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Je souhaite la bienvenue à tous et à toutes à cette 23
e réunion du Comité permanent de l'environnement et du développement durable.
Durant la première heure, nous accueillerons des représentants de l'Agence Parcs Canada, soit M. Andrew Campbell, Mme Catherine Blanchard, Mme Christine Loth‑Bown, M. Michael Nadler et Mme Darlene Upton.
Au cours des 60 prochaines minutes, nous étudierons le Budget supplémentaire des dépenses (A), mais, tout d'abord, nous entendrons M. Nadler.
Monsieur Nadler, vous avez la parole pour trois minutes.
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Merci beaucoup, monsieur le président.
Cela me fait plaisir d'être avec vous ce soir.
Comme vous le savez, je m'appelle Michael Nadler et je suis le vice-président des relations externes et de l'expérience du visiteur à l'Agence Parcs Canada. Je suis accompagné de quatre membres de l'équipe de la haute direction de l'Agence.
Je vous présente Mme Catherine Blanchard, la vice-présidente des Finances et dirigeante principale des finances de l'Agence Parcs Canada.
Seront présents par vidéoconférence nos collègues M. Andrew Campbell, le vice-président principal des Opérations, Mme Christine Loth‑Bown, la vice-présidente des Affaires autochtones et du patrimoine culturel et Mme Darlene Upton, la vice-présidente d'Établissement et conservation des aires protégées.
Encore une fois, nous vous remercions de votre invitation à discuter du Budget supplémentaire des dépenses (A) 2022‑2023 pour l'Agence Parcs Canada.
[Traduction]
Je tiens à commencer par reconnaître, avant de parler du Budget supplémentaire des dépenses, que nous sommes réunis sur le territoire traditionnel des peuples Algonquin et Anishinabe.
Le mois de juin est le Mois national de l'histoire autochtone, et c'est l'occasion pour Parcs Canada d'indiquer brièvement au Comité que nous sommes engagés à travailler en partenariat avec les peuples autochtones pour favoriser un réseau de lieux patrimoniaux nationaux qui reconnaît et honore les contributions des peuples autochtones, du passé et d'aujourd'hui.
Parcs Canada travaille en étroite collaboration avec des centaines de communautés autochtones à travers le pays pour la gestion des parcs nationaux, des lieux historiques et des aires marines de conservation. Ce travail consiste notamment à transmettre les récits, les traditions et les riches histoires et cultures des peuples autochtones aux Canadiens et aux visiteurs du monde entier, ainsi qu'à reconnaître et à rétablir les relations profondes que les peuples autochtones entretiennent avec les terres, les eaux et les glaces ancestrales du Canada, dans un esprit de réconciliation.
En ce qui concerne le Budget supplémentaire des dépenses (A) 2022-2023, Parcs Canada cherche à augmenter ses niveaux de référence de 33,6 millions de dollars, ce qui portera les autorisations totales de l'Agence pour 2022-2023 à plus d'un milliard de dollars. Le montant de 33,6 millions de dollars se répartit de la façon suivante: 20,7 millions de dollars au crédit 1a en dépenses de fonctionnement, subventions et contributions; 6,1 millions de dollars au crédit 5a en immobilisations; et 6,8 millions de dollars en dépenses législatives.
Le poste le plus important de ce budget supplémentaire des dépenses se chiffre à 25,5 millions de dollars et son but est de maintenir la capacité de l'Agence à gérer ses immobilisations.
[Français]
L'Agence Parcs Canada est l'administratrice de l'un des plus importants portefeuilles d'actifs du gouvernement fédéral. En effet, l'Agence est responsable de plus de 18 500 actifs bâtis dans tout le pays. Son portefeuille comprend des bâtiments patrimoniaux, des installations pour les visiteurs, des sentiers, des autoroutes, des voies navigables historiques et même des barrages et des ponts dans des centres urbains partout au pays ou adjacents à ceux-ci.
Entre 2015 et 2023, le gouvernement du Canada a fourni environ 4,2 milliards de dollars pour remédier à la détérioration de plusieurs des biens gérés par l'Agence. Ce financement a permis à cette dernière d'améliorer l'état de plus de 5 000 biens dans les parcs nationaux et les lieux historiques nationaux.
[Traduction]
Bon nombre de ces projets ont permis de restaurer des infrastructures vieillissantes pour les visiteurs; c'est le cas de l'investissement de 80 millions de dollars qui permettra de renouveler les terrains de camping des parcs nationaux des Lacs-Waterton, Jasper et Kejimkujik.
D'autres projets ont soutenu la restauration et l'amélioration de bâtiments patrimoniaux et d'expériences, comme les 5,6 millions de dollars consacrés à une importante restauration des bâtiments patrimoniaux du Manoir Papineau et les 5 millions de dollars consacrés à une exposition d'interprétation phare au lieu historique national de la Citadelle-d'Halifax.
[Français]
D'autres encore nous ont permis de renforcer l'infrastructure des barrages, des voies navigables, ainsi que d'améliorer les routes et les autoroutes dans plusieurs lieux. Ces investissements soutiennent le transport dans des lieux protégés, mais ils renforcent aussi les réseaux de transport nationaux et régionaux au pays.
[Traduction]
Cet investissement actuel de 25 millions de dollars, prévu dans le budget de 2021, est une mesure provisoire en attendant que l'Agence termine son travail sur les stratégies d'investissement à long terme dans les actifs. Le plan d'investissement en capital à long terme de Parcs Canada répondra à ses besoins actuels et futurs en matière d'actifs et garantira la gestion efficace et efficiente — et la durabilité continue — du portefeuille d'actifs de l'Agence dans l'avenir.
[Français]
Il est à noter que Parcs Canada demande également 1 million de dollars pour le programme Initiation au camping. Depuis 2011, ce célèbre programme aide les personnes qui rêvent de partir à l'aventure en camping à acquérir les compétences nécessaires pour pratiquer des activités en plein air en toute sécurité.
Des recherches indiquent que plusieurs Canadiens font face à des obstacles pour camper en plein air au Canada, notamment un manque d'accès, un manque d'équipement et un manque de connaissances. Le programme Initiation au camping vise à aider des milliers de Canadiens à surmonter ces obstacles et à encourager davantage de personnes à se rapprocher de la nature.
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Merci beaucoup, monsieur le président.
Merci aux témoins d'être ici. Venant moi-même de l'Alberta, j'apprécie toujours les merveilleux parcs que nous avons. L'an dernier, j'ai passé du temps à Waterton, Banff et Jasper. J'ai fini par acheter deux laissez-passer, mais c'est parce que j'ai pris deux véhicules différents. Quoi qu'il en soit, c'est une expérience formidable, et nous devrions en être très fiers. Je sais que les gens de votre ministère le sont tout particulièrement.
Ce que je veux vous demander, monsieur Nadler, concerne directement le budget. Dans votre exposé, vous avez mentionné que les autorisations totales de Parcs Canada pour 2022-2023 seront supérieures à 1 milliard de dollars. Vous avez également laissé entendre que les Canadiens « font face à des obstacles pour camper en plein air » dans nos espaces naturels, ce qui, bien sûr, peut s'expliquer par une multitude de raisons.
Mon collègue, M. Mazier, a soumis une question inscrite au Feuilleton dans laquelle il demande la ventilation des sommes dépensées par chaque parc pour la promotion en 2022. L'une des choses auxquelles vous dites que l'argent du secteur sera consacré est la promotion de choses comme le programme Initiation au camping. Votre ministère a signé la réponse à cette question inscrite au Feuilleton en disant qu'il ne compile pas ce genre de données.
Nous entendons parler du nombre de visiteurs ou des prévisions de dépenses pour tel ou tel programme. Ma question est la suivante: si votre ministère dit au Parlement qu'il ne suit pas le montant que chaque parc consacre à la promotion, comment pouvons-nous savoir que ce financement supplémentaire sera utilisé pour promouvoir adéquatement des programmes comme Initiation au camping?
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Merci beaucoup, monsieur le président, et merci aussi à Parcs Canada d'être ici et de participer.
Votre organisation est formidable, et je pense que ces demandes supplémentaires ne sont pas farfelues.
J'ai quelques questions à vous poser. La première concerne le rapport sur les résultats ministériels 2020‑2021. L'objectif initial était qu'au moins 23,7 millions de personnes fassent l'expérience de Parcs Canada en 2021. Bien sûr, nous savons que la COVID a limité les déplacements et a entraîné une réduction et une modification de la programmation pour les visiteurs, mais il y a tout de même eu 17 millions de visiteurs en 2020‑2021. Je serais simplement curieuse de savoir comment Parcs Canada trouve l'équilibre entre l'objectif d'accueillir un nombre croissant de visiteurs dans les parcs et celui de prévenir ou d'atténuer les dommages causés aux zones naturelles par un grand nombre de visiteurs.
Dans le même ordre d'idées, la baisse du nombre de visiteurs pendant la pandémie a‑t‑elle eu des effets positifs sur les projets de régénération ou d'autres initiatives de Parcs Canada? Avez-vous remarqué quelque chose ou avez-vous été en mesure de faire quelque chose pendant cette période temporaire où le nombre de visiteurs était moindre dans les parcs?
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C'est une excellente question.
Vous avez tout à fait raison de dire que la fréquentation au cours de la première année de la pandémie, en 2020-2021, a été de 17 millions de visiteurs. Il y en a eu 21,6 millions au cours du dernier exercice. Ce qu'il importe de noter, en fait, à propos de ce chiffre pour Parcs Canada, c'est que nous avons enregistré une très faible fréquentation internationale, bien sûr. Cela signifie que le nombre de visiteurs canadiens a augmenté d'environ 20 %. Cela signifie aussi qu'un certain nombre de Canadiens qui n'avaient jamais visité un tel endroit auparavant s'y sont rendus. Nous avons vraiment dû adapter et renforcer nos activités de sensibilisation, de communication et de médias sociaux afin de sensibiliser les Canadiens à la façon de profiter de ces lieux en toute sécurité et de manière constructive.
Nous avons également travaillé en étroite collaboration avec les médias d'information, et vous avez peut-être même vu une partie de la couverture médiatique proactive sur la façon d'être en sécurité et de veiller à ne pas nuire à l'environnement ou à l'intégrité culturelle de nos lieux.
Nous gérons l'effet potentiel de la fréquentation des lieux protégés de diverses façons, allant du zonage à des stratégies assez élaborées de gestion de l'utilisation par les visiteurs, et nous sommes capables, à des niveaux de fréquentation très élevés, comme ceux que nous avons connus en 2017 avec l'entrée gratuite, d'atténuer efficacement les effets de la fréquentation sur l'environnement.
Au cours de la première année de la pandémie, il est vrai que nous n'avons pas connu des niveaux élevés de fréquentation, et il est indéniable que nous avons vu des changements dans l'utilisation de nos lieux par la faune, mais je ne sais pas si je dirais que nous avons observé un changement ou un avantage écologique significatif en raison de la baisse de fréquentation.
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Merci, monsieur le président. Je tiens à remercier les témoins, à la fois pour leur présence à notre comité aujourd'hui et pour tout le travail qu'ils font avec Parcs Canada. J'ai vraiment apprécié les questions et les commentaires de mes collègues, surtout ceux de Mme Pauzé. Quand on parle d'infrastructure, je pense qu'il faudrait considérer nos forêts comme une infrastructure verte et les protéger à long terme.
Cette semaine, le gouvernement a présenté le projet de loi , Loi sur les lieux historiques du Canada, pour remplacer la Loi sur les lieux et monuments historiques. En 2017, le comité de l'environnement a réalisé une étude sur la protection du patrimoine du Canada. Il a fait un certain nombre de recommandations, dont certaines sont prises en compte dans le nouveau projet de loi. Cependant, d'autres recommandations, notamment celles portant sur la nécessité d'un financement adéquat pour protéger les lieux historiques du Canada, n'ont pas été suivies. Ce rapport dresse le constat que de nombreux lieux d'importance historique n'existent plus ou sont en danger de disparition, souvent parce qu'ils ont été négligés, et qu'il est urgent de prendre des mesures pour protéger et préserver les lieux et les bâtiments patrimoniaux du Canada.
De façon générale, la question est de savoir si Parcs Canada dispose actuellement d'un financement adéquat pour assurer la préservation des lieux patrimoniaux existants au Canada.
L'appel à l'action 79 comporte trois éléments. Le point (i) pourrait être réglé avec les modifications législatives proposées dans le projet de loi .
Le deuxième élément visait la collaboration avec les membres des Premières Nations pour raconter leurs histoires sur les sites et les lieux que nous gérons de telle sorte que notre patrimoine culturel intègre tous les aspects du patrimoine autochtone, y compris les plus difficiles. Depuis 2018, nos ressources budgétaires nous ont permis de travailler en étroite collaboration pour la réalisation de plus de 30 projets permettant aux voix et aux perspectives autochtones de se faire entendre sur nos sites dans les différentes régions du pays.
Le troisième élément a pour but la mise à jour de notre politique de gestion des ressources culturelles pour guider la façon dont nous conservons nos actifs de manière à mettre en valeur la perspective autochtone. Nous travaillons à l'intérieur de ce cadre stratégique. Nous avons de plus établi le Conseil consultatif sur le patrimoine culturel autochtone qui collabore de près avec Parcs Canada dans ce dossier.
Dans le cadre de cet examen de notre politique culturelle et de l'élaboration du projet de loi, nous avons tenu des sessions de mobilisation pour permettre aux communautés des Premières Nations de tout le pays d'avoir leur mot à dire sur la gestion de nos ressources culturelles.
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Merci, monsieur le président. Il y a bien des choses dont je voudrais discuter aujourd'hui.
Je dois d'abord vous dire que je vous suis vraiment reconnaissant pour tout le travail que vous accomplissez à Parcs Canada. J'ai beaucoup aimé travailler avec vous. Je me demande s'il était possible de nous présenter une mise à jour sur les projets auxquels j'ai collaboré à l'époque.
J'aimerais donc en savoir plus long sur les progrès du parc urbain national de la Rouge qui établit un précédent en tant que premier parc national en milieu urbain au pays; sur l'évolution des choses, notamment quant aux heures d'ouverture, pour ce qui est du réseau de canaux et du déficit d'infrastructure; sur les améliorations apportées à la Route transcanadienne en ce qui a trait au passage sécuritaire des animaux et aux corridors écologiques; et, bien sûr, sur les effectifs de Parcs Canada, notamment quant au sort réservé aux travailleurs saisonniers et temporaires et aux effets de la COVID.
C'était en quelque sorte mon plan de match. Voyons jusqu'où je pourrai le mener.
Peut-être pourrais‑je commencer par le parc urbain national de la Rouge. Je crois qu'il y a des gens ici qui ont beaucoup travaillé dans ce dossier. Je me souviens de M. Latourelle qui n'a pas ménagé ses efforts, et je pense que c'est le cas également de M. Campbell.
Je sais que l'objectif était de tendre vers l'intégrité écologique, l'un des éléments qui ont été problématiques dans les relations avec la province. Je voulais savoir où l'on en est avec les investissements pour ce parc. Je sais que l'on trouvait là‑bas un dépotoir, des biens immobiliers, des routes, des lignes électriques et des pipelines. J'aimerais savoir comment les choses progressent avec le parc urbain national de la Rouge. Avez-vous des fonds suffisants pour faire tout ce qui est nécessaire?
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C'est vraiment une bonne question.
En ce qui concerne le camping et d'autres activités en nature, il y a certaines compétences que l'on peut seulement apprendre sur le terrain, dans la nature. Cependant, on peut apprendre d'autres compétences au moyen de vidéos et d'ateliers virtuels.
On a eu des expériences positives avec le programme d'initiation au camping. Plusieurs programmes offerts par diffusion ciblent les jeunes, y compris les jeunes des écoles.
On veut présenter la nature, la culture et l'histoire aux jeunes. On travaille en partenariat avec plusieurs organisations, dont Canadian Geographic, entre autres. Le programme d'initiation au camping est l'un de nos programmes qui ciblent les jeunes.
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Merci, monsieur le président.
Je tiens à remercier les représentants de Parcs Canada de leur présence ce soir et, bien sûr, de l'excellent travail qu'ils accomplissent, semaine après semaine, mois après mois. Les Canadiens sont très fiers de notre réseau de parcs nationaux.
Les parcs urbains nationaux suscitent beaucoup d'enthousiasme, celui de la Rouge étant le premier, bien sûr. Je me demande simplement où nous en sommes dans le processus visant à atteindre l'objectif de créer 10 nouveaux parcs urbains sur cinq ans. Sommes-nous sur la bonne voie? Je m'intéresse particulièrement à Winnipeg et à l'état d'avancement du processus dans cette ville. Comme vous le savez, à la suite du vote d'aujourd'hui, nous étudierons le projet de loi . Je me demande si vous auriez un bref commentaire sur les consultations concernant le parc urbain proposé pour Windsor. Je crois comprendre que les consultations se poursuivent depuis deux ans. Il ne s'agit pas d'une nouveauté qui vient d'apparaître aujourd'hui. Peut-être pourriez-vous parler de l'importance de mener ces consultations de la bonne manière, afin que nous obtenions tous le résultat que nous souhaitons.
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Comme vous le savez, nous avons reçu des fonds dans le budget de 2021 pour la création de six nouveaux parcs nationaux, et il y a un engagement pour d'autres à venir. Nous avons sept projets en cours, en ce moment même, d'un océan à l'autre. Dans plusieurs de ces endroits, nous avons créé des comités de partenaires qui étudient activement la possibilité d'établir un parc urbain national.
Je vais souligner quelques faits nouveaux.
Tout d'abord, le ministre de l'Environnement et le ministre des Transports ont signé un protocole d'entente pour le transfert des terres d'Ojibway Shores. Ces terres constitueront une partie très importante du parc urbain national de Windsor, une fois celui‑ci établi. C'est un grand pas en avant pour nous.
Ensuite, nous avons tenu une série de séances de mobilisation axées sur deux questions principales: la contribution des parcs urbains à la biodiversité et à la résilience climatique; et l'accessibilité, l'équité, la diversité et l'inclusion dans les parcs urbains nationaux.
Pour ce qui est de l'état d'avancement de notre processus, nous mobilisons tous les partenaires des divers ordres de gouvernement. Des consultations et des discussions ont lieu. Nous prenons le temps nécessaire avec nos partenaires autochtones et les autres ordres de gouvernement pour nous assurer que la vision pour les parcs urbains nationaux est solide, afin que nous puissions tirer le plus d'avantages possible de la création de ces lieux.
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Les consultations se poursuivent. C'est très bien. Merci beaucoup.
J'ai une question qui est très brève.
Avons-nous un montant global concernant le déficit lié aux infrastructures de Parcs Canada, d'un océan à l'autre? Je me demande si, dans vos prévisions et demandes pour le budget de l'année prochaine, vous tenez compte des effets des changements climatiques, et si vous participerez au processus d'élaboration d'une stratégie nationale d'adaptation?
Comme vous le savez, il s'agit d'un engagement du gouvernement. Il me semble que nous devons commencer à nous préparer pour l'avenir, car les effets des changements climatiques sont à nos portes.
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Nous allons devoir nous arrêter là, malheureusement.
Merci à tous nos témoins pour leurs réponses très intéressantes sur des questions très intéressantes. Je sais que la discussion m'a appris beaucoup de choses. Je suis sûr qu'il en va de même pour les autres membres du Comité.
Nous allons devoir maintenant faire une pause, car nous allons poursuivre la séance à huis clos.
À titre d'information pour les membres du Comité, le lien vers la réunion à huis clos sur Zoom se trouve dans le courriel original. J'imagine que c'est suffisamment clair. Nous allons nous déconnecter maintenant, puis nous nous connecterons à nouveau. Nous vous reverrons tous dans deux ou trois minutes.
Je remercie encore une fois les témoins. Nous avons été ravis de vous accueillir ce soir.
[La séance se poursuit à huis clos.]