Bienvenue à la 23e réunion du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires de la Chambre des communes. Je rappelle à tous que la réunion est publique. Il y a eu un peu de confusion au sujet d'un des rapports, mais la première heure se déroulera en public.
Le Comité se réunit aujourd'hui de 15 h 30 à 17 h 30. Pendant la première heure, qui se tiendra en public, nous entendrons des représentants du SCT au sujet des documents soumis conformément à l'ordre du Comité du mercredi 10 mars. Au cours de la deuxième heure, le Comité se réunira à huis clos pour discuter des travaux du Comité.
Je profite de l'occasion pour rappeler à tous les participants à la réunion qu'il est interdit de faire des captures d'écran ou de prendre des photos de son écran.
Afin d'assurer le bon déroulement de la réunion, j'aimerais énoncer quelques règles à suivre. L'interprétation au cours de cette vidéoconférence fonctionnera de la même manière que lors d'une réunion ordinaire du Comité. Vous avez le choix, au bas de votre écran, entre le parquet, l'anglais ou le français.
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Merci, monsieur le greffier.
Merci à tous d'avoir fait preuve de patience pendant que nous corrigions les problèmes.
Merci, messieurs Purves et Ermuth, d'être restés avec nous pendant ce temps. Je vous en sais gré.
Je vais reprendre là où nous en étions. Très rapidement, comme je l'ai indiqué, veuillez attendre que je vous reconnaisse par votre nom avant de prendre la parole. Lorsque vous êtes prêt à parler, vous pouvez cliquer sur l'icône du microphone pour activer votre micro. Lorsque vous ne parlez pas, votre micro doit être en sourdine.
Pour faire un rappel au Règlement pendant la réunion, les membres du Comité doivent s'assurer que leur microphone est activé et dire « rappel au Règlement » afin d'attirer l'attention du président.
Pour garantir le maintien de la distance entre les personnes présentes dans la salle de comité, si vous avez besoin de parler en privé avec le greffier ou l'analyste pendant la réunion, veuillez leur envoyer un courriel à l'adresse électronique du Comité. Les personnes présentes dans la salle de réunion du Comité sont priées de noter qu'elles doivent porter un masque sauf si elles sont assises et lorsqu'il est impossible de maintenir la distance physique nécessaire.
J'invite maintenant les témoins à faire leur déclaration liminaire.
Monsieur Purves, c'est à vous.
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Merci, monsieur le président.
Bonjour à vous et aux membres du Comité. C'est un plaisir de revenir aujourd'hui dans le premier créneau possible. Je suis heureux d'être accompagné de Roger Ermuth, contrôleur général adjoint au Bureau du contrôleur général.
Mon intervention sera brève, car cette réunion est pour nous l'occasion de recueillir les commentaires du Comité sur notre réponse à sa motion du 10 mars et de répondre aux questions des membres. Nous sommes impatients d'entendre les réactions des membres et de pouvoir ainsi répondre au mieux aux besoins du Comité.
En ce qui concerne le contexte, compte tenu des conséquences sans précédent que la pandémie de COVID-19 a eues sur les Canadiens, le Parlement a accordé la priorité aux mesures qui répondent à la crise. Le financement des priorités liées à la COVID-19 a été présenté dans le cadre des trois budgets supplémentaires des dépenses déposés pour l'exercice 2020-2021. Dans l'ensemble, on a présenté, dans ces budgets, 159,5 milliards de dollars en autorisations de dépenses prévues pour les organisations du gouvernement du Canada qui interviennent dans les mesures liées à la pandémie de COVID-19.
Il est important de noter que ces budgets des dépenses représentent des autorisations « jusqu'à concurrence d'un maximum établi », accordées de façon urgente pour pallier l'incertitude dans laquelle ces mesures ont été présentées dans le contexte de la pandémie. Afin d'expliquer davantage les dépenses prévues liées à la COVID-19, des renseignements supplémentaires ont été présentés dans le Budget supplémentaire des dépenses, entre autres une liste détaillée des mesures législatives relatives à la COVID-19 dans la partie 1, et une annexe en ligne qui fournit de l'information additionnelle sur les dépenses qui sont prévues dans le contexte de la COVID-19, et toutes les autorisations réunies dans un tableau facile d'accès pour l'InfoBase du GC.
Les rapports sur les dépenses réelles du gouvernement prennent généralement trois formes: La revue financière du ministère des Finances, qui est mensuelle; les rapports financiers trimestriels des ministères; et le rapport financier annuel dans les comptes publics, avec à l'appui les rapports sur les résultats des ministères.
Compte tenu du contexte extraordinaire de la pandémie, le Secrétariat du Conseil du Trésor s'est adressé aux organisations pour recueillir mensuellement des données sur les dépenses liées à la COVID-19.
Dans sa motion du 10 mars, le Comité a demandé au SCT de fournir tous les rapports mensuels sur les dépenses liées à la COVID-19 et les données sur les dépenses des ministères.
Au SCT, nous nous concentrons principalement sur les dépenses liées à la COVID-19 qui s'inscrivent dans le cadre des autorisations prévues qui sont décrites dans le budget des dépenses. La capacité de suivre efficacement les dépenses liées à la COVID-19 varie grandement selon la mesure et l'organisation en question, et ce sont des estimations qui n'ont pas été auditées.
Au 31 janvier 2021, les organisations fédérales ont déclaré des dépenses totales estimées à 123,1 milliards de dollars pour les mesures annoncées dans le Plan d'intervention économique du Canada pour répondre à la COVID-19 qui relèvent des autorisations prévues présentées dans le budget des dépenses.
Au cours de cette même période, les ministères et organismes ont également signalé des dépenses supplémentaires estimées à 2,4 milliards de dollars pour des mesures liées à la COVID-19 — entre autres les salaires et les heures supplémentaires pour les employés supplémentaires, les employés réaffectés pour soutenir les initiatives concernant la COVID-19, et les dépenses opérationnelles, y compris l'acquisition d'équipement de protection individuelle et de fournitures.
La plupart de ces dépenses estimatives s'appuient sur les fonds approuvés dans les niveaux de référence des ministères qui ont été réaffectés aux activités liées à la COVID-19.
Il est important de noter qu'elles ne comprennent que les paiements en espèces qui ont été versés aux fournisseurs de biens et de services ou aux bénéficiaires de subventions et de contributions. Elles ne reflètent pas l'état d'avancement de la mise en œuvre ou les résultats obtenus grâce aux mesures. Les organisations ont la responsabilité de choisir la meilleure façon d'établir les dépenses estimatives appropriées et sont les mieux placées pour fournir des explications sur les montants et les activités correspondantes.
Les dépenses définitives pour l'exercice 2020-2021 seront présentées dans les comptes publics, qui devraient être déposés à l'automne. L'intention derrière la présentation de ces dépenses estimatives, selon la mesure, et de façon regroupée, est de permettre aux membres de les comparer aux autorisations de dépenses indiquées dans l'InfoBase du GC. Cela permet également aux membres de comparer les mesures annoncées dans le cadre de l'Énoncé économique de l'automne présenté en novembre 2020.
L'information est présentée par organisation, ce qui permet aux parlementaires de poser des questions et de demander des explications aux organisations responsables de la mise en œuvre de ces mesures.
Conformément à la demande du Comité, nous produirons dorénavant des rapports mensuels. Dans l'esprit de la note du contrôleur général qui accompagnait la réponse du ministère à la motion, nous serons heureux de discuter des observations portant sur le fond et la forme des rapports à l'avenir.
Sur ce, nous serons ravis d'entendre les points de vue des membres du Comité.
Merci.
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Permettez-moi de vous interrompre. Vous parlez de transparence. Votre ministère possède de toute évidence l'information que nous avons demandée. Il ne faut pas beaucoup d'information. Votre ministère a cette information. Ce comité l'a demandée, et pourtant vous avez décidé, pour des raisons d'utilité, de nous donner uniquement des chiffres globaux et non ventilés.
Ce n'est pas du tout utile pour ce comité ou pour les parlementaires, et ce n'est pas non plus transparent. Cette information existe. Je l'ai en fait mentionnée dans ma motion et lorsque nous en avons discuté en comité, et pourtant vous avez décidé de ne pas la présenter au Comité.
De plus, vous dites que, dans un mois, vous allez commencer à les fournir. Vous avez cette information. Nous l'avons demandée. Pourquoi ne la fournissez-vous pas au Comité, aux parlementaires et aux Canadiens, pour qu'ils puissent voir le détail des dépenses?
Qu'est-ce qui vous empêche de fournir au Comité ce qu'on vous a très clairement demandé, dans la motion, de fournir au Comité, aux contribuables canadiens et aux députés? Nous avons demandé des données très précises sur les dépenses, lesquelles données sont ventilées dans votre fichier Excel. Vous recueillez cette information chaque mois depuis toute une année. Vous n'avez pas besoin de la latitude que vous avez demandée. Aucun éclaircissement n'est nécessaire.
Il est très clair que nous voulons les dépenses ventilées. Vous avez cela. Je le sais en raison de cette note de service qui m'a été divulguée. J'ai vu la ventilation des données que vous avez demandées aux ministères, sur un tableau Excel. Pourquoi refusez-vous de la fournir au Comité?
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Merci beaucoup, monsieur le président.
Je vous remercie beaucoup de votre témoignage, monsieur Purves. Je vous remercie d'avoir [Difficultés techniques] du temps pour le Comité, et merci également d'avoir offert de travailler avec le Comité à adapter l'information qui nous est présentée. Je vous suis vraiment reconnaissant de votre collaboration.
Dans votre déclaration, vous avez mentionné que les dépenses gouvernementales sont publiées dans [Difficultés techniques] les rapports financiers annuels et les comptes publics.
Pouvez-vous nous dire de quelles autres façons les parlementaires et les Canadiens peuvent « suivre l'argent » lié à ces mesures, et à quels autres endroits ces données financières sont aussi divulguées?
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Quant à la façon dont le gouvernement présente ses résultats financiers, comme je l'ai dit, il y a
La revue financière qui est publiée mensuellement. Il y a aussi les rapports financiers trimestriels et les comptes publics de fin d'exercice.
En formulant la réponse à votre question, je pense qu'il est important de faire remarquer que nous ne consignons normalement pas les pouvoirs de dépenser des différents ministères. Ce sont les crédits et les programmes qui sont inscrits.
En mars 2020, la Loi sur les paiements relatifs aux événements de santé publique d'intérêt national, que le Parlement a approuvée, a accordé un pouvoir de dépenser immédiat pour faire face à la pandémie. C'était nouveau pour nous. En tant que système, nous [Difficultés techniques] afin d'assurer un suivi administratif des dépenses pour le triage pandémique. C'est ce que nous avons commencé à faire, comme l'a dit M. McCauley, en mars 2020. [Difficultés techniques] dépenses. M. McCauley a souligné les différentes choses sur lesquelles nous nous penchions — salaires, heures supplémentaires et ainsi de suite [Difficultés techniques] par activité. Je pense qu'il est important de le souligner.
Nous tenions à avoir à notre disposition des données sur les dépenses, non seulement du point de vue du rythme des dépenses consenties pour lutter contre la COVID, mais aussi en ce qui a trait à la façon dont les données serviraient à produire d'éventuels rapports — des rapports sur les résultats ministériels de fin d'exercice et sur toutes sortes de questions que les parlementaires pourraient avoir au sujet des pouvoirs de dépenser qui ont été accordés. Nous savions également que les parlementaires auraient des questions sur l'évolution des dépenses. Nous tenions à ce que le système soit prêt pour y donner suite dans les meilleurs délais.
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En effet. Nous poursuivons la collecte de cette information avec l'aide de la communauté des dirigeants principaux des finances, en collaboration avec les ministères.
Nous avons d'abord utilisé Excel, mais nous sommes passés à notre système, Titan, qui permet de recueillir plus efficacement les données depuis septembre.
Je pense, conformément à d'autres mécanismes au gouvernement, que la collecte de données et nos efforts pour travailler avec les dirigeants principaux des finances pour pouvoir [Difficultés techniques] ensemble régulièrement et uniformément se sont certainement révélés être innovateurs et ont nécessité beaucoup d'efforts dans l'ensemble.
J'ai une question précise pour vous. Dans le tableau, sous le ministère des Finances, je vois un montant de 12 milliards de dollars pour l'entente sur la contribution fédérale proposée. Le gouvernement fédéral intervient pour aider les provinces à assumer leurs responsabilités, comme soutenir les villes et les municipalités, assurer le maintien du transport en commun, protéger les écoles et les enfants, et distribuer les vaccins. Ma propre collectivité de Windsor-Essex, à Windsor—Tecumseh, a reçu 26 millions de dollars du gouvernement fédéral à partir de ce fonds.
Pouvez-vous m'expliquer pourquoi je vois aussi une somme supplémentaire de 2 milliards de dollars pour l'entente sur la contribution fédérale proposée sous l'Agence de la santé publique du Canada? Je vois le programme sous le ministère des Finances, mais aussi une partie de l'argent sous l'Agence. Pouvez-vous donc juste m'expliquer [Difficultés techniques] présenté de cette façon?
À propos de la somme de 2,4 milliards de dollars et de la marge de manœuvre des ministères pour déterminer leur approche relativement à ce qu'ils englobent au-delà des mesures, c'est vraiment une question de temps. Par exemple, lorsque nous faisons un suivi des dépenses liées au temps, pour le temps que je passe dans un centre stratégique de soutien de la lutte contre la COVID, j'inscrirais une estimation du temps que j'y consacre au cours d'une semaine ou d'un mois.
Nous donnons des conseils de haut niveau dans la documentation à laquelle M. McCauley a fait allusion, ainsi que des questions et des réponses. Nous avons fourni des explications détaillées de chacune de ces catégories. Qu'il s'agisse [Difficultés techniques] 20 % et qu'il y ait ou non un seuil, nous avons recommandé que la moitié du temps d'une personne soit laissée à la discrétion des ministères, dans une certaine mesure.
Pour ce qui est des dépenses liées aux mesures dont parlait M. Purves, elles seraient retirées... Les ministères examineraient ce qu'ils ont dépensé pour ces mesures.
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Merci, monsieur le président.
Monsieur Purves, les informations que nous obtenons actuellement en réponse à nos questions sèment encore plus le doute sur la transparence. Il y a deux facteurs qui pourraient expliquer cela: ou bien la capacité organisationnelle n'y est pas et l'information ne peut pas être fournie, ou bien on ne veut pas fournir l'information. À cet égard, nous savons que, depuis le début, plusieurs contrats sont demeurés secrets, et c'est encore le cas aujourd'hui.
Si l'information n'est pas fournie ou est distribuée au compte-gouttes, est-ce parce que la directive a été donnée de cacher l'information ou est-ce par manque de compétence?
Il y a deux raisons possibles; il ne peut pas y en avoir 40.
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Je m'excuse de vous interrompre, monsieur Purves, mais y a-t-il des ministères qui vous cachent de l'information? Normalement, vous avez accès à tout. Si vous demandez de l'information, on a l'obligation de vous la fournir.
Le directeur parlementaire du budget a également mentionné dans son rapport ne pas comprendre la situation. À son avis, il semble vraiment y avoir un problème d'accès à l'information.
À nos yeux, je le répète, on semble vouloir cacher de l'information. Est-ce pour dissimuler de possibles corruptions? Nous n'en savons rien. C'est pourquoi nous posons des questions. Nous ne portons pas d'accusations, mais nous nous attendons à recevoir le maximum de détails, sinon cela laisse planer un grand doute.
Puisque je n'ai pas beaucoup de temps, je vais passer à ma prochaine question.
J'ai une question précise concernant les dépenses de 159 milliards de dollars relatives aux mesures de soutien à la COVID-19. C'est ce qui nous intéresse particulièrement. J'aimerais savoir quelle partie de cette somme a servi directement aux vaccins et aux tests rapides.
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Je me ferai un plaisir de répondre à cette question, monsieur le président.
Dans le contexte de la façon dont nous gérons les autorisations pour notre budget des dépenses, les documents pour le Budget supplémentaire des dépenses [Difficultés techniques] principalement aux organisations tributaires de crédits.
Je vais vous donner un exemple. Le ministère de la Défense nationale a son crédit 1 pour les dépenses de fonctionnement et tire des fonds du Trésor avec l'autorisation du Parlement. C'est dans notre champ de compétence, d'accord, mais s'il s'agit d'une situation où un ministère est autorisé à prélever des fonds et à effectuer des transferts, que ce soit par la Loi de l'impôt sur le revenu ou par la Loi sur l'assurance-emploi, et à puiser dans le Compte des opérations de l'assurance-emploi, etc, — ce que ne peut pas faire un ministère tributaire de crédits — ces programmes dépassent effectivement la portée de notre regard sur le budget des dépenses. Notre intention a toujours été de pouvoir recueillir l'information la plus pertinente dans les limites de nos contraintes. C'est grosso modo ce que nous appellerions les « mesures de soutien direct » dans le cadre du Plan d'intervention économique pour répondre à la COVID-19.
Lorsque nous avons publié notre rapport, nous avons été en mesure de suivre les mêmes mesures que [Difficultés techniques] et ce sont les mêmes mesures qui figurent dans le budget des dépenses. Les gens peuvent prendre une mesure et la comparer aux autorisations de dépenses qu'un ministère a reçues, et ils peuvent la comparer à ce qui a été approuvé et établi dans le plan financier de l'énoncé économique de l'automne. Lorsque je parle de transparence financière, de littératie financière, de compréhension et d'utilité, il s'agit vraiment de s'assurer que les parlementaires sont en mesure d'avoir une idée de ce qui se passe. C'est ce que nous pouvons contrôler.
[Difficultés techniques] le degré d'engagement, et il s'agit de pouvoirs supplémentaires qui ont été accordés au fil des ans. De plus, les efforts déployés pour donner une idée, une ligne de vue sur [Difficultés techniques] les dépenses qui ont été réaffectées pour faire face à la pandémie, sont quelque chose de distinct. Nous essayons toujours de recueillir cette information mensuellement. Encore une fois, nous serions heureux de fournir les données ventilées pour les mesures, mais aussi pour cet effort collectif. Nous pourrions fournir cela au Comité.
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Merci beaucoup, monsieur le président.
Je tiens à préciser que la connexion continue d'être mauvaise. Malheureusement, je n'ai jamais autant entendu les interprètes mentionner que des propos sont inaudibles et que la connexion est trop mauvaise. Je suis désolée pour eux. Leur travail ne doit certainement pas être facile.
Dans le document de breffage que nous avons reçu pour nous préparer à cette rencontre, je regardais les différentes dépenses et j'ai vu que la Commission de la capitale nationale avait reçu l'Aide d'urgence du Canada pour le loyer commercial.
À quels organismes la Commission de la capitale nationale loue-t-elle des locaux, pour être en mesure de demander une telle aide?
Je vais passer à Titan. Le 13 janvier 2021, le gouvernement fédéral a publié une ligne directrice intitulée « Titan Guidance—COVID-19 Expenditures ». Je suppose que cette directive dit aux ministères comment utiliser le système Titan et quelles données il faut y entrer.
Nous avons aussi un autre système, l'InfoBase du GC, qui présente l'information sur les autorisations de dépenses. Vous avez souvent établi une distinction entre les autorisations de dépenses et les dépenses. Pour ceux qui ne connaissent peut-être pas Titan et l'InfoBase du GC, pouvez-vous nous dire quel système est utilisé et à quelles fins?
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Merci, monsieur Jowhari.
Cela met fin à nos questions pour aujourd'hui.
Je tiens à remercier M. Ermuth et M. Purves de leur patience pendant les difficultés techniques que nous avons eues au cours de la première partie de la réunion. Je vous remercie d'être restés avec nous.
Cela met fin à la partie publique de notre séance. Nous allons poursuivre à huis clos.
Mesdames et messieurs les membres du Comité, vous allez devoir quitter la réunion, puis y revenir pour la partie à huis clos. Vous avez reçu les renseignements et les numéros de téléphone. Nous nous reverrons dans quelques minutes.
Cela dit, nous allons suspendre la séance.
[La séance se poursuit à huis clos.]