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Oui, je serai le seul présentateur.
Merci, monsieur le président.
Je vous remercie d'avoir invité le Conseil national de recherches du Canada à présenter son point de vue à votre comité.
Bien que nous ne fassions pas beaucoup de recherches dans le domaine de l'hydroélectricité en tant que tel, je pense que le comité aimerait savoir ce que le CNRC fait dans le domaine de l'électricité et surtout, dans ceux de l'énergie et de l'environnement.
Vous avez reçu notre jeu de diapositives; je vais vous le présenter dans mon exposé. Je vais vous donner un bref aperçu du CNRC et de la façon dont nous contribuons aux priorités du Canada dans les domaines de l'énergie et de l'environnement.
Permettez-moi d'abord de vous parler du Conseil de recherches du Canada.
Nous sommes une institution nationale, un organisme du gouvernement fédéral. Nous sommes en fait le plus grand organisme principalement chargé de la R-D au Canada à l'échelle fédérale. Nous fournissons des éléments essentiels de l'infrastructure nationale en sciences et en technologie dans des laboratoires partout au Canada. Il y a 25 instituts de recherches et centres répartis à la grandeur du pays, de St. John's jusqu'à Victoria.
Nous avons un budget de 835 millions de dollars. De cette somme, entre 165 et 166 millions de dollars nous viennent de sources extérieures et de revenus de l'industrie et d'autres organismes. Notre personnel compte 4 300 personnes à la grandeur du pays, dans 25 instituts et centres.
En plus des instituts du CNRC, nous avons le Programme d'aide à la recherche industrielle, et je vais vous en parler davantage un peu plus tard. Nous avons l'Institut canadien de l'information scientifique et technique, qui est le principal fournisseur d'information médico-technique au Canada. Dans bon nombre de nos instituts, nous avons des installations destinées à des fins industrielles. Nous y encadrons des petites et moyennes entreprises en démarrage afin qu'elles tirent parti de nos installations et de nos compétences.
En vertu de la Loi sur le CNRC, le principal mandat du CNRC est d'entreprendre, d'aider ou de promouvoir la recherche scientifique et industrielle dans des domaines d'importance pour le Canada. Je souligne les mots « recherche industrielle » parce que c'est ce que nous faisons, et nous travaillons en très étroite collaboration avec l'industrie, partout.
De plus, la réussite du CNRC découle de son aptitude à prévoir les débouchés en S-T et à adapter ses programmes et ses services de R-D pour que ces débouchés soient à l'avantage du Canada. Par exemple, en 1987, à l'aube des sciences de la vie, nous avons créé un institut de biotechnologie à Montréal. Aujourd'hui, cet institut réunit un des plus grands groupes de chercheurs en biotechnologie environnementale.
Plus récemment, nous nous sommes penchés sur les grappes de technologie et avons déterminé que la nanotechnologie aurait une incidence à l'avenir sur la science et la technologie. Ainsi, avec la province et l'Université de l'Alberta, nous avons établi l'Institut national de nanotechnologie, dont vous avez peut-être entendu parler à quelques reprises.
Le CNRC est le catalyseur de beaucoup de vagues d'innovation. Cependant, nous avons à coeur de toujours mieux faire notre travail et de nous adapter aux besoins du Canada.
Les principaux objectifs de notre stratégie ont été publiés l'an dernier, en 2006, dans un document intitulé La science à l'oeuvre pour le Canada. Dans notre processus de planification stratégique, nous avons consulté presque 300 intervenants. Le message qui nous est parvenu des quatre coins du pays, c'est que les gens veulent que nous mettions l'accent sur la S-T et que nous exercions du leadership dans ce domaine. C'est exactement ce que fait la nouvelle stratégie du CNRC La science à l'oeuvre pour le Canada.
Les trois objectifs de cette stratégie témoignent de l'engagement du CNRC à créer des avantages économiques durables et à améliorer la qualité de vie de tous les Canadiens dans trois domaines : travailler avec l'industrie canadienne dans des secteurs clés, ainsi qu'avec les collectivités et les grappes technologiques; renforcer le système d'innovation au Canada; contribuer aux priorités nationales du Canada. Naturellement, ces trois objectifs sous-entendent des partenariats, de la commercialisation et de l'excellence dans la recherche.
J'aimerais maintenant vous parler un peu de la contribution du CNRC aux priorités du Canada dans les domaines de l'énergie et de l'environnement.
Le CNRC dans son ensemble investit environ 30 millions de dollars par année en R-D sur l'énergie. De plus, nous recevons entre 5 et 10 millions de dollars d'autres programmes gouvernementaux, le programme de R-D énergétiques (PRDE), les initiatives sur le changement climatique et le Plan d'action sur les changements climatiques.
Le CNRC collabore avec des partenaires clés comme RNCan, Environnement Canada, Agriculture Canada et beaucoup d'autres, de même qu'avec des universités et des entreprises, dans tout le travail qu'il fait.
Nous croyons que nous occupons un créneau unique, que nos activités complètent les efforts d'autres ministères grâce à nos compétences et à nos recherches scientifiques de pointe, de même qu'à nos compétences sous-jacentes et à nos installations, contribuant ainsi grandement à ce domaine de priorité.
Pour le reste de mon exposé, je vais vous donner quelques exemples de contributions du CNRC. Je vais les présenter et faire le lien avec notre stratégie pour les secteurs clés. Il y a des contributions au système d'innovation et d'autres, aux priorités nationales.
À la diapositive suivante, nous voyons les secteurs clés. Nous avons fait une étude assez approfondie pour déterminer quels étaient les secteurs sur lesquels le CNRC devait se concentrer. Comme vous l'avez entendu, l'idée était de cibler des secteurs. Nous avons donc ciblé des secteurs très importants pour l'économie canadienne, dont le succès repose sur la recherche et auquel le CNRC peut contribuer beaucoup.
Nous avons retenu les neuf secteurs indiqués autour du cercle; l'aérospatiale, l'agriculture, l'automobile, la fabrication, le biopharmaceutique, les produits chimiques, la construction, les TIC et les instruments électroniques. Dans bien des cas, ce ne sont pas des secteurs nouveaux pour le CNRC, mais nous allons revoir nos stratégies par secteur et veiller à ce qu'elles reflètent bien les besoins de l'industrie, aujourd'hui et demain.
Au fil du temps, le CNRC n'a pas manqué d'investir dans des projets d'efficacité énergétique et de conservation destinés à répondre aux besoins des entreprises dans ces secteurs. Au fur et à mesure que notre nouvelle stratégie se déploie et que nous élaborons des plans sectoriels, nous nous penchons sur les besoins en matière de recherches dans le domaine de l'énergie et les obstacles à la recherche.
Je vais aborder trois secteurs et le travail que le CNRC effectue dans ces domaines sur le plan de l'énergie. Je vais d'abord vous parler de la construction.
Au Canada, de 35 à 40 p. 100 de notre consommation nationale d'énergie se concentre dans les installations de construction. L'une des plus grandes installations génère environ 25 p. 100 de nos déchets solides et consomme environ 50 p. 100 de nos principales ressources naturelles. Elle a donc une incidence énorme sur l'économie canadienne et les ressources naturelles du Canada.
C'est un secteur dominé par les PME, qui n'investit pas beaucoup dans la R-D. L'investissement des entreprises en R-D représente moins d'un pour cent. Il se situe entre 0,1 p. 100 et 0,2 p. 100, en fait. Depuis 1947, où l'on a demandé au CNRC d'établir un code national du bâtiment, le CNRC a beaucoup contribué à l'évolution du secteur. Aujourd'hui, le CNRC effectue 20 p. 100 de la R-D dans ce secteur au Canada.
L'une des principales façons d'influencer ce secteur reste l'adoption de codes et de normes. Depuis cinq ans, le CNRC dirige les efforts pour l'élaboration d'un nouveau code national du bâtiment, un code complètement réécrit et axé sur les objectifs, afin de promouvoir l'innovation dans l'industrie de la construction.
En 1997, le CNRC a publié les premiers codes modèles canadiens de l'énergie pour les maisons et les édifices. En ce moment, nous travaillons avec RNCan à un plan visant à mettre à jour le code national de l'énergie pour les édifices. Ces codes sont issus de vastes consultations avec les membres du secteur de la construction, de même qu'avec les provinces.
Récemment, on a beaucoup débattu du remplacement des ampoules à incandescence par des fluorescents compacts, qui utilisent 75 p. 100 moins d'électricité. Au stade du développement, il y a quelques années, les recherches du CNRC sur cette technologie et son incidence sur la vision des travailleurs a contribué à la viabilité et à l'acceptation de ces nouvelles sources de lumière.
De plus, dans une perspective plus écologique, la recherche a montré que l'intégration de la lumière du jour dans les édifices peut remplacer 50 p. 100 de l'éclairage dans ces édifices. Vous avez probablement déjà entendu que l'éclairage représentait 40 p. 100 de la consommation dans les grands édifices.
Sous les auspices de l'Agence internationale de l'énergie, le CNRC a dirigé un projet international visant à surmonter les obstacles techniques à l'adoption de ces méthodes. Un logiciel de dessin et des démonstrations ont montré qu'on pouvait réaliser des économies d'énergie de 70 p. 100 grâce à des mesures et à des contrôles relativement simples. Cela a beaucoup contribué à convaincre les entreprises d'accorder davantage d'importance à la lumière du jour dans les nouveaux plans de construction d'édifices. L'industrie a parlé de mesures favorisant l'éclairage naturel.
De même, le développement technologique dans ces secteurs est lié à des démonstrations. Le CNRC et ses partenaires ont démontré et évalué beaucoup de technologies, dont des systèmes de cogénération et des piles à combustible au Centre canadien des technologies résidentielles, qui se trouve ici, à Ottawa.
Le Centre canadien des technologies résidentielles, le CCTR, comme nous l'appelons, a été mis sur pied en collaboration avec RNCan et la SCHL, de même que 37 entreprises du secteur du logement. L'objectif de ce centre est d'accélérer la commercialisation de nouvelles technologies du logement, surtout en matière d'énergie et d'environnement intérieur.
Il y a encore un exemple mentionné en bas, et vous êtes probablement au courant si vous avez vu le National Post d'aujourd'hui, concernant un système de détection des fuites pour les tuyaux d'eau. Cette technologie de RNCan vient d'être reprise par une entreprise en démarrage, et elle est en train de pénétrer le marché de l'économie d'eau et d'énergie dans les grandes villes.
Dans le domaine de l'automobile, le CNRC contribue à la conception de matériaux légers et de procédés pour les fabriquer, ce qui comprend des métaux comme l'aluminium et le magnésium ainsi que des matériaux composites et des nanocomposites à base de polymères.
Nous menons également des recherches sur l'évaluation des émissions au moyen de la technologie de l'incandescence induite par laser, qu'on appelle la LII. Il s'agit d'une technologie conçue au CNRC, qui permet de mesurer les émissions de suies du tuyau d'échappement des véhicules de transport en parties par quadrillion, des parties minimes, afin de favoriser la mise en oeuvre des normes d'émissions les plus strictes au monde pour les véhicules. Certains appareils de ce type existent déjà et sont utilisés en Californie.
Cependant, le plus grand investissement unique du CNRC dans la R-D sur l'énergie a été fait dans les piles à combustible et l'hydrogène : environ 14 millions de dollars par année. Cela comprend les travaux de l'Institut d'innovation en piles à combustible, qui se trouve au coeur du regroupement d'entreprises sur les piles à combustible de Vancouver, ainsi qu'un programme déployé à l'échelle du CNRC sur les piles à combustible et l'hydrogène, qui nous fait profiter des compétences de huit autres instituts afin de surmonter les obstacles à la fabrication, au rendement et à la fiabilité des piles à combustible.
Encore une fois, nous ne travaillons pas seuls : le CNRC participe activement à tous les comités fédéraux et nationaux.
À un autre chapitre, l'aérodynamique des camions lourds conçue à la soufflerie du CNRC a permis de réaliser d'importantes économies de carburant. Selon nos chiffres, elles seraient de 4,8 litres par 100 kilomètres par camion, ou un camion qui parcourrait 200 000 kilomètres par année, par exemple, économiserait près de 10 000 litres de carburant.
Dans le domaine de l'aérospatiale, l'Institut de recherche aérospatiale du CNRC a établi une infrastructure nationale et des compétences de renommée mondiale à l'appui du secteur aérospatial du Canada. La plupart d'entre vous reconnaîtrez les souffleries du CNRC à l'aéroport d'Ottawa quand vous irez. Il y a de grandes souffleries portant la marque du CNRC.
Nous mettons aussi à profit nos compétences de l'aérodynamique et nos installations pour ces souffleries dans d'autres secteurs. J'ai mentionné les camions, par exemple, mais il y a aussi le transport, l'emplacement et l'orientation des éoliennes ainsi que le soutien aux études scientifiques et à la collecte de données d'Environnement Canada.
Notre nouveau Centre d'étude environnementale des turbines à gaz, qui est situé ici, à Ottawa, appuie les recherches visant à favoriser l'efficacité énergétique et les réductions des émissions des turbines à gaz. Les chercheurs proposent maintenant d'agrandir ces installations uniques pour réaliser des essais sur les carburants de remplacement, comme les biocarburants, le biodiesel et le gaz de synthèse dans les turbines à gaz. Cela pourrait nous aider à trouver des applications aux turbines à gaz stationnaires qui produisent de l'électricité, dont l'utilisation devrait augmenter de deux fois et demie d'ici 2030, générant du même coup une augmentation de 50 p. 100 des émissions de CO2. Cette proposition suscite déjà l'intérêt de nos partenaires de l'industrie.
Il y a également un projet entre le CNRC et Bell Helicopter Textron Canada, à ne pas confondre avec Bell Canada, qui a permis au Canada de faire une percée dans la fabrication de structures aérospatiales. De cette collaboration est né un nouveau procédé de fabrication de caissons de voilure plus légers(une partie de la structure de l'aile) composés uniquement de matériaux composites pour la prochaine génération d'aéronefs. Cette structure très légère réduit le poids et du coup, la consommation d'énergie. Cette technologie a été transférée à une entreprise établie au Québec, qui est devenue fournisseur de pièces aérospatiales.
Le CNRC travaille également avec Bell, Bombardier et des PME à faire avancer le développement, la production et l'utilisation de composites légers pour le fuselage des aéronefs, ce qui réduira encore la consommation d'énergie.
Pour ce qui est du PARI sur les systèmes innovateurs et de la façon dont nous aidons les petites et moyennes entreprises, le Programme d'aide à la recherche industrielle du CNRC, qu'on appelle PARI-CNRC, nous pousse à travailler avec des PME de l'industrie à l'élaboration de projets sur les énergie de remplacement. Plus de 20 conseillers en technologie industrielle se sont spécialisés dans les énergies de remplacement. Ils fournissent aux clients de tout le pays des conseils commerciaux et techniques, des activités de veille technologique concurrentielle et du financement pour l'embauche de personnel hautement qualifié et le déploiement des projets de R-D valables.
À la diapositive suivante, vous pouvez voir une liste de projets que j'ai choisis particulièrement pour vous montrer la diversité des projets que le PARI appuie. Depuis cinq ans, il a versé plus de 5,5 millions de dollars en aide financière à une quarantaine de projets. Les exemples présentés ici touchent les domaines du biodiesel fabriqué à partir de matières premières différentes; des modules solaires raccordés au réseau électrique et installés sur les toits des édifices; de l'électricité produite à partir des courants hydrauliques, soit des petits systèmes électriques qui exploitent des courants et des rivières pour générer de l'électricité; des petites centrales hydroélectriques; ainsi que des éoliennes petites et légères.
Au chapitre des priorités nationales, il apparaît clairement de nos consultations et de nos études qu'en cette ère de convergence des sciences, un seul organisme ne peut accomplir beaucoup à lui seul. Comme je l'ai mentionné il y a un instant, l'un des objectifs du CNRC est de contribuer grandement aux priorités nationales du XXIe siècle, particulièrement pour la santé et le bien-être, l'énergie durable et l'environnement.
Pour atteindre cet objectif, nous nous sommes engagés à mettre en oeuvre divers programmes nationaux sur les priorités nationales pour lesquels le CNRC peut utiliser son excellence en matière de recherche, ses partenariats et sa multidisciplinarité afin d'obtenir des résultats tangibles et réels. Le premier de ces programmes nationaux mettra l'accent sur les bioproduits, dont la bioénergie et les biocarburants.
Le CNRC a beaucoup d'expérience et d'installations dans ce domaine. Nous collaborerons avec des partenaires d'Agriculture et Agroalimentaire Canada, de RNCan, des universités et des entreprises afin d'élaborer un plan canadien pour ce programme. Le Programme d'aide à la recherche industrielle du CNRC et l'ICIST en feront d'ailleurs partie.
Cette initiative a suscité beaucoup d'enthousiasme chez toutes les personnes à qui elle a été présentée. La semaine dernière, j'ai eu des échos de Rolls Royce Canada, quand ses dirigeants ont été mis au courant de notre choix d'utiliser des biocarburants ou des gaz différents dans les turbines à gaz. Nous travaillons également à élargir notre programme sur les piles à combustible pour qu'il devienne un programme national.
En même temps, nous nous penchons sur l'avenir de l'industrie. Le CNRC joue un rôle unique en contribuant à préparer l'avenir énergétique du Canada. On s'attend beaucoup à ce que la convergence de la nanotechnologie, de la biotechnologie et des PIC nous fassent faire des percées dans plusieurs domaines, y compris dans celui de l'énergie. Le CNRC est bien placé pour mettre cette convergence au service du Canada.
Par exemple, pour l'utilisation de points quantiques dans la conception de matériaux solaires PV, le CNRC a ouvert les portes de ses installations d'incubation et de prototype à Cyrium Technologies, une entreprise en démarrage qui fabrique des photopiles photovoltaïques à l'aide de points quantiques, une nanotechnologie des semi-conducteurs conçue au CNRC. L'entreprise espère accroître l'efficacité de la conversion de 38 p. 100 au mieux à un coût moindre.
Il y a aussi la contribution unique du CNRC à la métrologie. Dans la plupart des scénarios, l'avenir de l'écologisation de l'énergie, comme vous le savez bien, se joue grâce à une panoplie de technologies d'énergies renouvelables et de remplacement produites non seulement par les sociétés énergétiques et les grandes sociétés hydroélectriques, mais aussi par des petits producteurs et des consommateurs individuels. Du coup, il faudra de nouveaux règlements et de nouvelles méthodes de mesure et de surveillance. Cette conclusion se fonde sur le mandat du CNRC en matière de mesures physiques et de métrologie.
Pour conclure, je rappelle que le travail du CNRC couvre tout le spectre de l'innovation, des découvertes à la frontière de la science jusqu'à la commercialisation de nouvelles technologies. Depuis plus de 90 ans, le CNRC fait de précieuses contributions à l'industrie canadienne, à la croissance de notre économie et au bien-être des Canadiens. Les partenariats avec les entreprises, les autres ministères et les universités renforceront le système d'innovation du Canada et notre contribution à la R-D dans le domaine de l'énergie.
Merci beaucoup.