés; m) a-t-on évalué la capacité des services de sécurité incendie locaux à intervenir en cas de fuite; n) mène-t-on régulièrement des exercices d’intervention et, le cas échéant, à quelle fréquence en fait-on; o) les services d’incendie auxquels on ferait appel si la cargaison d’un pétrolier prenait feu ont-ils une expérience de la lutte contre les feux de végétation et les feux de zone qui se produiraient dans l’inlet Burrard; p) a-t-on fait des études pour confirmer qu’il est possible de nettoyer un déversement de bitume dilué dans divers milieux marins et, le cas échéant, quels sont les détails de ces études, y compris (i) leur date de publication, (ii) le résumé de leur contenu et de leurs conclusions?
(Le document est déposé.)
Question no 3018 — Mme Elizabeth May:
En ce qui concerne le pipeline Trans Mountain en Colombie-Britannique (C.-B.): a) en cas de déversement de bitume dilué nécessitant des évacuations, Transports Canada dispose-t-il de lignes directrices pour un plan d’intervention qui permettrait au Bureau des évaluations environnementales (BEE) de la C.-B. de protéger la santé humaine dans cette province; b) le gouvernement fédéral peut-il confirmer les responsabilités juridiques, environnementales et de santé humaine qui pèseront sur la province du fait de l’exploitation du pipeline; c) quel soutien le gouvernement fédéral offre-t-il à la C.-B. pour garantir la mise en place d’un plan d’intervention en cas de déversement; d) l’examen fédéral du pipeline Trans Mountain a-t-il été harmonisé avec le processus du BEE de la C.-B., en particulier en ce qui concerne la santé humaine et les mesures d’intervention en cas de déversement; e) si l’examen en d) a été réalisé, quelles mesures ont été prises au cours de ce processus; f) les étapes en d) ont-elles été consignées et les résultats sont-ils disponibles; g) le gouvernement fédéral est-il au courant de la raison pour laquelle l’exploitation du pipeline est allée de l’avant, avec pour effet l’expédition de bitume dilué et un trafic de pétroliers décuplé, malgré le fait que le gouvernement de la C.-B. n’a pas accordé de certification d’autorisation environnementale final pour les interventions maritimes?
(Le document est déposé.)
Question no 3020 — M. Tako Van Popta:
En ce qui concerne les entités qui doivent de l’impôt à l’ARC au titre de taxes d’accise impayées sur le cannabis: a) combien ont demandé une protection contre leurs créanciers ou ont fait faillite, ventilées par année depuis la légalisation du cannabis; b) quel montant de taxes d’accise a été radié au total et ventilé par province ou territoire de l’entité qui devait les taxes; c) pour chaque entité qui devait des taxes d’accise impayées sur le cannabis et dont le montant dû a été radié par l’ARC, quels sont les détails, y compris (i) le nom de l’entité, (ii) l’emplacement, (iii) le montant radié, (iv) la date de la radiation, (v) la raison de la radiation?
(Le document est déposé.)
Question no 3021 — M. Philip Lawrence:
En ce qui concerne les dépenses engagées par le gouvernement pour des projets d’infrastructures portuaires au Canada depuis 2019, ventilé par année et par ministère, organisme ou autre source de fonds: a) quel a été le montant total du financement versé à chaque port, y compris, pour chacun, (i) le nom du port, (ii) le montant du financement, (iii) la description du projet ou de l’objectif du financement; b) pour chaque montant en a) qui était destiné à un projet particulier, (i) quel est le lieu du projet, (ii) quelle est la description du projet, (iii) quelle est la ventilation des coûts liés à la contribution financière du gouvernement et à toutes les autres contributions financières connues, (iv) quel est le coût total du projet?
(Le document est déposé.)
Question no 3022 — M. John Williamson:
En ce qui concerne les patrouilles d’application de la loi sur l’eau et à quai exécutées par les agents d’application de la loi de Pêches et Océans Canada dans les zones de pêche du homard 38, 37 and 36 du 1er juillet 2024 au 20 septembre 2024: quels sont les détails de chaque patrouille, y compris (i) la date où elle a été réalisée, (ii) le nombre d’agents d’application de la loi présents, (iii) la durée, (iv) les zones de pêche du homard visées, (v) le nombre de contraventions assorties d’amendes qui ont été délivrées, (vi) le nombre d’arrestations, (vii) le nombre de personnes détenues, (viii) le nombre de casiers à homard confisqués?
(Le document est déposé.)
Question no 3023 — M. Michael Kram:
En ce qui concerne le Programme de remise en état des mines abandonnées du Nord de Relations Couronne-Autochtones et Affaires du Nord Canada: a) quels sont, selon le gouvernement, les enjeux particuliers sur le plan (i) technique (ii) géologique, (iii) environnemental, (iv) social, du projet de remise en état de la mine Faro; b) quels sont, selon le gouvernement, les coûts et les répercussions sur le plan (i) environnemental, (ii) économique, (iii) social, si on n’entreprend pas la remise en état de la mine Faro; c) quel est le budget prévisionnel de la remise en état de la mine de Faro (i) pour la remise en état intégrale, (ii) ventilé par année jusqu’à l’achèvement du projet; d) les consultants engagés par le gouvernement jusqu’à présent ont-ils recommandé des travaux d’entretien du site après la remise en état prévue pour 2036-2037; e) quelle est, s'il y a lieu, la durée estimée de l’entretien permanent du site après la remise en état; f) quels sont les coûts annuels estimés pour l’entretien après la remise en état; g) quelles ont été les dépenses totales pour (i) les consultants, (ii) la construction et l’entretien, (iii) les matériaux, chaque année de 2020-2021 à 2024-2025; h) quels sont les détails de tous les contrats de services-conseils signés dans le cadre du programme, y compris, pour chacun, (i) la date, (ii) le fournisseur, (iii) le montant, (iv) la description des biens ou des services, (v) les questions ayant fait l’objet d’une consultation, (vi) la manière dont le contrat a été attribué (fournisseur exclusif ou appel d’offres); i) le gouvernement a-t-il organisé des consultations publiques concernant le programme depuis le 1er janvier 2020 et, le cas échéant, quels sont les détails de chaque consultation, y compris (i) la date, (ii) le lieu, (iii) la forme (réunion publique, questionnaire en ligne, etc.), (iv) le nom de la personne qui l’a réalisée, (v) les dépenses totales connexes, ventilées par type de dépense, (vi) le résumé des commentaires reçus à la suite de la consultation; j) selon les estimations du gouvernement, combien de personnes sont actuellement concernées (i) directement, (ii) indirectement, par le site minier?
(Le document est déposé.)
Question no 3025 — Mme Lori Idlout:
En ce qui concerne les sites contaminés et les décharges au Nunavut: a) quelle est la liste complète de tous les sites contaminés et décharges dont le gouvernement du Canada est responsable, ventilés selon (i) l’emplacement, (ii) le ministère ou l’organisme fédéral responsable, (iii) la date de l’ajout du site au répertoire des sites, (iv) le niveau de priorité, (v) l’étape ou l’état d’assainissement; b) quels sont les processus, formules, méthodes et autres facteurs pris en compte dans (i) la détermination du niveau de priorité du site, (ii) la réévaluation du niveau de priorité du site, y compris les facteurs qui déclenchent la réévaluation et les délais associés à la réévaluation régulière?
(Le document est déposé.)
Question no 3027 — M. John Barlow:
En ce qui concerne la taxe sur le carbone, ou tarification du carbone: a) durant l’exercice 2023-2024, à combien s’est élevé le coût annuel de la gestion (i) des activités de perception de la taxe sur le carbone, (ii) du programme de remise sur le carbone; b) durant l’exercice 2023-2024, combien d’employés ou d’équivalents temps plein ont été affectés (i) à la perception de la taxe sur le carbone, (ii) au programme de remise sur le carbone; c) quels sont les coûts prévus, ventilés par année de maintenant à 2030, de la gestion (i) des activités de perception de la taxe sur le carbone, (ii) du programme de remise sur le carbone?
(Le document est déposé.)
Question no 3028 — M. Scot Davidson:
En ce qui concerne les employés du gouvernement et les équivalents temps plein au niveau exécutif (EX) ou supérieur: a) quel était le nombre de ces employés au cours (i) de l’exercice 2015-2016, (ii) de l’exercice 2023-2024, au total et ventilé par ministère, organisme ou société d’État; b) quel était le montant versé en salaires et autres compensations financières à ces employés au cours (i) de l’exercice 2015-2016, (ii) de l’exercice 2023-2024, au total et ventilé par ministère, organisme ou société d’État?
(Le document est déposé.)
Question no 3029 — M. John Nater:
En ce qui concerne l’utilisation de la flotte d’aéronefs Challenger du gouvernement, depuis le 1er avril 2024: quels sont les détails des étapes de chaque vol, y compris (i) la date, (ii) le point de départ, (iii) la destination, (iv) le nombre de passagers, (v) le nom et le titre des passagers, à l'exclusion des agents de sécurité ou des membres des Forces armées canadiennes, (vi) le montant total de la facture de traiteur pour le vol, (vii) le volume de carburant utilisé, ou son estimation, (viii) le montant dépensé pour le carburant?
(Le document est déposé.)
Question no 3030 — M. John Nater:
En ce qui concerne l’utilisation de la flotte d’aéronefs Airbus et Polaris du gouvernement depuis le 1er avril 2024: quels sont les détails des étapes de chaque vol, y compris (i) la date, (ii) le point de départ, (iii) la destination, (iv) le nombre de passagers, (v) le nom et le titre des passagers, à l’exclusion des agents de sécurité ou des membres des Forces armées canadiennes, (vi) le montant total de la facture de traiteur pour le vol, (vii) le volume de carburant utilisé, ou son estimation, (viii) le montant dépensé pour le carburant, (ix) le type d’avion?
(Le document est déposé.)
Question no 3032 — M. Kyle Seeback:
En ce qui concerne le traitement des demandes envoyées à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC): a) combien d’employés ou d’équivalents temps plein ont traité les demandes envoyées à IRCC, ventilés par mois depuis le 1er janvier 2024; b) combien de demandes ont été traitées par IRCC, ventilées par mois depuis le 1er janvier 2024; c) quels sont les objectifs ou les volumes de demandes que les employés d'IRCC affectés au traitement des demandes doivent atteindre chaque jour?
(Le document est déposé.)
Question no 3034 — M. Jeremy Patzer:
En ce qui concerne les rapports entre le gouvernement et Brookfield Asset Management et Brookfield Global Integrated Solutions: a) quelles sont les mesures en place, s'il y a lieu, pour garantir que Brookfield et ses filiales ne bénéficient pas d’un traitement spécial ou favorable en matière de contrats gouvernementaux en raison de la nomination de Mark Carney en tant que conseiller du premier ministre; b) des mesures ont-elles été prises pour supprimer le nom des entreprises qui ont soumis une offre dans les documents destinés à ceux qui attribuent les contrats gouvernementaux, afin de garantir que les gestionnaires des approvisionnements ou les ministres qui prennent des décisions en matière d’approvisionnement n’accordent pas un traitement favorable à Brookfield, et sinon, pourquoi; c) à quelle date chacune des mesures en a) et b) est-elle entrée en vigueur?
(Le document est déposé.)
Question no 3035 — M. Matt Jeneroux:
En ce qui concerne les contrats et accords que le gouvernement a conclus avec Brookfield Asset Management, Brookfield Global Integrated Solutions ou toute filiale de Brookfield, depuis le 4 novembre 2015, et ventilé par ministère, agence ou société d’État: quels sont les détails de tous les contrats ou accords, y compris, pour chacun, (i) la date, (ii) le fournisseur, (iii) le montant initial du contrat, (iv) le montant actuel ou final du contrat, (v) la description des biens ou services fournis, (vi) la manière dont le contrat a été attribué (appel d’offres ou fournisseur unique)?
(Le document est déposé.)
Question no 3037 — M. Matthew Green:
En ce qui concerne la mise en œuvre et l’application du Règlement du Code canadien du travail sur la prévention du harcèlement et de la violence dans le lieu de travail, ventilé par année et par ministère, organisme, société d’État, y compris Postes Canada, et entreprise sous réglementation fédérale: a) combien d’avis d’incident ont été émis, et quelle est la ventilation des avis par genre, origine ethnique et âge; b) combien de promesses de conformité ont été signalées; c) quel est le nombre d’amendes et la valeur individuelle des amendes qui ont été imposées par Emploi et Développement Social Canada (EDSC) pour non-respect du Règlement sur la prévention du harcèlement et de la violence dans le lieu de travail; d) quels sont les critères utilisés par EDSC pour déterminer s’il y a lieu d’imposer une amende pour non-respect du Règlement?
(Le document est déposé.)
Question no 3038 — M. Matthew Green:
En ce qui concerne le Régime canadien de soins dentaires, ventilé par circonscription électorale fédérale, depuis le lancement du régime: a) quel est le nombre total de demandes (i) reçues, (ii) approuvées; b) combien de personnes sont inscrites au Régime canadien de soins dentaires, ventilé par groupe d’âge et selon le statut lié au certificat pour le crédit d’impôt pour personnes handicapées?
(Le document est déposé.)