Ressources humaines, développement des compétences, développement social et condition des personnes handicapées
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Madame la Présidente, on répondra aujourd’hui aux questions n
os 461 à 463, 475 et 477.
[Texte]
Question no 461 — M. Chris Warkentin:
En ce qui concerne l'engagement du gouvernement à faire preuve de transparence quant aux organisations médiatiques qui ont obtenu des fonds par l’entremise de ses programmes de financement devant verser 600 millions de dollars aux médias: a) quels médias le gouvernement a-t-il désignés comme étant une organisation journalistique canadienne qualifiée, ventilés par type de médias; b) depuis le 1er janvier 2019, quelle somme d’argent chaque média en a) (i) a-t-il reçue jusqu’à maintenant, (ii) pourrait-il obtenir, mais n’a pas encore reçue, ventilée par programme et par type de financement (subvention, crédit d’impôt, etc.)?
L’hon. Diane Lebouthillier (ministre du Revenu national, Lib.):
Monsieur le Président, dans le budget de 2019, le gouvernement a annoncé trois nouvelles mesures fiscales pour appuyer le journalisme: le crédit d’impôt pour la main-d’œuvre journalistique canadienne, un crédit remboursable de 25 % sur les salaires ou les traitements versés aux employés de salle de presse admissibles à compter du 1er janvier 2019; le crédit d’impôt pour les abonnements aux nouvelles numériques, un crédit d’impôt non remboursable de 15 % pour les montants que les particuliers paient à une organisation journalistique canadienne qualifiée, ou OJCQ, pour les montants admissibles payé après 2019, mais avant 2025; et un nouveau type de donataire reconnu appelé organisation journalistique enregistrée, ou OJE, pour les organisations journalistiques à but non lucratif, qui est en vigueur depuis le 1er janvier 2020.
Pour être admissible à l’une ou l’autre des trois mesures fiscales, une organisation doit d’abord être désignée en tant qu’OJCQ. Une fois désignée, une OJCQ doit répondre à des critères supplémentaires pour chacune des mesures fiscales. La désignation en tant qu’OJCQ en soi ne signifie pas qu’une organisation est admissible à l’une ou l’autre des mesures fiscales.
En réponse aux parties a) et b) de la question, les dispositions relatives à la confidentialité en vertu de l’article 241 de la Loi de l’impôt sur le revenu empêchent l’Agence du revenu du Canada, ou ARC, de communiquer des renseignements sur les contribuables, sauf s’il existe une exemption. Aucune exemption existe permettant la communication de l’information relié aux statuts d’OJCQ, ni les renseignements sur les contribuables concernant le crédit d’impôt pour la main-d’œuvre journalistique canadienne. Par conséquent, l’ARC n’est pas en mesure de fournir une liste des organisations qui ont été désignées en tant qu’OJCQ, ni fournir des informations sur aucune OJCQ qui a réclamé le crédit d’impôt pour la main-d’œuvre journalistique canadienne sur leur déclaration de revenus.
Conformément au paragraphe 241(3.4) de la Loi, l'ARC a rendu publique la Liste des abonnements aux nouvelles numériques admissibles. La liste comprend les noms des organisations qui ont demandé la confirmation que les abonnements qu'elles offrent sont admissibles au crédit d'impôt pour les abonnements aux nouvelles numériques, ainsi que le nom des abonnements éligibles et des publications associées.
De plus, l'ARC rend également publics les noms des organisations de journalisme qui sont des organisations de journalisme enregistrées, par le truchement de la Liste des organisations journalistiques enregistrées. La divulgation de ces renseignements est permise par le paragraphe 241(3.2) de la Loi.
Question no 462 — M. Chris Warkentin:
En ce qui concerne les mesures prises par le gouvernement en réponse à l’affaire SNC-Lavalin: a) quelles mesures en particulier, le cas échéant, le gouvernement a-t-il prises pour empêcher d’éventuels actes d’ingérence politique ou de favoritisme; b) quels sont les détails de chaque mesures en a), y compris, pour chacune, (i) le titre de la mesure, (ii) la date à laquelle la mesure a été annoncée, (iii) la date à laquelle la mesure est entrée en vigueur, (iv) le résumé du problème visé par la mesure, (v) le résumé de la façon dont la mesure est censée régler le problème?
M. Gary Anandasangaree (secrétaire parlementaire du ministre de la Justice et procureur général du Canada, Lib.):
Monsieur le Président, en août 2019, le premier ministre a accepté le rapport de l’honorable Anne McLellan sur la double fonction de ministre de la Justice et de procureur général du Canada, et il s’est engagé à examiner attentivement ses recommandations afin de déterminer la meilleure façon pour les mettre en œuvre. Le rapport comportait au total huit recommandations, qui visaient toutes à répondre aux préoccupations soulevées relativement à cette double fonction, et plus particulièrement celles concernant l’indépendance du procureur de la Couronne et la confiance du public à l’égard du système de justice pénale.
Le gouvernement a traité ou travaille à traiter toutes les recommandations du rapport. Par exemple, les modifications nécessaires ont été apportées au serment d’office à l’automne 2019, et la nouvelle version a été utilisée pour la première fois le 20 novembre 2019 lors de l’assermentation du ministre de la Justice et procureur général du Canada. Ce nouveau serment répond directement aux préoccupations concernant l’indépendance du procureur général du Canada en affirmant que celui-ci « fer[a] respecter la Constitution, la primauté du droit et l’indépendance de la magistrature et de la fonction de poursuite ».
Question no 463 — M. Colin Carrie:
En ce qui concerne la réponse du gouvernement à la COVID-19: a) à quelle date le gouvernement a-t-il appris que les vaccins contre la COVID-19 ne pouvaient pas empêcher l’infection ni la transmission; b) le gouvernement a-t-il changé la définition des termes (i) vaccin, (ii) immunité collective, (iii) complètement vacciné, en 2021; c) si la réponse à toute partie de b) est affirmative, quels sont les détails de chaque changement, y compris (i) le terme dont la définition a changé, (ii) la date du changement, (iii) le fondement scientifique du changement, le cas échéant; d) pourquoi le gouvernement a-t-il changé la définition de longue date de « cas » pour remplacer « personne malade » par « personne ayant été déclarée positive à la suite d’un test par PCR », même si cette personne est restée parfaitement en santé; e) quelles étaient les lignes directrices de Santé Canada concernant les cycles seuils pour le test par PCR et sur quelles données scientifiques précises ces lignes directrices étaient-elles fondées?
M. Adam van Koeverden (secrétaire parlementaire du ministre de la Santé et de la ministre des Sports, Lib.):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a) de la question, le variant Omicron du virus SARS-CoV-2 a été signalé pour la première fois en Afrique australe en novembre 2021, et officiellement désignée par l’Organisation mondiale de la Santé comme variant préoccupant par la lettre grecque Omicron le 26 novembre 2021. Dans les jours suivant son apparition, l’analyse préliminaire a suggéré que le variant pourrait avoir un avantage de transmission par rapport au variant préoccupant Delta, même si quelques semaines plus tard, l’efficacité du vaccin en matière de prévention de la transmission d’Omicron pouvait être confirmée. À la mi-décembre 2021, l’Agence de la santé publique du Canada avait suffisamment de preuves, y compris de sources internationales, que l’efficacité du vaccin contre l’infection par Omicron et la maladie symptomatique après une série primaire d’ARNm était inférieure à celle du variant Delta.
En réponse aux parties b)(i), (ii), (iii) et c) de la question, les vaccins contre la COVID-19 sont définis par le fabricant et leur utilisation prévue est décrite dans la monographie de produit, l’étiquette, comme faisant partie des renseignements requis pour demander une autorisation réglementaire pour ces produits au Canada. Santé Canada, en tant qu’organisme de réglementation, détermine les modalités selon lesquelles un vaccin contre la COVID-19 peut être autorisé pour la vente au Canada, en fonction d’une évaluation de l’innocuité, de l’efficacité et de la qualité du vaccin. Il n’existe pas de définition fédérale d’un vaccin contre la COVID-19 en dehors de ce que l’étiquette du produit décrit et tel qu’autorisé par Santé Canada.
Compte tenu du contexte fréquemment changeant des variants préoccupants de COVID-19 à l’échelle mondiale et de l’évolution de la science qui s’y rapporte, qui influent sur la compréhension et la mesure de l’immunité des personnes et de la protection de la population contre la COVID-19, y compris la durée variable et changeante de l’immunité conférée par la vaccination et l’infection acquise, le gouvernement du Canada n’a pas de définition de l’immunité des troupeaux particulière à la COVID-119. Le Guide canadien d’immunisation, élaboré à partir des recommandations et des déclarations de comités consultatifs d’experts, dont le Comité consultatif national de l’immunisation, ou CCNI, et le Comité consultatif de la médecine tropicale et de médecine des voyages, ou CCMTMV, fait référence à l’immunité collective en général pour un certain nombre de virus et il a été élaboré avant la COVID-19 et n’est pas spécifique ou directement applicable à la COVID-19.
La définition du gouvernement du Canada pour une personne entièrement vaccinée entrant au Canada considère un voyageur entièrement vacciné, s’il a reçu au moins deux doses d’un vaccin contre la COVID-19 accepté pour le voyage, une combinaison de vaccins acceptés ou au moins une dose du vaccin Janssen/Johnson & Johnson et qu’il a reçu une deuxième dose au moins 14 jours avant son arrivée au Canada. Le gouvernement a d’abord établi la définition de « entièrement vacciné » dans le cadre du décret d'urgence sur la mise en quarantaine, l'isolement et autres obligations en vertu de la loi sur la quarantaine dans le contexte des mesures d'entrée aux frontières, afin d’assurer un retour à une certaine normalité en facilitant le corridor de transport pour les voyageurs vaccinés tout en conservant des mesures supplémentaires comme la mise en quarantaine obligatoire de 14 jours pour les voyageurs non vaccinés. La définition d’une personne entièrement vaccinée aux fins d’entrée à la frontière canadienne est entrée en vigueur le 5 juillet 2021, n’a pas changé et demeure en vigueur jusqu’à nouvel ordre.
Concernant la partie d) de la question, les définitions nationales de cas aux fins de surveillance du gouvernement du Canada se trouve sur au www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/2019-nouveau-coronavirus/professionnels-sante/definition-nationale-cas. Le gouvernement utilise des définitions standard pour les cas de COVID-19, cas confirmés, cas probables, cas de réinfection, cas de décès et cas résolus. Ces définitions nationales de cas utilisent la terminologie standard de « cas » aux fins de surveillance nationale de la COVID-19; les définitions de cas ne font pas référence à la définition d’une « personne malade », qui n’était pas incluse dans les définitions de cas précédentes.
Au sujet de la partie e) de la question, la valeur du seuil du cycle est propre à chaque test. Elle est établie par l'entreprise qui a développé le test afin de s'assurer que le test fonctionne correctement. Santé Canada n'établit pas de seuils de cycle recommandés et n'a pas publié d'orientation spécifique concernant les seuils de cycle.
Question no 475 — M. Richard Cannings:
En ce qui concerne le Fonds de prêt pour l’entrepreneuriat des communautés noires, depuis sa création: a) pourquoi la deuxième phase du programme, qui comprenait un fonds conjoint de 128 millions de dollars provenant d’institutions financières canadiennes, a-t-elle cessé de faire partie du total du fonds du programme; b) qu’a fait le gouvernement pour que les institutions financières respectent leur part de l’investissement initial de 291,3 millions de dollars; c) combien de demandes soumises (i) ont reçu un plein financement, (ii) ont reçu un financement partiel, (iii) se sont vu refuser un financement; d) combien d’entrepreneurs devaient recevoir un financement dans le cadre de la deuxième phase du Fonds?
M. Arif Virani (secrétaire parlementaire de la ministre du Commerce international, de la Promotion des exportations, de la Petite Entreprise et du Développement économique, Lib.):
Monsieur le Président, en réponse à la partie a) de la question, le gouvernement du Canada a convoqué des conversations transformationnelles avec toutes les grandes institutions financières du Canada pour changer fondamentalement la façon dont notre pays soutient les entrepreneurs noirs, et nous en voyons les résultats. Depuis le lancement du Programme pour l’entrepreneuriat des communautés noires, ou PECN, en septembre 2020, de nombreuses institutions financières, ou IF, ont lancé leurs propres initiatives ciblant les entrepreneurs noirs, totalisant plus de 230 millions de dollars. Cela dépasse les 128 millions de dollars engagés collectivement lors de l'annonce du programme. Les objectifs de ces initiatives s'alignent sur ceux du Fonds de prêts pour l'entrepreneuriat des communautés noires et démontrent l'engagement continu des IF à soutenir les propriétaires d'entreprises et les entrepreneurs noirs canadiens.
Concernant la partie b) de la question, à la suite de l'annonce du PECN en septembre 2020, les IF se sont volontairement engagées à fournir un prêt supplémentaire de 128 millions de dollars pour soutenir le Fonds de prêts pour l'entrepreneuriat des communautés noires. Depuis le lancement de leurs initiatives respectives, les responsables d'Innovation, Sciences et Développement économique Canada tiennent des réunions bilatérales avec les IF afin de mieux comprendre ces initiatives et de les encourager à continuer d'assurer la transparence dans leurs rapports sur ces initiatives et à poursuivre leur collaboration avec en vue de promouvoir les objectifs du PECN.
Au sujet de la partie c) de la question, l'administrateur des prêts, la Fédération africaine canadienne économique, ou FACE, a l'autonomie sur l'adjudication et les décisions relatives aux demandes de prêt en partenariat avec la Banque de développement du Canada, ou BDC. Ce processus et les décisions qui en résultent sont indépendants de toute intervention ou apport du gouvernement. Conséquemment, il serait préférable d'adresser cette question à la FACE qui pourrait fournir les données les plus récentes sur les demandes reçues et les prêts accordés.
En réponse à la partie d) de la question, le gouvernement continue son travail avec la FACE, la BDC et autres institutions financières afin de trouver des occasions d’accroître l’accès au capital pour les propriétaires et entrepreneurs noirs du Canada.
Question no 477 — M. Simon-Pierre Savard-Tremblay:
En ce qui concerne les mesures mises en place par le gouvernement pour lutter contre les abus des entreprises canadiennes à l’étranger: existe-t-il des preuves que les approches volontaires ont eu un impact sur la lutte contre les préjudices liés aux sociétés minières canadiennes opérant à l'étranger, et, le cas échéant, quelles sont les données démontrant l’effet de ces mesures?
M. Arif Virani (secrétaire parlementaire de la ministre du Commerce international, de la Promotion des exportations, de la Petite Entreprise et du Développement économique, Lib.):
Monsieur le Président, ce qui suit reflète la réponse consolidée approuvée au nom des ministres d’Affaires mondiales Canada. Le gouvernement du Canada s’attend à ce que les entreprises canadiennes actives à l’étranger respectent les droits de la personne, exercent leurs activités de manière transparente et en consultation avec les gouvernements d’accueil et les collectivités locales, et travaillent de manière responsable sur le plan social et environnemental, tout en respectant les lois applicables. On attend également des entreprises qu’elles adoptent des pratiques exemplaires et des lignes directrices respectées à l’échelle internationale en matière de conduite responsable des entreprises, ou CRE, et qu’elles prennent des mesures pour atteindre les objectifs de lutte contre la corruption.
Le Canada adopte une approche équilibrée en matière de CRE qui comprend la prévention, la législation et l’accès aux recours.
En matière de prévention, le gouvernement du Canada fournit des conseils sur les mesures préventives que les entreprises canadiennes peuvent prendre pour atténuer les risques sur divers marchés et fait connaître les outils disponibles pour soutenir les efforts des entreprises. Le gouvernement du Canada approuve et promeut les normes et les lignes directrices de CRE, notamment les Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales et les Principes directeurs des Nations unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme.
En ce qui concerne les mesures obligatoires, le Canada a adopté des lois portant sur des questions essentielles liées à la CRE, telles que la corruption, la transparence et le travail forcé. Par exemple, le Canada a érigé en infraction pénale le fait d’offrir un pot-de-vin à un agent public étranger en vertu de la Loi sur la corruption d’agents publics étrangers; en vertu de la Loi sur les mesures de transparence dans le secteur extractif, le Canada exige des sociétés extractives cotées au Canada qu’elles déclarent tous les impôts payés et le lieu où ils sont payés; et, en juillet 2020, des modifications apportées au Tarif des douanes ont rendu illégale l’importation de produits issus entièrement, ou en partie, du travail forcé. Cette interdiction s’applique aux importations de toutes sources étrangères et est mise en œuvre à la frontière par les agents des services frontaliers. Les importateurs sont responsables du respect de l’interdiction et sont encouragés à travailler avec leurs fournisseurs étrangers pour veiller à ce que les biens importés au Canada n’aient pas été extraits, fabriqués ou produits, en tout ou en partie, par du travail forcé ou obligatoire. Le Canada s’est également engagé à promulguer une législation concernant la chaîne d’approvisionnement.
Le Canada offre un accès à des recours par l’intermédiaire de deux mécanismes de résolution des différends: l’ombudsman canadien de la responsabilité des entreprises et le Point de contact national pour les Principes directeurs de l’Organisation de coopération et de développement économiques à l’intention des entreprises multinationales. Si une entreprise canadienne ne coopère pas de bonne foi avec les mécanismes de règlement des différends du Canada, une recommandation peut être formulée pour lui retirer ou refuser le soutien du Service des délégués commerciaux. Une recommandation peut également être fournie à Exportation et développement Canada et à la Corporation commerciale canadienne afin qu’ils retirent également leur soutien futur.
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Madame la Présidente, si les réponses du gouvernement aux questions n
os 464 à 474, 476 et 478 à 488 pouvaient être transformées en ordres de dépôt de documents, les documents seraient déposés immédiatement.
La vice-présidente adjointe (Mme Alexandra Mendès): Plaît-il à la Chambre que ces questions soient transformées en ordres de dépôt de documents et que les documents soient déposés immédiatement?
Des voix: D’accord.
[Texte]
Question no 464 — M. Colin Carrie:
En ce qui concerne les données que possède le gouvernement sur le vaccin de Pfizer contre la COVID-19: a) à quelle date et comment le gouvernement a-t-il été informé des données d’essais cliniques qui ont été publiées le 4 novembre 2021 dans le New England Journal of Medicine; b) à quelle date et comment le gouvernement a-t-il été informé des effets indésirables et des effets secondaires du vaccin, mentionnés dans les documents divulgués conformément à l’ordonnance prise par le juge Mark Pittman de la Cour fédérale du district Nord du Texas, le 6 janvier 2022; c) le gouvernement est-il au courant de toutes données supplémentaires que publiera Pfizer cette année et, le cas échéant, quels en sont les détails, y compris (i) la date à laquelle le gouvernement a été informé des données, (ii) la date à laquelle les données seront rendues publiques, (iii) le résumé des conclusions des données?
(Le document est déposé.)
Question no 465 — Mme Rachel Blaney:
En ce qui concerne le Supplément de revenu garanti (SRG), ventilé par province ou territoire, région et circonscription, et par année de 2017 à aujourd’hui: a) combien de Canadiens ont reçu le SRG; b) parmi les Canadiens qui ont reçu le SRG, combien (i) ont reçu le montant maximal, (ii) de leurs conjoints ont reçu la prestation d’allocation pour les couples, (iii) ont perdu la prestation parce qu’ils ont produit leur déclaration de revenus en retard?
(Le document est déposé.)
Question no 466 — M. Clifford Small:
En ce qui concerne le Programme de conservation et protection de Pêches et Océans Canada, ventilé par année depuis 2015: a) combien d’accusations, d’assignations à comparaître et autres mesures d’application de la loi le ministère a-t-il portées, délivrées ou prises dans le cadre du programme, ventilées par type de mesures d’application de la loi (accusations criminelles, contraventions, etc.) et par type d’activité illégale (pêche sans permis, espèces pêchées illégalement, multiples accusations, etc.); b) parmi les éventualités évoquées en a), quelles accusations ont-elles été portées, ventilées par l’issue de l’affaire (abandon des poursuites, condamnations, affaires en cours, etc.)?
(Le document est déposé.)
Question no 467 — M. Martin Shields:
En ce qui concerne la position du gouvernement sur l’utilisation du Bovaer pour réduire les émissions de méthane produites par les animaux d’élevage: a) pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas encore autorisé l’usage agricole du Bovaer au Canada; b) le gouvernement a-t-il mené des études sur la réduction possible des émissions de méthane qui pourrait être réalisée au Canada si l’usage du Bovaer était autorisé, et, le cas échéant, quelles en sont les modalités et les conclusions; c) quand une décision sera-t-elle prise au sujet du Bovaer; d) le gouvernement peut-il expliquer pourquoi l'Union européenne a pu prendre une décision au sujet du Bovaer plusieurs années avant le gouvernement canadien, et, le cas échéant, quelle est l'explication; e) la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire a-t-elle pris des mesures pour qu’une décision soit prise rapidement quant à savoir si le Bovaer doit être autorisé ou pas, et, si ce n'est pas le cas, pourquoi pas; f) si la réponse en e) est affirmative, en quoi consistaient précisément les mesures prises, y compris (i) la date à laquelle elles ont été prises, (ii) leur description détaillée?
(Le document est déposé.)
Question no 468 — Mme Tracy Gray:
En ce qui concerne le Programme canadien d’adoption du numérique: a) combien de fournisseurs et lesquels ont présenté une demande en vue d’administrer le volet (i) « Développez vos activités commerciales en ligne », (ii) « Améliorez les technologies de votre entreprise »; b) quels paramètres et quels critères le Ministère a-t-il utilisés pour déterminer quels demandeurs en a)(i) et a)(ii) deviendraient des administrateurs, ventilés par volet; c) quelle est la valeur en dollars des contrats accordés à Magnet pour administrer le volet « Améliorez les technologies de votre entreprise »; d) à quels fournisseurs ont été accordés les contrats d’administration du volet « Développez vos activités commerciales en ligne »; e) quelle est la valeur en dollars des contrats accordés à chacun des fournisseurs en d); f) quel est le nombre des étudiants embauchés, au 5 avril 2022, au titre du volet (i) « Développez vos activités commerciales en ligne », (ii) « Améliorez les technologies de votre entreprise »; g) quel est le nombre des entreprises qui ont présenté une demande, au 5 avril 2022, au titre du volet (i) « Développez vos activités commerciales en ligne », (ii) « Améliorez les technologies de votre entreprise »?
(Le document est déposé.)
Question no 469 — M. Chris Warkentin:
En ce qui concerne la rémunération par le gouvernement d’influenceurs numériques pour promouvoir les messages du gouvernement, ventilée par ministère ou organisme: a) qui, dans chaque ministère ou organisme, décide quels influenceurs (i) embaucher, (ii) rémunérer; b) de quelle façon les influenceurs peuvent-ils poser leur candidature pour être rémunérés afin de promouvoir les messages du gouvernement; c) combien de candidatures en b) ont été reçues depuis le 1er janvier 2021; d) parmi les candidats en c), combien se sont vu accorder un contrat ou une rémunération par le gouvernement; e) les influenceurs rémunérés par le gouvernement doivent-ils répondre à des critères particuliers, et, le cas échéant, quels sont les détails; f) est-il interdit d’une manière quelconque aux influenceurs d’exprimer publiquement leur désaccord avec des politiques ou des messages du gouvernement, et, le cas échéant, quels sont les détails de l’interdiction ou la censure; g) quelles sont les politiques en place concernant l’emploi d’influenceurs numériques; h) à quelle date chacune des politiques en g) est-elle entrée en vigueur?
(Le document est déposé.)
Question no 470 — Mme Leah Gazan:
En ce qui concerne le financement annoncé dans le budget de 2021 et l’Énoncé économique de l’automne 2020 au titre du soutien pour les femmes et les personnes 2ELGBTQQIA+ autochtones: a) quelle part des 36,3 millions de dollars a été dépensée pour améliorer le soutien aux organisations de femmes et de personnes 2ELGBTQQIA+ autochtones; b) du financement en a), quelles organisations ont reçu des fonds et combien ont-elles reçu; c) quelle part des 49,3 millions de dollars alloués à la mise en œuvre des principes Gladue a été dépensée; d) quelle part des 8,1 millions de dollars destinés à l’élaboration d’ententes d’administration de la justice avec les communautés autochtones a été dépensée?
(Le document est déposé.)
Question no 471 — Mme Leah Gazan:
En ce qui concerne les fonds annoncés dans le budget 2021 pour mesurer les progrès et assurer que des comptes soient rendus relativement aux mesures d’aide du gouvernement à l’égard des femmes, des filles et des personnes 2ELGBTQQIA+ autochtones: a) quels mécanismes ont été mis en œuvre; b) quelle somme a été attribuée sur les 20,3 millions de dollars; c) sur les fonds en b), quelle somme les partenaires autochtones ont-ils reçue, ventilée par organisation, institution ou corps dirigeant?
(Le document est déposé.)
Question no 472 — Mme Leah Gazan:
En ce qui concerne l’élaboration d’une stratégie globale de prévention de la violence annoncée dans l’Énoncé économique de l’automne 2020: a) combien des 724,1 millions de dollars annoncés ont été dépensés; b) ventilés par province et territoire, combien de refuges (i) ont été nouvellement ouverts, (ii) sont en cours de construction, (iii) sont prévus, mais n’ont pas encore été mis en chantier?
(Le document est déposé.)
Question no 473 — Mme Leah Gazan:
En ce qui concerne le financement du gouvernement fédéral pour les exercices 2019-2020, 2020-2021 et 2021-2022, attribué dans la circonscription de Winnipeg-Centre: quel est le montant total du financement, ventilé par (i) exercice, (ii) ministère ou organisme, (iii) initiative, (iv) montant?
(Le document est déposé.)
Question no 474 — M. Richard Cannings:
En ce qui concerne le financement du gouvernement pour les exercices 2019-2020 à 2021-2022 dans la circonscription d’Okanagan-Sud—Kootenay-Ouest: quel est le montant total du financement, ventilé par (i) exercice, (ii) ministère ou agence, (iii) initiative, (iv) montant?
(Le document est déposé.)
Question no 476 — M. Richard Cannings:
En ce qui concerne l’engagement que le gouvernement a pris dans le budget de 2021 sur les frais d’interchange à l’endroit des petites et moyennes entreprises: a) quelles parties concernées les représentants du gouvernement ont-ils rencontrées depuis le 19 avril 2021 dans le but de (i) réduire le coût général moyen des frais d’interchange, (ii) garantir que les petites entreprises profitent de prix similaires à ceux des grandes entreprises, (iii) protéger les points de récompense accumulés par les consommateurs canadiens; b) quelles sont les dates des réunions dont il est question en a)?
(Le document est déposé.)
Question no 478 — M. Simon-Pierre Savard-Tremblay:
En ce qui concerne les entreprises minières canadiennes qui opèrent à l’étranger et qui sont accusées d'abus ainsi que le gouvernement et les ambassades canadiennes: a) les ambassades canadiennes ont-elles un mandat de respect et de promotion des droits humains auprès des entreprises canadiennes, et, le cas échéant, quels en sont les tenants et aboutissants; b) le personnel des ambassades conserve-t-il un registre de toutes les demandes (i) de services et de soutien des entreprises, (ii) de soutien des défenseurs et défenseuses des droits humains; c) les allégations et accusations de violations des droits humains ont-elles un impact dans l’analyse des ambassades pour ce qui est des demandes de soutien ou de services provenant d’entreprises canadiennes, et, le cas échéant, quel est-il; d) y a-t-il eu des cas où des ambassades ont refusé de fournir un appui à des entreprises à cause d’allégations d’abus potentiels, et, le cas échéant, quels sont-ils; e) quels sont les mécanismes institutionnels prévus lorsque le personnel des ambassades canadiennes est informé de violations des droits humains ou environnementaux commises par des compagnies canadiennes à l’étranger, et en particulier les compagnies ayant bénéficié de ses services ou de son soutien dans le passé; f) le gouvernement a-t-il eu connaissance des violations de droits humains et environnementaux perpétrées par des compagnies canadiennes à l’étranger dans le cas de Goldcorp, rapporté dans l’article du Hill Times du 30 mars 2022, et, le cas échéant, quelles actions ont été prises afin d’y remédier, ventilées par rapport (i) aux compagnies canadiennes à l’étranger, (ii) aux populations affectées?
(Le document est déposé.)
Question no 479 — Mme Laila Goodridge:
En ce qui concerne les centres de Service Canada situés dans une plaine ou une zone inondable: a) combien de centres de Service Canada sont situés dans une plaine ou une zone inondable; b) quel est l’emplacement de chacun de ces centres, y compris leur adresse municipale; c) pour chaque centre en b), y a-t-il un plan d’urgence à exécuter en cas d'inondation, et, si c’est le cas, en quoi ce plan consiste-t-il; d) pour chaque centre en b), un autre emplacement situé en dehors de la plaine inondable a-t-il été désigné pour accueillir temporairement le centre de Service Canada durant une inondation, et, si c’est le cas, quel est cet emplacement?
(Le document est déposé.)
Question no 480 — M. Corey Tochor:
En ce qui concerne les dépenses et autres transactions effectuées par le gouvernement en utilisant le code d’objet 3213 (Pertes de fonds) du Conseil du Trésor, ou tout code semblable lié à la perte de fonds: a) quels sont les détails de toutes ces transactions depuis l’exercice 2018-2019, ventilés par ministère, organisme ou autre entité gouvernementale, y compris, pour chacune, (i) la date, (ii) le montant, y compris si le montant représente le montant de la dépense gouvernementale ou le montant du paiement reçu par le gouvernement, (iii) le résumé de ce qui s’est passé, (iv) la description des articles ou services impliqués; b) quelle était la valeur totale des transactions mentionnées en a), ventilée par exercice depuis 2018-2019?
(Le document est déposé.)
Question no 481 — M. Corey Tochor:
En ce qui concerne les dépenses et autres transactions effectuées par le gouvernement sous le code d'objet 3214 (Déficits et radiations non classés ailleurs) du Conseil du Trésor, ou de tout autre code semblable: a) quels sont les détails de toutes ces transactions depuis l’exercice 2018-2019, ventilés par ministère, agence ou autre organisation gouvernementale, y compris, pour chacune, (i) la date, (ii) le montant radié, (iii) le motif de la radiation, (iv) la description des postes ou services radiés; b) quelle était la valeur totale des transactions se rapportant à a), ventilée par exercice depuis 2018-2019?
(Le document est déposé.)
Question no 482 — Mme Shannon Stubbs:
En ce qui concerne les rencontres entre des hauts responsables gouvernementaux (à partir du niveau de sous-ministre adjoint) et l’ancien président d’Unifor, Jerry Dias, ou les activités qui se sont déroulées en présence d’un ou d’une ministre et de M. Dias, depuis le 1er janvier 2016, ventilées par haut responsable: a) quel est le nombre de jours où chaque haut responsable a rencontré M. Dias ou a assisté à une activité où ce dernier était présent, y compris des rencontres privées et des activités informelles qui ne figurent pas dans le registre des lobbyistes ni dans un itinéraire gouvernemental officiel quelconque; b) quelle est la ventilation de a) par année; c) quels sont les détails de toutes ces rencontres et activités, y compris, pour chacune, (i) la date, (ii) le type de rencontre ou d’activité (en personne, rencontre virtuelle, annonce du gouvernement, etc.), (iii) les points à l’ordre du jour, si possible, (iv) la liste connue des personnes présentes, (v) un compte rendu de la rencontre ou de l’activité, (vi) l’identité des responsables gouvernementaux qui étaient présents?
(Le document est déposé.)
Question no 483 — Mme Shannon Stubbs:
En ce qui concerne les rencontres entre des ministres ou des membres de leur personnel et l’ancien président d’Unifor, Jerry Dias, ou les activités qui se sont déroulées en présence d’un ou d’une ministre et de M. Dias, depuis le 1er janvier 2016, ventilées par ministre: a) quel est le nombre de jours où chaque ministre a rencontré M. Dias ou a assisté à une activité où ce dernier était présent, y compris des rencontres privées et des activités informelles qui ne figurent pas dans le registre des lobbyistes ni dans un itinéraire gouvernemental officiel quelconque; b) quelle est la ventilation de a) par année; c) quels sont les détails de toutes ces rencontres et activités, y compris, pour chacune, (i) la date, (ii) le type de rencontre ou d’activité (en personne, rencontre virtuelle, annonce du gouvernement, etc.), (iii) les points à l’ordre du jour, si possible, (iv) la liste connue des personnes présentes, (v) un compte rendu de ce qui s'est passé, (vi) l’identité des ministres et des membres du personnel exonéré qui étaient présents?
(Le document est déposé.)
Question no 484 — Mme Shannon Stubbs:
En ce qui concerne les rencontres entre le premier ministre et l’ancien président d’Unifor, Jerry Dias, ou les activités qui se sont déroulées en présence du premier ministre et de M. Dias, depuis le 1er janvier 2016: a) quel est le nombre de jours où le premier ministre a rencontré M. Dias ou a assisté à une activité où ce dernier était présent, y compris des rencontres privées et des activités informelles qui ne figurent pas dans l’itinéraire officiel du premier ministre; b) quelle est la ventilation de a) par année; c) quels sont les détails de toutes ces rencontres et activités, y compris, pour chacune, (i) la date, (ii) le type de rencontre ou d’activité (en personne, rencontre virtuelle, annonce du gouvernement, etc.), (iii) les points à l’ordre du jour, si possible, (iv) la liste connue des personnes présentes, (v) un compte rendu de la rencontre ou de l’activité?
(Le document est déposé.)
Question no 485 — M. Adam Chambers:
En ce qui concerne l’Agence du revenu du Canada (ARC), les transactions immobilières et le reportage du Toronto Star du 30 mai 2019 dans lequel il est question d’évasion fiscale sur les marchés immobiliers de l’Ontario et de la Colombie-Britannique: a) combien de Canadiens (particuliers, entreprises ou sociétés) se seraient servis de transactions immobilières pour se soustraire à l’impôt; b) combien de non-Canadiens (particuliers, entreprises ou sociétés) se seraient servis de transactions immobilières pour se soustraire à l’impôt; c) parmi les Canadiens désignés en a), combien ont fait ou font l’objet d’un examen par l’ARC; d) parmi les non-Canadiens désignés en b), combien ont fait ou font l’objet d’un examen par l’ARC; e) à combien (i) d’audits, (ii) de réévaluations ou de mesures de conformité en général les Canadiens désignés en a) ont-ils été soumis de la part de l’ARC; f) parmi les audits en e)(i), combien (i) ont été menés à bien, (ii) sont toujours en cours; g) à combien (i) d’audits, (ii) de réévaluations ou de mesures de conformité en général les non-Canadiens désignés en b) ont-ils été soumis de la part de l’ARC; h) parmi les audits en g)(i), combien (i) ont été menés à bien, (ii) sont toujours en cours; i) parmi les (i) Canadiens désignés, (ii) non-Canadiens désignés, combien se sont prévalus du Programme des divulgations volontaires de l’ARC; j) parmi les (i) Canadiens désignés, (ii) non-Canadiens désignés, combien ont conclu une entente de règlement avec l’ARC; k) combien d’argent l’ARC a-t-elle réclamé à la suite des enquêtes menées dans ces dossiers, ventilé par le montant en (i) impôts et taxes impayés, (ii) intérêts, (iii) amendes, (iv) pénalités; l) quelle proportion de cet argent a été récupéré; m) combien des dossiers (i) font l’objet d’un appel, (ii) sont toujours en cours, (iii) ont été menés à terme, c’est-à-dire que la totalité des taxes et impôts, intérêts, amendes et pénalités a été récupérée; n) combien d’accusations d’évasion fiscale ont été déposées; o) combien de verdicts de culpabilité ont été rendus?
(Le document est déposé.)
Question no 486 — Mme Laurel Collins:
En ce qui concerne les transferts fédéraux au titre du Fonds pour une économie à faibles émissions de carbone qui ont eu lieu du 1er avril 2021 au 31 mars 2022: a) combien d’argent a été alloué, ventilé par (i) subventions et contributions, (ii) province et territoire; b) combien d’argent a réellement été transféré depuis le 1er avril 2021, ventilé par (i) subventions et contributions, (ii) province et territoire; c) pour chacun des transferts désignés en b), quel est l’effet attendu sur les émissions de gaz à effet de serre?
(Le document est déposé.)
Question no 487 — Mme Laurel Collins:
En ce qui concerne l’initiative de 8 milliards de dollars Accélérateur net zéro du Fonds stratégique pour l’innovation: a) combien de demandeurs potentiels ont présenté une déclaration d’intérêt jusqu’à présent, ventilés par (i) petites et moyennes entreprises, (ii) grandes entreprises, (iii) province et territoire, (iv) potentiel de réduction des émissions de gaz à effet de serre; b) quelles sommes ont été dépensées jusqu'à présent, ventilées par (i) nom de l’entreprise, (ii) province et territoire; c) pour ce qui est du financement en b), quel est le coût par tonne des réductions d’émissions de gaz à effet de serre pour chacun des demandeurs financés?
(Le document est déposé.)
Question no 488 — M. Alex Ruff:
En ce qui concerne le communiqué de presse qui a été publié le 4 avril 2022, « Le gouvernement du Canada annonce que des services Internet haute vitesse abordables seront offerts à des familles et à des aînés à faible revenu »: a) quels fournisseurs de service Internet (FSI) participants offriront des services dans le cadre de la deuxième phase de Familles branchées aux régions rurales telles que les définit Statistique Canada; b) combien de foyers admissibles ayant reçu une lettre du gouvernement à ce sujet ne pourront pas participer à la deuxième phase de Familles branchées parce qu’il n’y a aucun FSI participant dans leurs région; c) dans combien de divisions de recensement comportant des régions rurales (i) aucun FSI participant n’offrira ses services, (ii) les FSI participants couvriront un territoire correspondant à moins de 50 % de la population, (iii) les FSI participants couvriront un territoire correspondant à moins de 25 % de la population, et, dans tous les cas, de quelles divisions s’agit-il; d) dans la circonscription fédérale de Bruce–Grey–Owen Sound, quelles subdivisions de recensement ou municipalités n'auront aucun FSI participant; e) que fera le gouvernement pour que les FSI participants couvrent un plus vaste territoire dans les régions rurales; f) que fera le gouvernement pour que les Canadiens à faible revenu des régions urbaines et rurales aient équitablement accès aux avantages socioéconomiques associés aux services Internet abordables que propose ce programme?
(Le document est déposé.)
[Traduction]
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Madame la Présidente, je demande que les autres questions restent au Feuilleton.
La vice-présidente adjointe (Mme Alexandra Mendès): D’accord?
Des voix: D’accord.