:
Merci, monsieur le président. Je suis ravi de comparaître devant votre comité pour discuter du Budget supplémentaire des dépenses.
Les personnes qui m'accompagnent sont du Secrétariat du Conseil du Trésor: Yaprak Baltacioglu, secrétaire du Conseil du Trésor; Brian Pagan, secrétaire adjoint, Secteur de la gestion des dépenses; Marcia Santiago, directrice exécutive, Gestion des dépenses; et Grace Chennette, directrice exécutive, Directorat de la gestion financière.
[Français]
Dans le cadre du Budget supplémentaire des dépenses (C) de 2016-2017, le gouvernement demande au Parlement d'approuver des fonds afin de régler des questions importantes pour les Canadiens.
[Traduction]
Ce budget supplémentaire dégage des fonds pour l'aide humanitaire, la sécurité des frontières, le changement climatique et les anciens combattants et leurs familles. Plus particulièrement, le gouvernement demande au Parlement d'approuver 2,5 milliards de dollars de nouveaux investissements dans 47 organisations.
[Français]
Ce montant couvre 11 grandes initiatives d'une valeur de plus de 50 millions de dollars.
[Traduction]
Il y a aussi neuf initiatives horizontales, où les ministères demandent du financement pour travailler en partenariat à des résultats communs, par exemple, pour faire face à la crise en Irak et en Syrie.
Au nombre de ces demandes, je mentionnerai 545 millions de dollars au crédit 30 du Conseil du Trésor pour permettre au Secrétariat du Conseil du Trésor de financer des rajustements aux conditions d'emploi en prévision de la ratification de conventions collectives avec les fonctionnaires; 350 millions de dollars pour Agriculture et Agroalimentaire Canada pour la cession de 19 barrages fédéraux au gouvernement de la Saskatchewan, qu'annonçait le budget de 2016; 178 millions de dollars pour Emploi et Développement social Canada pour la radiation de prêts irrécouvrables du Programme canadien de prêts aux étudiants; 174 millions de dollars pour Affaires mondiales Canada pour des initiatives d'aide humanitaire et de résistance aux antimicrobiens; 133 millions de dollars pour Affaires mondiales Canada et Environnement et Changement climatique Canada pour aider les pays en développement à composer avec les conséquences du changement climatique; 132 millions de dollars pour Anciens Combattants Canada pour des programmes et des services à l'intention des anciens combattants et de leurs familles; et un total combiné de 118 millions de dollars pour l'Agence des services frontaliers du Canada pour maintenir l'intégrité des opérations frontalières du Canada.
[Français]
Le Budget supplémentaire des dépenses (C) de 2016-2017 représente une augmentation de 2,8 % des crédits votés dans le cadre du Budget principal des dépenses déposé en février 2016.
[Traduction]
Comme vous le savez, les documents budgétaires comprennent également des mises à jour des prévisions des autorisations que le Parlement a accordées par des lois distinctes. Le Budget supplémentaire des dépenses (C) prévoit une diminution nette de 964 millions de dollars de la prévision réglementaire, liée surtout à la réduction du service de la dette publique.
Il y a aussi une diminution de 431 millions de dollars des prêts aux étudiants et aux apprentis, parce que cette aide financière est désormais sous forme de subventions. Cet accroissement de 50 % du Programme canadien de bourses aux étudiants, qui a été annoncé dans le budget de 2016, profitera chaque année à près de 100 000 étudiants de familles à revenu moyen.
Le gouvernement demande l'autorisation de 2,5 milliards de dollars dans ce budget, mais le Budget supplémentaire des dépenses (C) est aussi assorti d'une annexe en ligne. Cette annexe détaille près de 3 milliards de dollars d'affectations bloquées, que les ministères ne pourront plus dépenser. Pendant l'exercice en cours, le gouvernement peut rajuster les fonds dont disposent les ministères, selon l'évolution des programmes et des priorités. De cette façon, le Conseil du Trésor autorise le blocage du financement, qui ne peut donc servir à aucune autre dépense.
À la fin de l'exercice, ces affectations bloquées sont comprises dans les crédits inutilisés dans les comptes publics. L'an dernier, nous avons ajouté cette annexe par souci de transparence et de responsabilisation. Le DPB en a d'ailleurs fait état. Sans cela, les affectations bloquées ne paraîtraient dans les comptes publics que sept ou huit mois après la fin de l'exercice. Grâce à notre changement, les parlementaires et les Canadiens voient cette information beaucoup plus vite.
Une autre mesure que nous avons prise pour accroître l'ouverture, la transparence et la responsabilisation du gouvernement a été l'instauration d'un nouveau processus pour que la publicité soit non partisane. Les normes de publicité du Canada, soit un organisme national sans but lucratif voué à l'intégrité de la publicité, font désormais des examens indépendants de nos communiqués. Les Canadiens savent donc que l'information qu'ils reçoivent de leur gouvernement présente un intérêt légitime.
Nous avons donné suite à l'engagement pris dans notre budget de 2016 de réduire les dépenses de publicité, de voyage et de services professionnels du gouvernement. Je suis heureux de dire que nous avons tenu notre engagement de réduire ces dépenses de plus de 200 millions de dollars.
[Français]
Monsieur le président, avant de conclure, je vais donner au Comité un aperçu des besoins du Secrétariat du Conseil du Trésor présentés dans le Budget supplémentaire des dépenses (C).
[Traduction]
Le ministère demande au Parlement d'approuver des dépenses de 722,7 millions de dollars de plus. Cela comprend un total combiné de 716,8 millions de dollars des crédits centraux gérés par le Secrétariat pour les obligations du gouvernement du Canada à l'échelle des ministères et organismes. Ces obligations ont trait aux conditions d'emploi, aux rajustements de rémunération liés aux négociations collectives, voire à des choses comme les congés parentaux, par exemple. Ces rajustements touchent les ministères individuels, mais à la fin c'est le Conseil du Trésor qui s'en occupe.
Comme vous le savez, notre engagement de respecter la fonction publique et de négocier de bonne foi avec elle a débouché sur des conventions, à ce jour, avec plus de 80 % des fonctionnaires représentés. Lors de notre élection, toutes les conventions collectives étaient expirées, certaines depuis presque trois ou quatre ans, et nous nous sommes engagés à rétablir une culture de respect pour et dans notre fonction publique. Dans ce cadre, nous avons négocié de bonne foi, et nous faisons de beaux progrès.
Le gros du financement se rapportant aux conventions collectives dans le Budget supplémentaire des dépenses (C) a été mis de côté par les ministères pendant les années précédentes, où l'ancien gouvernement n'a pu conclure de conventions. Il est maintenant dégagé au fur et à mesure de la ratification des conventions.
En plus de ces fonds centraux, nous demandons 5,9 millions de dollars au crédit 1 du SCT, dépenses de programme, pour des choses comme l'amélioration de l'accès à l'information, le financement de l'initiative de transformation des services administratifs, l'avancement du programme de service, le transfert du Bureau de l'écologisation des opérations gouvernementales au Secrétariat du Conseil du Trésor, qui nous emballe au plus haut point.
Je voudrais aussi faire l'éloge de la secrétaire parlementaire pour le Conseil du Trésor, Joyce Murray, qui est ici aujourd'hui. Elle a fait preuve d'un immense leadership pour l'établissement de notre bureau de l'écologisation du gouvernement au Conseil du Trésor. Cela va faire toute une différence. Nous ciblons une réduction de 40 % des émissions de gaz à effet de serre pour le gouvernement du Canada.
L'engagement est gros, mais il va faire une très grande différence au niveau du leadership de notre gouvernement en matière de changement climatique. Lorsque, en novembre dernier, nous nous sommes donné pour cible de réduire les émissions de 40 % d'ici 2030, nous étions sérieux, et c'est pourquoi nous établissons des mesures quantitatives et évaluons les résultats, pour permettre aux Canadiens de nous obliger à rendre des comptes. L'implantation de ce centre au sein du Secrétariat du Conseil du Trésor contribue pour beaucoup à la sensibilisation des ministères et organismes à cet égard.
[Français]
Monsieur le président, ici se termine ma présentation sur les principaux points du Budget supplémentaire des dépenses (C).
[Traduction]
Enfin, monsieur le président, je me réjouis à la perspective de reprendre nos discussions sur la façon d'améliorer le processus budgétaire. Nous avons eu des discussions de bonne foi entre tous les partis, et sommes tous d'avis que le système actuel est cause de confusion et de frustrations, et qu'il est illogique, dysfonctionnel et opaque. Je maintiens mon engagement, et j'ai hâte de travailler avec vous et les parlementaires pour continuer à améliorer le système afin de fournir une information de meilleure qualité, plus rapide et plus utile aux parlementaires, et d'obliger notre gouvernement et ceux qui le suivront à mieux rendre compte au Parlement et aux Canadiens.
À ce stade-ci, mes fonctionnaires et moi serions heureux de répondre à vos questions.
Merci, monsieur le président.
:
Merci, monsieur le président.
Monsieur le président, membres honorables du Comité, je suis ravie d'être ici pour discuter du Rapport ministériel sur le rendement de Services publics et Approvisionnement Canada pour l'exercice ayant pris fin le 31 mars 2016, ainsi que du Budget supplémentaire des dépenses (C) de 2016-2017.
En raison de l'intérêt témoigné par le Comité, j'aimerais aussi prendre l'occasion d'informer les députés des progrès que nous avons réalisés pour stabiliser le système de paie, et régler les problèmes de paie des employés.
Je suis accompagnée par Marty Muldoon, notre dirigeant principal des finances, par Lisa Campbell, sous-ministre adjointe de l'Approvisionnement maritime et de défense, et par Kevin Radford, sous-ministre adjoint des biens immobiliers.
Le mandat de Services publics et Approvisionnement Canada est vaste. Le ministère doit fournir des services clés à l'appui des autres ministères et organismes, des députés et des Canadiens.
[Français]
À titre de gestionnaire des biens immobiliers du gouvernement, de spécialiste des achats, d'autorité linguistique et d'administrateur de la paie et de la pension, Services publics et Approvisionnement Canada appuie et facilite les activités des ministères et des organismes. Cela va de pair avec l'objectif principal qui est établi dans la lettre de mandat de la ministre, soit veiller à ce que son portefeuille fournisse efficacement des services et de façon à ce que les citoyens se sentent respectés et valorisés.
Même si, pour plusieurs, notre ministère est synonyme d'approvisionnement ou de paie, le rôle du ministère dans le cadre des activités gouvernementales est beaucoup plus vaste.
Par exemple, par l'intermédiaire de la fonction du receveur général, le ministère gère un flux de trésorerie de fonds fédéraux de plus de 2,2 billions de dollars provenant ou non du Trésor.
Le ministère offre aussi des services de pension à plus de 850 000 militaires, membres de la GRC et fonctionnaires canadiens.
[Traduction]
Il émet chaque année plus de 339 millions de paiements, dont les paiements de la Sécurité de la vieillesse, du Régime de pensions du Canada, du programme de prestations pour enfants et de l'assurance-emploi. Il gère environ 18 milliards de dollars d'achats au nom d'autres ministères, dont plus du tiers va à de petites et moyennes entreprises. Il gère un portefeuille de biens immobiliers appartenant à l'État qui a une valeur estimative de 7 milliards de dollars. Il produit les Comptes publics du Canada, y compris les états financiers du gouvernement du Canada.
[Français]
En ce qui concerne le Rapport ministériel sur le rendement, en 2015-2016, le ministère a fait des progrès dans plusieurs domaines. Par exemple, la modernisation de la Cité parlementaire est allée bon train, la remise en état de l'édifice Wellington a été achevée, les travaux avancent en ce qui concerne l'édifice de l'Ouest et le Centre de conférences du gouvernement, ainsi que le nouveau Centre d'accueil des visiteurs. Ces projets respectaient le calendrier, la portée et le budget, et continuent de les respecter.
Le ministère a continué d'investir par l'entremise du Programme d'innovation Construire au Canada, qui permet aux entreprises ayant des produits et des services novateurs d'être jumelées aux ministères fédéraux en fonction des besoins de ces derniers. Depuis avril dernier, des contrats d'une valeur de plus de 20 millions de dollars ont été octroyés à 42 entreprises. Environ 80 % des entreprises participant au Programme commercialisent leurs innovations au courant de l'année qui suit la fin du contrat.
[Traduction]
Dans le cadre de la Stratégie nationale de construction navale et de la Stratégie d'approvisionnement en matière de défense, des investissements ont été faits pour outiller les Forces armées canadiennes et la Garde côtière canadienne, tout en créant des emplois et en procurant des retombées économiques au Canada.
Le ministère a terminé l'achat de terres pour le projet de nouveau corridor pour le pont enjambant le Saint-Laurent et a conclu une entente contractuelle.
L'an dernier, l'examen promis de Postes Canada a été achevé. Le gouvernement prépare actuellement sa réponse au rapport que votre comité a rédigé, « La voie à suivre pour Postes Canada. »
Permettez-moi de vous parler de Phénix pendant un instant. Depuis le dernier témoignage de la devant ce comité, le 29 novembre dernier, nous avons donné la priorité au traitement rapide et à la réduction des temps d'attente pour atteindre un état de stabilité.
[Français]
Pour y parvenir, nous avons mis à exécution un plan en trois étapes: augmenter la capacité, l'efficacité et la transparence.
Par état de stabilité, on entend que 95 % des mouvements sont traités au cours des 20 jours ouvrables qui suivent leur réception, soit la norme de service établie pour la plupart des mouvements. Nous avons constaté que des progrès ont été réalisés pour atteindre cet objectif.
Tout d'abord, pour accroître la capacité, nous avons demandé à la plupart des conseillers en rémunération qui travaillaient sur l'arriéré de se concentrer maintenant sur les mouvements en attente de traitement. Nous accordons la priorité à des domaines particuliers pour que nous puissions atteindre l'état de stabilité une catégorie de mouvements à la fois.
En collaboration avec les syndicats, nous avons déterminé que les congés parentaux et les congés d'invalidité sont les deux premiers domaines prioritaires. Nous avons établi des objectifs afin d'atteindre l'état de stabilité pour les congés parentaux d'ici le mois de mars. En ce qui concerne les congés d'invalidité, l'objectif a été fixé à avril.
Nous sommes en voie d'atteindre ces objectifs. En fait, les nouvelles demandes de congés de maternité ou parental seront traitées au cours des 20 jours suivant leur réception par le Centre des services de paye de la fonction publique dans 95 % des cas à compter de maintenant.
La grande majorité des mouvements relatifs aux congés parentaux du Centre des services de paye de la fonction publique qui ne respectent pas les normes de service ont été traités. Les employés commenceront à recevoir des suppléments de salaire le 22 mars prochain.
[Traduction]
Lorsque nous aurons atteint l'état de stabilité dans ces deux catégories, nous passerons à d'autres catégories. Nous commençons à traiter plus de mouvements que nous en recevons. Il s'agit d'un jalon très important. Cela signifie que les temps d'attente et le nombre total de mouvements qui sont en attente de traitement vont diminuer.
Ensuite, il y a l'efficacité. Nous apportons des améliorations techniques pour réduire le temps de traitement. Par exemple, nous avons récemment apporté une amélioration visant à automatiser les calculs pour les anciennes affectations intérimaires. Le traitement des affectations intérimaires entrées à temps ou à l'avance par le personnel ministériel des ressources humaines est automatisé depuis la mise en oeuvre de Phénix. Cependant, les affectations antérieures nécessitaient de longs calculs manuels, qui sont désormais automatisés eux aussi.
Cette nouvelle amélioration réduira le temps nécessaire pour traiter ces mouvements. À l'heure actuelle, près de 100 000 mouvements semblables sont en attente de traitement par le Centre de services de paie, ce qui représente environ 30 % de notre charge de travail.
[Français]
Pour assurer la gestion efficace de cet énorme volume de travail, nous allons traiter les mouvements de manière contrôlée et concentrée d'ici juin. Selon notre plan, les employés vont commencer à recevoir des paiements le 22 mars prochain.
En troisième lieu, nous voulons accroître la transparence. Pour veiller à ce que les employés aient des renseignements utiles, nous publions des tableaux de bord mensuels qui comparent notre rendement aux normes de service et qui font état des délais d'attente estimatifs pour différents mouvements.
L'attente est interminable pour les employés dont la paie a été touchée, nous en sommes très conscients. J'aimerais pouvoir leur dire que tout sera réglé demain, mais cela va prendre encore plusieurs mois, même si on fait des progrès.
À l'approche de l'été, nous accordons une attention spéciale à la paie des étudiants, afin d'éviter que les problèmes éprouvés l'an dernier ne se répètent. Nous voulons pouvoir fournir une paie exacte en temps opportun aux étudiants qui se joignent à la fonction publique, dans la mesure où le ministère envoie les documents requis au centre de paie au moins 10 jours avant le début de l'emploi.
[Traduction]
Enfin, laissez-moi vous parler des répercussions fiscales. En février, 440 000 relevés d'impôt pour 2016 ont été mis en ligne pour 300 000 employés. Nous reconnaissons que la préparation des déclarations de revenus peut porter à confusion, surtout en raison des problèmes de paie que plusieurs employés ont vécus cette année. C'est pourquoi nous avons outillé notre centre d'appels pour qu'il puisse fournir l'assistance requise aux employés qui ont des questions. Ceux-ci peuvent communiquer avec notre centre d'appels. S'il y a lieu, ils peuvent discuter avec un groupe de soutien spécialisé au sein de SPAC ou avec l'Agence du revenu du Canada.
[Français]
Nous l'avons dit à plusieurs reprises, tous les employés méritent d'être rémunérés. Je sais que c'est difficile et que cela crée parfois des situations intolérables. Nous rappelons constamment aux employés qu'ils ont droit à une avance de salaire d'urgence et à des paiements prioritaires s'ils se trouvent dans une situation précaire. Il n'y a pas de raison pour qu'ils ne reçoivent pas de paie.
En conclusion, dans le Budget principal des dépenses, nous cherchions à obtenir 2,9 milliards de dollars. Dans le cadre du Budget supplémentaire des dépenses (C), le ministère demande un financement additionnel de 105,6 millions de dollars, principalement pour la gestion des biens immobiliers fédéraux. En tenant compte des transferts des autres ministères, la somme nette que nous cherchons à obtenir atteint 99,9 millions de dollars.
[Traduction]
Les principaux points sont le montant de 27,9 millions de dollars pour poursuivre les travaux de décontamination des sites contaminés fédéraux, comme la route de l'Alaska dans le nord de la Colombie-Britannique et l'ancien dépotoir Sambault, au Québec; un montant de 19,3 millions de dollars pour réduire les risques associés à la remise en état de la cale sèche d'Esquimalt; un montant de 18,7 millions de dollars pour tenir compte de la fluctuation des dépenses relatives à la gestion des biens immobiliers et, enfin, 18,2 millions de dollars pour moderniser l'infrastructure de chauffage des édifices fédéraux dans la région de la capitale nationale.
[Français]
Monsieur le président, nous comptons plus de 12 000 employés oeuvrant dans toutes les régions du Canada. Ces employés ont un objectif commun, celui de faire preuve d'intégrité, d'efficacité et de transparence, et un désir absolu d'offrir des services de grande qualité aux ministères, clients et Canadiens.
Monsieur le président, membres du Comité, je vous remercie de votre attention. Mes collègues et moi sommes prêts à répondre aux questions.